Trudeau, l'islamophile

Le PM « canadian », victime d’un phénomène d’inclusion à outrance qui fait fi de la réalité

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Tribune libre

Wikipédia définit l'islamophilie comme étant « un néologisme pour décrire un engouement pour les valeurs de l'islam, généralement associé à une admiration de la civilisation islamique ». Dans ce contexte, force est de constater que Justin Trudeau, eu égard aux nombreuses manifestations pro-islam auxquelles il a assisté, et à la kyrielle de ses déclarations faisant l’éloge de l’islam, répond parfaitement à la définition de l’islamophilie.


Pas étonnant qu’il déploie autant d’énergie à combattre l’islamophobie, sa dernière bataille ayant trait au premier anniversaire de la commémoration de l’attentat de la grande mosquée de Québec le 29 janvier dernier où il est revenu hanter les Québécois sur l’examen de conscience qu’ils devraient faire relativement à leur aversion vis-à-vis le mot « islamophobie ».


Or, les Québécois, en général, ne souffrent pas d’islamophobie, mais ils demeurent conscients que les nombreux attentats perpétrés par les djihadistes musulmans à travers le monde depuis des années sont des actes démoniaques qu’il faut à tout prix dénoncer sans réserve.


Quant à vous, M. Trudeau, à mon sens, votre propension viscérale envers le multiculturalisme vous conduit tout droit à un phénomène d’inclusion à outrance qui fait fi de la réalité au profit d’un culte sans borne et sans nuance pour l’islamophilie.



Henri Marineau, Québec


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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com





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