Alors que [beaucoup parmi] les médecins n’ont toujours pas le droit de prescrire l’hydroxychloroquine à leurs patients, par le décret n° 2020-360 du 29 mars 2020 émanant des ministères des Solidarités et de la Santé et signé par le premier ministre Édouard Philippe, les médecins peuvent prescrire les spécialités Rivotril sous forme injectable aux patients atteints de corona et les pharmacies internes des Ehpad peuvent se le procurer pour injection. La prescription a pour objectif la prise en charge palliative, c’est-à-dire sans soins actifs, de patients confrontés à un état d’asphyxie et ne pouvant pas être admis en réanimation et pour lesquels une décision de limitation de traitement actif a été prise.
En clair, avec l’autorisation du gouvernement, n’importe quel médecin seul pourra injecter du Rivotril [ou clonazépam] en injection intraveineuse. Or, à la base, c’est un antiépileptique pris par voie orale. En 2011, la prescription de ce médicament dangereux a été retreinte à seulement quelques médecins. Les effets indésirables sont particulièrement accrus chez les personnes âgées : c’est un arrêt respiratoire.
Par ce décret est donc légalisé la possibilité pour un médecin, et ce décret vise particulièrement les médecins des patients en maison de retraite, d’injecter une substance qu’il sait être mortelle, entraînant un arrêt respiratoire complet en dix heures.
Ce décret mortifère permettant aux médecins de prescrire une substance souvent létale pour les personnes âgées est à mettre en parallèle avec l’interdiction de prescrire, pour lutter contre le Covid-19, de l’hydroxychloroquine pour ces mêmes médecins. Toute l’hypocrisie du gouvernement Macron-Philippe clamant sur les plateaux télé leur volonté de sauver des vies, toutes leurs gesticulations de communication, les malades transportés sous les caméras d’un bout à l’autre de la France, ne sont que des leurres destinés aux masses confinées et paniquées.
Pour le gouvernement Macron-Philippe, sous couvert de lutte contre le coronavirus et profitant de l’état d’urgence, c’est la culture de mort avant tout et en avant toute !