La décision de Service correctionnel du Canada est claire : Mohamed Al Ballouz doit purger sa peine dans un pénitencier pour hommes, même si celui qui a tué sa femme et ses deux enfants estime être une femme. Cette décision a été fort bien accueillie par les proches des victimes.
Cela dit, pourquoi les journalistes continuent-ils d’en parler au féminin [1] ? Accéder aux souhaits de ce salaud relève du wokisme pur jus. Je leur rappelle qu’Al Ballouz veut être entendu en anglais à la Cour d’appel, même si toute l’affaire au procès s’est déroulée en français, une langue qu’il maîtrise pourtant. Ne voient-ils pas qu’il nous fait marcher depuis le début ?
Chers journalistes, pour le bien des proches des victimes, ne faites pas à Al Ballouz le cadeau de l’identifier comme femme.
Sylvio Le Blanc
[1] https://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-faits-divers/2025-04-22/coupable-d-avoir-decime-sa-famille/l-assassin-al-ballouz-cherche-un-enieme-avocat-et-veut-etre-entendue-en-anglais.php
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé