Al Ballouz au masculin, svp

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Tribune libre

     La décision de Service correctionnel du Canada est claire : Mohamed Al Ballouz doit purger sa peine dans un pénitencier pour hommes, même si celui qui a tué sa femme et ses deux enfants estime être une femme. Cette décision a été fort bien accueillie par les proches des victimes.


     Cela dit, pourquoi les journalistes continuent-ils d’en parler au féminin [1] ? Accéder aux souhaits de ce salaud relève du wokisme pur jus. Je leur rappelle qu’Al Ballouz veut être entendu en anglais à la Cour d’appel, même si toute l’affaire au procès s’est déroulée en français, une langue qu’il maîtrise pourtant. Ne voient-ils pas qu’il nous fait marcher depuis le début ?


     Chers journalistes, pour le bien des proches des victimes, ne faites pas à Al Ballouz le cadeau de l’identifier comme femme.


Sylvio Le Blanc




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