Comparez les deux courbes.
Rappelons que la population française est de 67 millions d’habitants, celle du Japon de 126 millions.
Ce qui signifie que la mortalité Covid est 13 fois plus élevée en France qu’au Japon, dont la population est pourtant plus âgée, donc plus fragile. Âge moyen 47 ans contre 42.
Le Japon a la population la plus vieille du monde, ce qui prouve que ce ne sont pas les pays jeunes qui sont protégés mais ceux qui utilisent les traitements précoces !
Et non seulement, le refus des traitements précoces tue massivement, mais il nous ruine.
Coût des quarantaines : 108 milliards par an, soit 4,7 % du PIB, selon l’Institut Sapiens.
Cela représente une perte pour l’économie française équivalente à 5 fois la croissance annuelle.
L’explosion des contaminations consécutive aux millions de tests effectués multiplie mécaniquement les cas contacts et les arrêts maladie.
En 6 semaines, le nombre d’arrêts de travail délivrés par l’Assurance maladie aux personnes devant s’isoler a été multiplié par 7, passant de 5 763 à 42 541. Une hausse de 740 % ! Uniquement pour les cas contact. Et avec Omicron, qui contamine dix fois plus que le variant delta, le pire est devant nous.
Il est donc urgent de revoir cette politique de quarantaine généralisée, totalement suicidaire face à des contaminations exponentielles.
Avec 100 000 contaminations par jour + les cas contact en isolement, l’économie va bientôt s’effondrer.
Aucune économie ne peut résister à un tel absentéisme dans les services publics et les entreprises.
Tout le monde ne peut pas faire du télétravail.
Une fois de plus, le refus d’autoriser les généralistes à soigner leurs patients dès les premiers symptômes, avec des antibiotiques et des antiviraux, traitement qui a fait ses preuves dans de nombreux pays, nous mène au désastre.
Avec Macron et les illuminés de son acabit, les remèdes sûrs et efficaces qui ont fait leur preuve depuis des décennies sont soudainement devenus extrêmement nocifs et donc interdits.
La députée européenne Michèle Rivasi, dans une interview de 2015, déclarait : « l’industrie pharmaceutique a acheté tout le monde ». Ce qui est certain c’est que le vaccin ne protège pas à 100 % et n’empêche pas les contaminations. C’est donc une impasse.
Mais le gouvernement a fait le choix de la fuite en avant. Une 4e dose imminente, un délai raccourci à 3 ou 4 mois entre deux doses et cerise sur le gâteau, schéma vaccinal complet + test obligatoire dans certains lieux. La France devient un enfer.
Et la traque des non vaccinés ne sert à rien. C’est une persécution inique.
C’est bien la preuve de la faillite du tout vaccinal.
On ne pourra pas stopper le tsunami Omicron.
Le tout vaccinal ne résoudra rien. Le salut passe par les traitements précoces comme le disait le Pr Raoult.
https://infodujour.fr/societe/52116-covid-19-le-japon-rehabilite-le-traitement-a-livermectine
Le Pr Raoult avait raison. Et persécuter les généralistes qui veulent traiter leurs patients est un crime.
« En France, 1500 médecins menés par le Dr Gérard Maudrux ont présenté un « recours gracieux » – une pétition – au ministre de la Santé, Olivier Véran, lui demandant « sur l’honneur » de déclarer clairement s’il croyait sincèrement que l’Ivermectine était inefficace, comme le prétendait l’ANSM, l’agence française du médicament. Ayant apparemment peur de répondre par l’affirmative, il a refusé de répondre, affirmant bizarrement qu’il n’était pas responsable des décisions de l’ANSM. »
Mais au Japon, le bon sens prévaut :
Le 13 août, tout a changé. Le Dr Haruo Ozaki, confronté à une recrudescence des infections dans le pays, a donné une conférence de presse au cours de laquelle il a appelé à la généralisation de l’utilisation de l’Ivermectine par les médecins généralistes.
Le Japon est le premier grand pays industrialisé à soutenir l’Ivermectine sans réserve.
Le Dr Ozaki a déclaré aux journalistes : « En Afrique, nous avons comparé les pays qui prescrivent l’Ivermectine avec ceux qui n’en prescrivaient pas… Dans les pays qui donnent de l’Ivermectine, le nombre de cas est de 134,4 pour 100 000 et le nombre de décès est de 2,2 pour 100 000. Dans les pays qui n’utilisent pas l’Ivermectine, le nombre de cas est de 950,6 et le nombre de décès est de 29,3. »
Il y a donc 13 fois plus de morts dans les pays qui méprisent l’Ivermectine.
Malheureusement, en France, ce sont les obscurantistes anti-traitements précoces qui font la loi et qui laissent mourir des gens alors que l’existence de médicaments pour les sauver a été clairement démontrée par une source médicale indéniablement réputée.
Droit devant, vers la catastrophe !
(source : JDD pour les chiffres de l’absentéisme)
Jacques Guillemain