Pour l’heure, l’utilisation de l’identification numérique en Australie, le « myGovID », est facultative, sauf pour ceux qui souhaitent créer une entreprise. Elle a été mise en place pour les services publics de l’État fédéral, tels que les impôts, la protection sociale, la santé, l’éducation ou les services sociaux.
Pour s’inscrire, il faut fournir plusieurs pièces d’identité, telles qu’un passeport, ou un permis de conduire.
MAIS
Pour le Professeur Hartnett, chercheur en physique « L’identification numérique conduira rapidement à une dictature numérique à l’intérieur d’une prison numérique »
« Subordonner l’accès aux divers services publics à un identifiant numérique implique que l’État ait techniquement autorité pour décider quels services publics un individu peut ou ne peut pas utiliser »
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Tout cela se met en place avec 2 alibis
1 : réprimer les abus sur les réseaux sociaux. Traduisez : avec ou sans Elon Musk, si vous êtes « complotiste », à savoir si vous osez mettre en doute vaxxin Covid, confinement, honnêteté de Zelensky, Biden et toute la clique des mondialistes, le rôle de l’homme (occidental seulement, bien entendu) dans le réchauffement climatique, l’imposture écologique, les bienfaits des migrations et de l’islam… vous serez censurés, poursuivis en justice mais, surtout, vous perdrez les points vous permettant d’avoir accès à Internet. Plus possible de communiquer avec votre petit-fils via WhatsApp, de faire vos achats sur Amazon ou Leroy Merlin, d’acheter un billet de train ou d’avion, de gérer vos impôts en ligne… bref, retour au monde d’avant alors que toutes les structures d’avant ont disparu de fait. Ce qui revient à faire de vous un marginal, un handicapé dépourvu de tout ou presque.
2 : assurer votre sécurité. Chacun, identifié et repéré par les multiples caméras présentes partout, sera tracé, surveillé et arrêté au premier faux pas, qu’il s’agisse de vol, agression… ou d’aller là où son crédit social insuffisant l’a interdit.
Mais ne vous réjouissez pas en pensant que c’est à l’autre bout du monde, que les nazis australiens qui ont réprimé avec une violence incroyable leur population pendant le Covid sont l’exception qui confirmerait la règle des « nations libres de l’Occident ».
En France, en Europe, tout est prêt. Et il apparaît de plus en plus clairement que la « crise Covid » a servi de répétition générale et de formatage général de la population. De disparition de nos libertés fondamentales.
Le modus vivendi consiste à vous obliger à présenter votre carte d’identité ou votre passeport pour pouvoir vous connecter à Internet. Vous avez déjà remarqué comme moi que We Transfer et nombre de sites vous demandent pour vous connecter d’utiliser un courriel et un mot de passe correspondant à l’une de vos messageries. Google le demande aussi sous certains navigateurs. Partout dans le monde occidental le système est prêt et opérationnel.
Mais il paraît que les Australiens n’y voient que du feu, ravis au contraire de ce « progrès », vendu par exemple dans la ville de Darwin où se déroule l’expérimentation « pour une ville plus intelligente et plus sûre ».
Darwin, jumelée (il n’y a pas de hasard) avec sa « ville sœur », Haikou, capitale de la province insulaire chinoise de Hainan.
Pourquoi les mondialistes piaffent-ils d’impatience ? Non seulement ce système interdit à jamais toute contestation, toute élection libre d’opposants à ladite mondialisation, mais, en sus, ils vont se gaver sur notre dos en vendant nos données privées !!! « le potentiel d’amélioration de la rentabilité du conseil par la vente de données d’utilisateurs au secteur privé est important ».
L’argent va couler à flots, permettant de « déployer un logiciel de reconnaissance faciale biométrique, qui peut lier votre visage à partir d’une image de vidéosurveillance en direct à votre permis de conduire ou passeport, ainsi que des applications qui peuvent accéder, par exemple, identifier des données sur votre smartphone à distance à votre insu ».
Parallèlement, depuis 2018, en Australie, les fournisseurs de télécommunications doivent désormais fournir au gouvernement des portes dérobées potentiellement illimitées dans les données privées, sans que le citoyen lambda en soit averti.
Petit résumé fort sympathique :
La capacité des agences à suivre l’activité des citoyens s’étend des sites Web que vous naviguez sur votre mobile à ce que vous écrivez dans vos messages privés jusqu’à l’endroit où vous vous trouvez actuellement. Étant donné à quel point ces lois sont grises, et l’absence d’un droit à la vie privée protégé par la Constitution en Australie, cela pourrait s’étendre aux casiers judiciaires, dossiers médicaux, fiches de paie, habitudes de dépenses et historiques de navigation.
Le Northern Territory News a rapporté : « Le conseil de Darwin utilisera une technologie de surveillance d’inspiration chinoise pour collecter des données sur ce que les gens font sur leur téléphone et pour mettre en place des » clôtures virtuelles « qui déclencheront instantanément une alerte en cas de franchissement. »
Cette image de la police NT montre des emplacements de vidéosurveillance dans le centre de Darwin. Entre caméra et surveillance par téléphone portable, les autorités sont désormais capables de suivre en temps réel un citoyen privé. Crédit : Police du NT
Voir l’ensemble de l’article d’où sont tirés les passages en italique ci-dessus ici :
http://fr.scienceaq.com/Electronics/1001073552.html
COMMENT RÉSISTER ?
Refusez de vous connecter en donnant vos identifiants et mots de passe de messagerie pour avoir accès par exemple à la lecture d’articles en ligne. Ou alors créez une adresse mail que vous n’utilisez JAMAIS pour vos messages mais qui vous permet de vous connecter par exemple à we transfer. Contournez, truandez… on est le peuple qui a fait la Révolution française, non ?
Cessez de tout acheter avec la carte bleue, revenez le plus possible au paiement en liquide, sans traces.
Et j’imagine que nos commentateurs auront d’autres excellentes idées, nous les ajouterons ici.
https://ripostelaique.com/ils-commencent-par-laustralie-qui-impose-le-credit-social-a-la-chinoise.html