SPQLibre - GRANDE ASSEMBLÉE PUBLIQUE

Debout pour le français - Grande assemblée publique pour le français au cégep et à l'université!

L’avenir du Québec passe par les études supérieures en français

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Cégep en français

Organisée par le SPQ Libre, le Mouvement Montréal français et la [SSJB-Montréal->www.ssjb.com]
avec
Bernard LANDRY

Charles CASTONGUAY

Jean-Claude GERMAIN

Mario BEAULIEU

Rachel CHAGNON (SPUQ)

Akos VERBOCZY (Commissaire la CSDM)

Pierre SERRÉ

Animateur : Marc LAVIOLETTE
Lundi, 19 octobre, 19 heures

MAISON THÉÂTRE

245 rue Ontario Est

Montréal

Plus de 50% des étudiants allophones s'inscrivent au cégep anglais.
70 % des emplois créés d'ici 2016 exigeront au minimum une formation collégiale.
Selon l'Office de la langue française, la langue des études pertinentes à l'exercice d'un métier ou d'une profession a un lien indéniable avec la langue utilisée ensuite au travail.
À Montréal, parmi les immigrés allophones qui ont fait leurs études pertinentes en anglais, 51% travaillent principalement en anglais, 20% en français et 22% à égalité en anglais et en français.
L'Office a confirmé aussi le lien entre langue de travail et adoption d'une nouvelle langue d'usage
à la maison. Parmi les travailleurs allophones qui travaillent en anglais
et qui ont adopté le français ou l'anglais à la maison, près de 90% ont choisi l'anglais.
Les trois universités anglophones reçoivent 27% des subventions normées,
alors que les Québécois de langue maternelle anglaise ne représentent que 8,2 % de la population.
À Montréal, les deux universités anglophones, McGill et Concordia, comptent
environ 57% des professeurs.
Étudier au cégep en anglais, c'est fréquenter l'université anglaise, travailler en anglais,
élever ses enfants en anglais, bref s'angliciser.
Étudier en français, c'est écouter la radio et regarder la télévision, lire les journaux, les revues et les livres, fréquenter les salles de cinéma, de théâtre et de spectacle francophones. L'avenir de la culture francophone en Amérique passe par la fréquentation des cégeps francophones.
Étendre la loi 101 au cégep hausserait la proportion d'allophones qui font leurs études collégiales et universitaires en français, qui travaillent en français, et qui adoptent le français comme langue au foyer, contribuant au renouvellement de la majorité francophone.
Lundi, 19 octobre, 19 heures

Maison Théâtre

245 rue Ontario Est

Montréal

Faites parvenir vos commentaires à
info@spqlibre.org

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Le Mouvement étudiant pour le français (MÉF) de l’UdeM et le MÉF de l’UQAM se joignent au MMF pour inviter les jeunes à se mobiliser et à participer massivement : les jeunes de tous les milieux, étudiants, professionnels, travailleurs, artistes, intellectuels, voyageurs. C'est une invitation aux Québécois de toutes les générations qui veulent vivre dans une société cohérente et inclusive, qui veulent assurer l’avenir de la langue et la culture nationale du Québec, qui croient au respect de la diversité linguistique et culturelle dans le contexte de la mondialisation.

Le sous-financement des cégeps et des universités francophones fait en sorte que les jeunes francophones ont un taux de diplomation universitaire de
35 % plus faible que celui des anglophones.
C’est en se donnant des institutions de majoritaires que nous réussirons à contrer le recul du français et à en faire la véritable langue commune et officielle à Montréal et au Québec. Tous les citoyens doivent se mobiliser autour de cet enjeu crucial.


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