Quand le roi du pot, Don Brière, s’amène en ville, on tâche de bien l’accueillir. Mais si c’est Marine Le Pen qui se pointe, nous nous hâtons de la lapider ou de la fuir comme une lépreuse. Nous avons moins peur de la drogue que des idées.
Marine Le Pen vient débattre d’idées. Ça fait peur.
Elle est venue nous dire de cesser d’être des «tatas», mais nous ne l’écoutons pas parce que nous sommes effectivement une belle bande de tatas.
Terrorisme à Montréal
Ce qui est arrivé à Paris et à Bruxelles va arriver tôt ou tard à Montréal. Nous tolérons l’islamisme radical, alors nous subirons sa médecine.
Nous avons des islamistes qui se nourrissent de la même propagande qu’en Europe et, au sein de nos élites, notamment radio-canadiennes, la même complaisance, la même complicité.
Ce sera quoi? Un mitraillage des terrasses de la rue Saint-Denis? Une bombe dans un wagon de métro à l’heure de pointe?
C’est cela que Marine Le Pen est venue nous dire, mais nous préférons fumer le pot de M. Brière.
Stigmatisation
Quant au bon docteur qui dirige le parti préféré des kleptocrates, qui s’est enrichi en travaillant en Arabie saoudite où les femmes sont traitées en inférieures et qui posait avec son ami Arthur Porter, il aurait peur de ternir sa réputation en recevant Mme Le Pen? C’est risible.
Et PKP qui réprimande certaines de ses brebis curieuses d’entendre la politicienne française...
Honte à ces manifestants qui venaient saboter ses allocutions en faisant du tapage. Ces gens-là ne sont pas des démocrates. C’est très ironique d’entendre ces sectaires accuser les autres de fascisme...
Mais bon, c’est Pâques. Arrêtez de lire! Allez plutôt vous rouler un gros pétard et, en l’honneur de Justin, les yeux vitreux, crachez de longues volutes de fumée bleu Marine.
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