Coalition pour l’histoire

Produit de la "réforme"

L'insipidité de nos manuels d'histoire au secondaire

Surtout rien de litigieux


Insipidité : Caractère de ce qui est insipide. Insipide : Qui n’a pas de saveur, de goût. Voilà. Nos manuels d’histoire au secondaire ne goûtent rien, ils manquent de saveur. Les auteurs racontent l’histoire de leur peuple avec autant de détachement et de froideur que s’ils décrivaient la pierre qu’il y a devant chez eux. Extérieurement, ces manuels se présentent comme des Cadillac : papier glacé, couverture rigide ...

Mémoire collective

Commémorer le Québec pour forger son identité



Et c'est une évidence qui s'est imposée: sur le plan institutionnel, le Québec est un désert commémoratif. (...) C'est sa propre légitimité nationale que confirmerait l'État québécois en mettant de l'avant une politique de commémoration qui rappellerait ainsi qu'il représente non seulement une instance administrative parmi d'autres, mais l'incarnation politique d'un peuple, d'une expérience historique.

Peuple sans histoire



La Coalition pour l’histoire vient de publier une nouvelle étude. Sa conclusion est simple : non seulement on enseigne de moins en moins l’histoire du Québec au secondaire, mais on l’enseigne de manière déformée.

L'histoire et la vérité



Le débat sur l'enseignement de l'histoire perdure avec raison depuis l'implantation de la réforme au secondaire et plus particulièrement depuis la révision du cours d'histoire nationale maintenant prodigué en 3e et 4e secondaire. Dans ce débat, qui me semble polarisé entre un clan nationaliste et un clan valorisant l'histoire dite sociale, certains faits mériteraient d'être rectifiés. Comme le mentionne avec jus...

Le cégep régional de Lanaudière honoré pour la qualité de son enseignement de l’histoire du Québec



MONTRÉAL, le 5 mars 2012 – La Coalition pour l’histoire, qui se consacre à la promotion de l’enseignement de l’histoire, a aujourd’hui rendu hommage au cégep régional de Lanaudière pour la qualité de son offre de cours en histoire du Québec.

Peut-on "connaître l'histoire" sans "la juger", et se prétendre un esprit critique et autonome?

Enseignement de l'histoire

La vraie nature d'un mouvement d'opposition...



Quand la Coalition demande plus d'histoire, ce serait pour cela? Ne faudrait-il pas craindre alors de voir l'histoire soumise à une cause, une cause qui ne serait plus celle de la formation d'esprits autonomes et critiques, comme on l'entend de l'enseignement de l'histoire au secondaire?

Enseignement secondaire

Un cours d'histoire passé à l'eau de Javel

Une enquête plaide pour un retour de la dimension politique et nationale du Québec


Lisa-Marie Gervais - C'est un cours d'histoire aseptisé, dépouillé de ses références nationales, voire passé à l'eau de Javel que le Québec dispense à ses quelque 242 000 élèves du secondaire, conclut une vaste enquête menée par la Coalition pour l'histoire auprès des enseignants. Véritable plaidoyer pour le retour de la dimension politique et nationale dans l'enseignement de l'histoire, cet...

Québec

DÉVOILEMENT D’UNE ENQUÊTE RÉALISÉE AUPRÈS DES ENSEIGNANTS D’HISTOIRE DU SECONDAIRE

Une histoire javellisée : sans saveur, inodore et incolore



Une histoire javellisée : sans saveur, inodore et incolore Montréal, le 28 février 2012 – Le porte-parole de la Coalition pour l’histoire, Robert Comeau, et l’historienne et chercheure, Josiane Lavallée, invitent les représentants des médias à une conférence de presse où seront présentés les résultats d’une enquête effectuée par Mme Lavallée qui démontre clairement que les enseignants d’hi...

Réplique à Denyse Baillargeon

Le déni de l’histoire nationale du Québec

Le Devoir devrait peut-être s’intéresser de plus près à ce qui se passe dans le milieu universitaire de l’histoire et poursuivre le débat sur le déni de notre histoire nationale.


Dans un article du Devoir publié le 14 octobre dernier, l’historienne DenyseBaillargeon critique le rapport de la Fondation Lionel-Groulx, co-rédigé par le professeur Éric Bédard, qui fait le constat du recul de l’histoire nationale dans les universités francophones du Québec. ...

Des sophismes qui laissent pantois



Dans sa réplique à mon texte paru dans Le Devoir du 19 octobre, Frédéric Bastien s’en prend à mes positions en avançant un certain nombre de sophismes qui laissent pantois. Par exemple, que l’histoire sociale «réduit la politique à des luttes d’influence entre groupes sociaux» ...

Lettre ouverte au professeur Létourneau

Un rapport éclairant



Les attaques ad hominem auxquelles on assiste depuis quelques jours et l’attitude négationniste banalisant le déclin de l’histoire politique font tort à la cause d’une connaissance démocratisée du passé et à un effort de recherche mené dans un climat serein sans lequel le travail intellectuel risque d’être ramené à des chicanes de familles politiques.

Faire l’histoire des grands hommes



Un collègue historien [Frédéric Bastien, du Collège Dawson] s’en prenait récemment à nos travaux sur la socialisation masculine dans les collèges classiques. Dans le contexte du débat sur l’histoire nationale, il y voyait un exemple du genre de recherches élitistes et déconnect...

Une vraie réponse



M. Jocelyn Létourneau, si je prends ici le temps de vous écrire du haut de mes 19 ans, c’est que je viens tout juste de finir les dernières lignes de votre texte paru dans Le Devoir du 19 octobre dernier, Un rapport gênant, à propos de l’enseignement de l’histoire au secondaire. Je dois dire que je le trouve d’une...

Cessons nos luttes fratricides

Non seulement l’histoire sociale et culturelle répond à un intérêt soutenu du grand public, elle contribue à enrichir l’histoire nationale et à la renouveler.


Depuis les dernières semaines, plusieurs historiens ont commenté la sortie du rapport intitulé Enseignement et recherche universitaires au Québec: l'histoire nationale négligée. Certains ont soutenu que l’histoire sociale et culturelle contribue «à élargir le champ de l'histoire politique et nationale en les ouvrant à d'autres préoccupations» alors que d’autres se sont levés pour affirmer que l’histoire...

La Réplique: enseignement de l'histoire

Un rapport gênant



Le persiflage est-il un argument? Dans la situation québécoise, l'Histoire est une arme idéologique. Les "fedhistoriens" de l'Université Laval le nieraient-ils? La conscience nationale doit se nourrir de projets et aussi de souvenirs. Seuls les "collaborateurs" nieront, souvent avec autant de hargne que de mauvaise foi, cette exigence à la base de l'unité politique viable. - Vigile ----

L'histoire élitiste des historiens universitaires



Pour Denyse Baillargeon, les historiens du national n'ont toutefois pour but que de promouvoir la souveraineté, c'est-à-dire faire oeuvre de propagande. Il n'y a dans leur recherche aucun intérêt ou pertinence. Cet amalgame malhonnête revient aussi à dire que les tenants de l'histoire sociale agissent par partisanerie fédéraliste tandis que personne ne recherche la vérité.

Mythistoire contre mythistoire...

De la pluralité des points de vue en histoire


Une approche pédagogique saine consisterait à éveiller chez les adolescents la conscience de ce double héritage culturel, social, politique (comme on voudra) - une « mythistoire » à double volet, canadienne et québécoise. Avantage : se voir à travers l’histoire d’un autre ou d’un double point de vue périphérique et central. Tout le monde y trouverait son compte.

Des historiens qui ont l'oubli facile



Dans sa prise de position publiée au Devoir contre le rapport intitulé Enseignement et recherche universitaire au Québec: l'histoire nationale négligée, Denyse Baillargeon, professeure au Département d'histoire de l'Université de Montréal, attaque la conception nationaliste de l'histo...

Rappel

Pas d'histoire

votre discours est animé par un refus profond de l'histoire comme conflit dynamique, c'est-à-dire un refus de la vision historique d'eux-mêmes qu'une majorité de Québécois ont reçu en héritage et chérissent avec raison


Mais le refus ouvert de reconnaître l'existence même du conflit auquel a répondu historiquement la lutte nationale des Québécois fonde aujourd'hui non seulement la propagande antiquébécoise des fanatiques du Suburban et de CFCF, mais la pensée de l'intelligentsia à travers le ROC. Une vision bonne-ententiste de l'histoire canadienne redéfinit le nationalisme canadien-français et l'indépendantisme québécois comme des fabrications idéologiques artificielles d'une minorité de francophones aux ambitions dominatrices frustrées. C'est tout l'héritage historique de la nation qu'on tente ainsi de travestir en névrose revancharde et délire paranoïaque de loosers jaloux du succès des Anglais, ces honnêtes travailleurs.

La "mythistoire" nationaliste: une vision réductionniste



Pourquoi opposer "histoire nationale" et "histoires sectorielles"? N'y a-t-il donc pas de SUJET historique? Pas de SUJET politique. Comme dans le conservatisme le plus borné: "il n'y a plus de société" (Margaret Tatcher) L'idéologie fédéraliste a donc besoin de tous ces morts? Exige la désertification intellectuelle? La POLIS reste un mythe? Le DÉMOS aussi? On dirait qu'on nous propose ici une histoire-sans-mémoire, f...

Une fédéraliste chatouilleuse...

Histoire

Le soi-disant déclin de l'histoire nationale au Québec



Dans son rapport intitulé

Une vision polémiste sur l'histoire enseignée



J'ai trouvé assez ironique de lire cette semaine un article du Devoir intitulé «L'histoire du Québec délaissée par les universités», immédiatement avant de donner un cours magistral de première année en histoire nationale portant sur la chute militaire de la Nouvelle-France. La semaine prochaine, je traiterai de la question suivante: «La Conquête: un désastre?» Me référant donc à l'étude de l'historien Éric Bédard ...

Enseignement de l'histoire

Ignorance collective



Mais les faits parlent d'eux-mêmes et suffisent pour alarmer. L'enseignement de l'histoire contourne des pans essentiels de ce que nous sommes, contribuant ainsi à vider de sa substance fondatrice un peuple.

L'histoire du Québec délaissée par les universités



Pour lire l'étude complète Bouchra Ouatik - Le Québec ne se souvient pas assez de son histoire, selon une étude publiée hier par la Fondation Lionel-Groulx et la Coalition pour l'histoire du Québec. «On est un des...

L’histoire nationale négligée!

L’histoire du Québec n’a pas assez de place dans l’enseignement et la recherche universitaires


MONTRÉAL (Québec), le 3 octobre 2011 – Le président de la Fondation Lionel-Groulx, M. Claude Béland, a tenu une conférence de presse aujourd’hui en présence de M. Éric Bédard chercheur, historien et professeur à la Télé-Université, M. Robert Comeau, histor...

Histoire du "passé de la province"

La relation complexe des Québécois avec leur histoire

les Québécois ont une attitude de rejet envers leur histoire


les Québécois ont une attitude de rejet envers leur histoire. S'il est vrai d'affirmer que ces derniers, de manière générale, sont moins nombreux que les autres Canadiens à manifester de l'enthousiasme envers le passé, ils demeurent très majoritaires à se dire intéressés par le passé en général, par le passé de la famille et par le passé du Canada.

Cours d'histoire au 2e cycle du secondaire

Contenu fractionné et nivellement des connaissances



Le 21 juin dernier, le ministère de l'Éducation, du ...

Je me souviens... pas trop!



L'enseignement de l'histoire nationale et politique du Québec ne serait plus bientôt qu'un lointain souvenir

Quand on efface l'histoire...



Il va bientôt falloir renoncer à notre devise: «Je me souviens». Non seulement nous enseignons de moins en moins l'histoire du Québec dans les cégeps, mais nous continuons de négliger nos monuments et nos plaques commémoratives. À la Place d'Armes, par exemple, un site où naquit notre Histoire (et que l'on met une éternité à refaire...), un panneau nous dit : «Ici, l'Histoire est là pour toujours !» Foutaise ! ...

Arizona Ethnic Studies Law Signed By Governor Brewer

Condemned By UN Human Rights Experts



The measure prohibits classes that advocate ethnic solidarity, that are designed primarily for students of a particular race or that promote resentment toward a certain ethnic group. It also prohibits classes that promote the overthrow of the U.S. government.