Si vous avez vu le récent documentaire Ados et armés sur Télé-Québec, vous avez dû vous rendre compte que l'augmentation de la violence armée chez les jeunes au Québec est largement attribuable à l'arrivée de communautés multiethniques issues du tiers-monde sous-civilisé et violent. Tiens, tiens, un premier rapprochement évident à faire. Ainsi qu'un lien de cause à effet tout aussi évident. Un titre plus conforme à la réalité aurait pu être formulé ainsi: Ados multiethniques et armés.
Visionnez-le ici: https://www.telequebec.tv/documentaire/ados-et-armes
Discussion sur l'émission: https://www.telequebec.tv/ados-et-armes-la-discussion
Cette violence armée chez tous ces jeunes délinquants n'existait tout simplement pas avant l'arrivée massive d'un type d'immigration dont les instincts primaires reflètent les conditions de vie ordinaires dans les pires pays de misère.
À Montréal, il se produit désormais sur une base quotidienne des fusillades en pleine rue, des incendies d'automobiles et de commerces (racket de la "protection"). La presque totalité de ces crimes sont attribuables à des multiethniques récidivistes irrécupérables. C'est un fait que la grande majorité des gangs de rue sont composés de jeunes multiethniques: haïtiens, africains, maghrébins, et ainsi de suite.
Pourtant, lorsqu'on parle de la nécessité de la répression sociale, policière, ou du besoin de condamnations et de peines de prison plus sévères, certains wokes faussement victimaires et autres organisations de Noirs appellent plutôt à la diminution du nombre des policiers, à l'effacement de toute forme de surveillance, à l'arrêt du profilage préventif, à la rémission des peines et à la libération rapide de tous. Une négation totale de la source des problèmes.
Ces mêmes activistes wokes, et ceux qui s'y soumettent comme des invertébrés, voudraient faire accroire que la prévention serait une meilleure approche. Archi-faux!
Pour que la prévention soit valable, cela prendrait un taux de réussite de 95% pour que cela vaille monétairement la peine. Mais on ne dépasse pas au contraire 5% de réussite. Donc, fini les millions gaspillés en pure perte en programmes de prévention, fini les millions attribués aux organismes communautaires qui se font payer de beaux salaires et de beaux locaux pour des résultats à peu de choses près nuls. S'ils défendent tous ces programmes de prévention inefficaces, c'est uniquement pour sauver leur job.
La réhabilitation n'est qu'un leurre, une illusion dont il faut se débarrasser. Pour que ce genre de programme soit justifiable, cela prendrait 95% de réussite et non d'échec, comme c'est ce qui se produit généralement avec le taux élevé de récidive; ce n'est donc pas assez rentable, pas assez efficace.
L'idée de tenter la réhabilitation est apparue à une époque où la société bien-pensante voulait se donner bonne conscience, pour se donner l'impression rassurante pour son image qu'on est capable de faire preuve de compassion, de compréhension humaine, de pardon. On croyait à tort qu'un criminel pouvait changer (1 seul sur 100 en est capable). On voulait se faire accroire qu'il suffit d'être gentil envers lui, de se montrer compréhensif, pour que le pire délinquant devienne doux et docile comme un agneau. On voulait croire de force à des choses du genre: tendez la main, et on vous la serrera avec reconnaissance. Dans la réalité montréalaise actuelle, ce serait plutôt: tendez la main à un voyou, il vous jettera par terre, vous rouera de coups, vous volera et s'enfuiera à toutes jambes.
Bref, il est temps de changer de cap: plus de perte de temps et de fonds publics gaspillés en programmes de réhabilitation aux résultats trop limités. Que tous les efforts, les effectifs et l'argent soient redirigés entièrement sur la traque des criminels et leur arrestation.
Une constatation générale qui a l'heur de déplaire à la bien-pensance woke est l'idée pourtant bien démontrée que certains humains, peuples, ethnies ou races, puissent avoir une propension innée au crime, à la délinquance, au mépris des lois; qu'ils ont un tempérament naturellement plus agressif, qu'ils sont plus enclins à recourir à la violence physique, à être plus impulsifs dans leurs comportements; qu'ils n'éprouvent aucun remord face aux actes accomplis, le tout accentué par un besoin de gratification immédiate de leurs pulsions primaires auquel s'ajoute un fort désir de domination d'autrui.
Pourtant, des millions d'observations directes et bien documentées établissant le profil-type du criminel ont pu être établies, en se basant sur d'innombrables études répertoriées de cas étudiées. Ce sont des données psychologiques avérées et indiscutables.
Ce n'est pas pour rien que les prisons américaines et canadiennes sont remplies à pleine capacité de criminels majoritairement non-blancs, à un degré de surreprésentation aussi effarant que disproportionné.
Pour illustrer le propos, voyez ici une liste de centaines de criminels multiethniques ayant sévi au Québec ces dernières années, d'étrangers non-nés ici qui ont transplanté leur modus vivendi ici.
Voyons les choses comme elles sont: si certains pays du tiers-monde sont aussi dangereux, violents, agressifs, c'est à cause de la sorte de monde qu'il y a dedans. Cela tombe sous le sens. Si vous en importez ici à la tonne, ils ne changeront pas leur nature profonde, leurs prédispositions génétiques pour vos beaux yeux. C'est impossible.
Voir ici un exemple célèbre qui démontre avec éclat le caractère inné de certaines prédispositions comportementales, qui ne s'estompent pas malgré la richesse, la célébrité et l'élévation sociale au sommet, et qui sont toujours prêtes à ressurgir à la moindre provocation: L'acteur Will Smith aurait-il giflé l'humoriste Mike Ward?
Précédant la mouvance wokiste, certaines écoles de psychologie sociale bien-pensantes ont élaboré toutes sortes de théories voulant attribuer les origines de la criminalité à des conditions sociales difficiles, à une famille dysfonctionnelle, à la pauvreté, aux mauvaises influences, à l'effet d'entraînement sur la mauvaise pente venant du milieu, à la discrimination et la stigmatisation. On se refuse à croire que cela pourrait être en fait un ensemble de traits innés à fondement génétique et par conséquent inchangeables comme la plupart des traits de caractère et de personnalité le sont.
Selon ces chercheurs fortement biaisés, ce n'est jamais la faute du délinquant s'il a mal tourné, c'est toujours à cause des autres, des conditions extérieures, d'un milieu de vie défavorable, de la malchance qui s'acharne. Il n'a jamais rien à se reprocher personnellement. Il n'est coupable d'absolument rien, le pauvre. Laissez-le donc tranquille. Quand cesserez-vous de vous acharner sur lui?
On utilise le même genre de prétentions fumeuses pour disculper les autochtones de toute responsabilité de leur état dégénératif. À lire ici:
La priorité sociale, c'est qu'il faut veiller tout d'abord à la protection des nôtres, à la sécurité de tout l'espace public, pas à donner plus de marge de manoeuvre aux criminels endurcis. Tous les ethno-ado-criminels dangereux prêts à transgresser les lois doivent être empêchés de passer à l'acte et de s'associer en bandes pour commettre leurs méfaits.
Ce qui compte, c'est de les mettre hors-circulation, hors d'état de nuire, et pour de bon.
L'expérience prouve que la presque totalité d'entre eux ne sont pas réchappables. On n'en fera jamais de préposés aux bénéficiaires dévoués, de quincaillier de quartier serviable et attentionné, de fonctionnaire qualifié, de monteur de ligne chez Hydro-Québec, de soudeur sur les chantiers de construction, de bons ouvriers fabricants de batteries électriques à l'usine Northvolt qui s’en vient. Le benêt/bonasse prêt à y croire ne serait-ce qu'un instant, devra enfiler des lunettes roses à très fort degré de grossissement, euh, de rosissement.
Passons en revue quelques solutions pragmatiques d'application générale visant à enrayer la criminalité:
1- Si les ethno-ado-criminels sont nés ailleurs, on les renvoie à la première offense, avec déchéance immédiate de nationalité
2- S'ils sont nés ici de parents nés ailleurs, on les expulse dans le pays d'origine des parents, avec déchéance totale de nationalité
3- Dans le documentaire Ados et armés, le ministre de la sécurité publique du Québec, François Bonnardel, déclare qu'au Québec 60% de l'argent du financement de la police va à la sécurité et l'action, et 40% à la prévention. Il faut changer la donne pour 95% de répression solide et efficace, et ne garder que 5% de prévention juste pour la forme, sachant bien qu'il ne faut pas en attendre grand-chose.
4- Le profilage préventif et sécurisant pour la population doit se faire sur une plus grande échelle.
5- Les peines de prison pour mineurs doivent être remplacées par des peines pour adultes dès qu'il s'agit de violence armée
6- Les sentences avec violence armée seront de 5 ans minimum en partant
7- Aucune réduction de sentence possible dès qu'il y a violence armée
8- La durée moyenne des sentences en prison doit être allongée, ainsi que les motifs de condamnation à perpétuité
9- Les récidivistes verront toujours 5 ans de plus ajoutés à leur sentence en partant
10- Toutes les peines des chefs d'accusation vont s'additionner les unes aux autres et non se dérouler en même temps (peines concurrentes)
11- les coupables seront placés en isolation, pour ne pas apprendre plus de techniques malhonnêtes des autres prisonniers
12- Mise sur pied d'un registre public des criminels multi-ethniques. Voir ici son fonctionnement et son utilité.
13- Bloquer toute immigration provenant de pays reconnus comme violents et corrompus; cela comporte beaucoup trop de risques d'ensauvager notre société. Voir la liste ici: LISTE COMPLÈTE DES PAYS SELON L'INDICE DE CORRUPTION
14- Augmenter le nombre de policiers et de patrouilles dans les quartiers chauds, avec directives d'intervention accrue. La moindre provocation, la moindre résistance entraînera l'arrestation immédiate.
15- Interdire toute agrégation de plus de 3 ethno-ado-criminels d'allure louche ou suspecte dans les rues, quartiers, centres commerciaux, parcs à risque (drogue, intimidation, larcins, gangs de rue, recrutement de membres, vente d'armes, prostitution, leurre de Blanches)
16- Couvre-feu de 22h pour les ethno-ado-criminels fichés
17- Afficher partout les photos des ethno-ado-criminels recherchés pour accélérer leur arrestation: babillards de lavoir, centres communautaires, piscines et centre sportifs publics, panneaux installés spécialement à cet effet dans les parcs à risque, vitrines de stations de métro, écoles, arcades, dépanneurs, médias sociaux. Une fois arrêtés, afficher leur photo avec la mention: Arrêté! pendant toute la durée de leur incarcération.
18- Des récompenses promises alléchantes seront offertes aux citoyens délateurs des ethno-ado-criminels coupables, financées à même l'argent du crime saisi. Qu'on offre en prix de l'argent comptant ou des biens convoités par les jeunes: cellulaire, console de jeu vidéo, iPad, portable, casque d'écoute de marque, rouli-roulant de luxe, trottinette électrique, etc.
19- Une fois sa peine purgée, tout ethno-ado-criminel libéré devra porter un bracelet de cheville de repérage à vie et ne pourra s'approcher d'aucun de ses pairs à moins de 500 m
20- La simple appartenance à un gang de rue ou une organisation criminelle (crime organisé, toutes les mafias, motards criminalisés) sera passible de prison instantanée
Mettons en pratique ces mesures énergiques et efficaces, et la criminalité juvénile sera éradiquée dans le temps de le dire, c'est garanti. Ce sera là la meilleure forme de prévention, le meilleur moyen de dissuasion. N'est-ce pas là au fond ce que nous désirons plus que tout au monde? Donnons-nous alors les moyens de nos ambitions.
Ce qui compte, c'est de les mettre hors-circulation, hors d'état de nuire, et pour de bon.
La population du Québec a le droit de se sentir protégée en tout temps, en tout lieu. Elle a le droit de pouvoir vivre au quotidien dans un sentiment de sécurité ambiante, et ne pas avoir à se terrer chez soi dans la peur et l'appréhension des malfaiteurs, comme c'est devenu la triste réalité dans bien des arrondissements de la pauvre ville de Montréal ensauvagée malgré elle. S'il suffit de durcir les lois pour y arriver, qu'on le fasse! Il ne fait aucun doute que la population approuvera cet ensemble de mesures.
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