Québec-Canada: vidéo 16

Comment convaincre les immigrants

Chronique de Jean-Jacques Nantel

Pour convaincre les immigrants, les souverainistes doivent s'organiser pour que l'indépendance du Québec soit une affaire payante pour eux.
Bon visionnement,
Jean-Jacques Nantel, ing.


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3 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    12 juin 2013

    5, 10 ou 15% de 5-6% de la population, un plan ambitieux?
    Je peut comprendre la peine que peut provoquer le vote en bloc de communautés immigrantes, comme vous dites, ignorantes ou heureuses d'être parfaitement ignorantes, mais de tout votre argumentaire, c'est surement le point le plus faible et le plus inaproprié.
    On peut oublier les derniers Orangemens Rhodésiens de la dernière heure de ce misérable Comonwealth anglo-canadians post révolution des 13 colonies. Ces francophobes de plus de cinquante ans, qui sont resté au Québec pour les quelques positions privilégié que la répartition asymétrique d'aides aux minorités du Dominion, qui n'est qu'un camouflet pour supporter la seule minorité qui lui importe, la minorité anglo-canadian coloniale du Québec. Comme nous le révélait en 2012 un sondage commandé par l'Actualité et JF Lisée, les jeunes "anglophones" s'intègrent maintenant aux québécois, ils s'expriment en français, regardent la télé en français, sont des nôtres et tendent de plus en plus à voter comme des québécois, soit toujours empreint de contradictions et d'anachronismes, pas de quoi fouetter un chat!
    Pour les immigrants embrigadés par le Canada pour lutter, comme vous l'exprimez, en toute ignorance de cause, s'ils sont plutôt rares à voter, en s'intégrant dans la minorité d'occupation canadian, à l'instar de cette dernière, s'ils ne quittent pas après quelques années, ce sont leurs enfants qui finissent par quitté pour des pâturages moins bouché à l'unilinguisme anglais. Alors, à quoi ça sert de considérer des groupes de citoyens du Québec autrement que comme ils sont, des québécois pour le meilleurs et pour le pire!
    Parce que le plus gros contingent de fédéralistes aux Québec (80% d'entre eux), reste des québécois rancophone qui ne sont pas excessivement plus pour le Canada que n'importe lequel d'entre nous (sauf exception des plus tarés ou corrompu de notre société, mais rien n'est parfait nul part sur notre petite planète). Les deux camps qui s'affrontent au Québec ce sont essentiellement des québécois, qui se chicane pour savoir qui est le meilleur, comme deux groupes de partisans de hockey trop bourré pour avoir les yeux en face des trous. Parce qu'aucun de ces groupes n'a de conception réel ou de connaissance minimales de géopolitique, un domaine que vous maîtrisé et vulgarisé à merveille.
    Qu'il soit fédéraliste ou souverainiste, pour convaincre dans tous les groupes d'actuel fédéralistes par défaut ou conforter et faire que cesse le cannibalisme entre souverainiste, ce sont des projets de nature à renforcer nos liens avec notre territoire, notre histoire et notre économie, nos population qui aplaniront les obstacles que seuls les québécois, unionistes fédérastres ou séparatistes continuent à mettent en travers de leur propre chemin.
    Continuer votre bon travail, mais hausser vos attentes bien au delà de vos propres déceptions et de ces ridicules petits pourcentages. La seule chose qui coûte cher, c'est le manque d'ambition!

  • Marcel Haché Répondre

    12 juin 2013

    Pas fort les accords, p’tit Jésus de plâtre, pas fort !
    Les vrais militants ne m’en tiendront pas rigueur si nos cœurs sont accordés.
    Nos divisions sont nombreuses et nos chapelles sont inutiles, si on veut bien reconnaître l'urgence qui est faite aux seuls indépendantistes, les vrais...
    Marcel Haché

  • Marcel Haché Répondre

    10 juin 2013

    Je crois comme vous que les nouveaux arrivants ne sont pas inaccessibles à la Cause qui nous tient à coeur.
    Ils se joindront à Nous si Nous manifestons des attitudes de vainqueurs. Ils Nous suivrons,mais ne Nous précéderont pas.Les indépendantistes ont un formidable défi à relever.La situation politique qui nous est faite n'est pas unique dans le monde,mais le fait que Nous soyons en Amérique du Nord, exposés que Nous sommes et sans la défense que pourrait constituter notre souveraineté,nous place dans la singulière situation d'être les "jamais-contents" dans un continent si satisfait de lui-même.
    Est-il utile de rappeler que nos divisions en chapelle ajoute à la suspicion que nous nous sommes acquise ?
    Salutations