Je suis tombé tout à fait par hasard sur ce blogue qui fait mention d'une intervention écourtée et enflammée du ministre des finances Leitao sur le canabis et les paradis fiscaux.
http://jpmartel.quebec/2018/02/12/declaration-des-avoirs-dans-paradis-fiscaux/
Un jour, nous saurons la vérité sur ce qu'il se passe avec tout ces argents qui disparaissent du système au gré des règles qu'on crée ou ne crée pas. En attendant nous pouvons lire un peu partout que le but de la légalisation du pot c'est « enrayer » le monopole du crime organisé et protéger nos enfants. Mais le vrai buzz de tout cela semble bien plus le profit que ça laisse miroiter et la ruée vers le nouveau klondike par certaines personnes laisse perplexe sur les intentions. On peut être sûr d'une chose, si fiasco il y a suite à cette légalisation précipitée, ce sera encore le peuple qui rammassera la facture et lui son compte ne fructifie pas au soleil à l'abris des impôts. 15 ans de libéraux, ça semble tellement surréaliste le disfonctionnement de l'état présentement que je me demande combien de temps ça prendra pour y remédier et vider tous les placards.
Et si on va un peu plus loin, notre société est un ''échec totale'' paniquez pas là.
Quand on regarde le progrès amorcer par la révolution tranquille, on constate que tous ceux qui ont pris le pouvoir depuis le dernier demi siècle ou presque se sont assis sur ces lauriers pour en arriver aux résultats présents un peu partout, exactement comme toutes ces infrastructures qui tombent en ruine et date de la même époque. C'est devenu un mythe la société rêver par nos précurseurs.
On a préféré la récréation à l'amélioration continue pour en arriver finalement à ce résultat désastreux.
Nous avons une sérieuse remise en question à faire comme électeurs et payeurs de taxes pour tout cela et nous n'avons surtout pas le loisir de plaider l'ignorance comme nos aieux qui eux n'avaient pu bénéficier d'une éducation adéquate pour prendre position, l'élite décidait pour le petit peuple avec le soutient du clergé, aujourd'hui c'est sans le clergé et vous pensez que la situation est moins préoccupante. Ce même système d'éducation qui nous sortaient tous de la noirceur et que nous avons laissé se dégradé au lieu de s'amélioré, car avec ce que l'on constate aujourd'hui, il y a place à une très grande amélioration dans la qualité des services offert et les sommes investis. Donc même avec un système déficient, on est capable de faire la part des choses et prendre acte maintenant avant que ça s'écroule comme un vieux pont mal entretenu.
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