Chaque candidat aux élections a besoin de plus de 50 000 $ au provincial et presque le double au fédéral et variable au municipal plus les dépenses centrales des partis, avant, pendant et après les élections. Ça prend beaucoup d’argent pour faire fonctionner toute cette mécanique.
Une bonne partie des fonds requis pour cette démocratie vient des nos gouvernements en remboursements d’impôt et de dépenses électorales. Le surplus doit être comblé par les dons de « généreux » donateurs, intéressés par des « lucratifs » contrats, si le candidat ne veut pas trop hypothéquer son avenir et/ou son bungalow.
Fait que, pour éviter la tentation du retour s'ascenseur aux "généreux" donateurs, faudrait que le DGE commence par couper en deux...minimum, la limite des dépenses électorales autorisées incluant le nombre de panneaux polluants. Ça ne coûte pas cher de faire du porte-à-porte, d’imprimer et de distribuer le dépliant qui décrit programme de chaque candidat plus quelques annonces dans les médias. Ça aurait, en plus, l’avantage d’économiser les fonds des contribuables et de réduire les tentations où commence les actuelles déviations.
Faut savoir que les donateurs aux partis politiques, qui sont peu intéressés par les retours d’ascenseurs, sont trop peu nombreux pour réussir à fournir nos coùteux partis.
LA meilleure solution
Couper dans les inutiles dépenses d’élection
autorisées aux 3 niveaux électoraux
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
4 commentaires
Gilles Bousquet Répondre
26 octobre 2009Corrigé
Grand-papa, je n’irais pas jusque là « même si je crois que vous vous moquez un peu » parce que la démocratie passe par des élections. Des élections OUI mais pas des orgies de dépenses qui découragent ceux qui ne veulent pas risquer 50 000 $ qu’ils possèdent ou pas.
Gilles Bousquet Répondre
26 octobre 2009Marie Mance Vallée, votre exemple de l'élection très économique de Mme Boucher, à la mairie de Québec, renforce ma suggestion de couper dans les dépenses électorales inutiles et coûteuses pour les payeurs de taxes québécois.
Je suggère de couper la limite de ces dépenses en deux seulement. Mme Boucher a probablement coupé en 10 et a été élue quand même et son cas, un peu à part, devrait inspirer un peu, d’autres politiciens mais, ça prendra peu sur les véreux.
Archives de Vigile Répondre
26 octobre 2009La meilleure solution c’est d’en finir avec les élections.
Pourquoi pas une dictature éclairée comme celle de Laurent de Médicis dit le Magnifique duc de Florence en Italie ou celle de Paul de Desmarais dit le Bienfaiteur duc de Charlevoix au royaume du Canada !
- Ça ne coûterait pas cher pour le réseau routier…le peuple serait corvéable pour rien…Que de profits mirobolants pour le noble trésor d’or et d’argent -
;-)
Archives de Vigile Répondre
26 octobre 2009N'est-ce pas feue la mairesse Andrée Boucher qui avait fait une campagne à la mairie de Québec sans organisation ou si peu?...
Cela doit bien se faire, puisqu'elle avait été élue. Mais encore faut-il inspirer confiance...!!! et non devoir se cacher derrière toutes sortes d'artifices plus ou moins honnêtes...
Je rêve en couleur? Peut-être.