Comment peut-on penser balafrer à jamais un paysage avec des éoliennes ?
Étudions plutôt la possibilité de faire comme le Danemark, qui a installé de
nombreuses éoliennes en milieu marin, entre ses côtes et les eaux
internationales. Le fleuve Saint-Laurent se prolonge dans un estuaire et un
golfe d'une immensité telle que ses nombreux hauts fonds permettraient sans
doute l'aménagement de pareilles installations hors de notre vue. Même si
elles étaient moins performantes et moins profitables en ces endroits,
j'estime que la beauté des régions et la qualité de vie des gens n'ont pas
de prix.
Arrêtons ce vent de folies improvisées. Calmons-nous le pompon et
réfléchissons pour ne pas gaffer.
Surtout pas question de vendre son âme
pour une poignée de dollars.
Michel Bédard, Montréal
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