La Suisse donne le ton avec un tel programme

Remplacer l'immigration par des contrats de travail de durée limitée

L'emploi: la priorité aux Québécois d'abord

Tribune libre


Le Québec gagnerait à imiter certaines politiques ayant fait leurs preuves dans d'autre pays, comme la Suisse qui offre des contrats de travail d'une durée limitée aux travailleurs étrangers.

L'immigration sert à combler des postes lorsqu'il manque de candidats québécois pour les remplir. La priorité devant aller bien entendu aux Québécois et à leurs enfants, c'est on ne peut plus normal. La population ne veut pas de voleurs de jobs.

Une alternative valable serait d'accorder un poste qui ne trouve pas preneur à un travailleur étranger temporaire sous forme de contrat d'une durée d'un an. Au bout d'un an, ce poste redeviendra offert aux Québécois. Si un Québécois devient maintenant disponible pour le prendre, le travailleur étranger retourne alors dans son pays. Il aura ainsi amassé un pécule considérable qui lui permettra de vivre richement chez lui où le coût de la vie est moindre et de faire profiter sa société de cet argent.


C'est sur le même principe que les emplois saisonniers sur les fermes. Ces travailleurs étrangers n'ont pas à devenir citoyens québécois pour accomplir leur travail si profitable à leur famille lorsqu'ils y retournent et où ils vivent heureux dans leur culture et leur terre natale.

Ce serait un excellent moyen pour remplacer l'immigration permanente de candidats problématiques qui ne répondent pas au profil d'intégration requis dans une optique de préservation de l'identité québécoise. On sait que les capacités d'intégration varient beaucoup d'un candidat à l'autre et peuvent devenir la cause de problèmes sociaux de toutes sortes (pauvreté, violence, ghettos, communautarisme, non-participation à la culture majoritaire, fractionnement social, mise en péril de l'identité collective de la majorité). On leur offre généreusement la possibilité de venir s'enrichir ici pendant la durée de leur contrat et ils repartent ensuite chez eux fortune en main.

De tels programmes sont en vigueur dans plusieurs pays européens avec un grand succès. Si ça marche si bien pour eux, pourquoi cela ne marcherait-il pas pour nous?


De plus, ces contrats de travail solutionnent pratiquement le problème du nombre grandissant d'immigrants sans emploi qui se mettent à l'aide sociale à vie, sans oublier les soins de santé gratuits, l'école gratuite à leurs enfants, etc. Ayant fait carrière à l'aide sociale, je vous assure que le portrait est assez peu reluisant sur ce plan. Ce sont des coûts exorbitants qui n'ont pas raison d'être. Le Québec n'est pas un refuge, un hospice pour les milliards de pauvres de la Terre.

Des contrats de travail à durée limitée pour les travailleurs étrangers en remplacement de l'immigration d'opportunité aléatoire, c'est peut-être là la voie de l'avenir.

Illustrations: documents suisse, belge et français.
Réjean Labrie, de Québec

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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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16 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    27 mars 2013

    Le point convaincant que je retiens de votre argumentaire, M. Labrie, c'est que tout emploi redevienne offert à un Québécois au terme du contrat d'un an. Ça me semble tout à fait logique, c'est notre pays après tout.

    Alors, à mesure que nos enfants termineront leur formation scolaire, ils pourront reprendre les postes qui auront été occupés par des étrangers en attendant que les nôtres soient prêts à le faire.
    Sébastien Beauchesne

  • Réjean Labrie Répondre

    25 mars 2013

    Par exemple, en Suisse, les conditions d'attribution du permis B sont:

    Posséder un contrat de travail ou une déclaration d’engagement (une promesse d'embauche) d’une durée d’au moins 12 mois.
    À remarquer que les 4 sortes de permis de travail temporaire ne s'adressent qu'aux membres de l'Union européenne et excluent le tiers-monde. Un exemple à suivre par tous les pays occidentaux.



    Source: http://www.travailler-en-suisse.ch/principaux-permis-travail-suisse.html
    Sur le coût astronomique de l'aide sociale accordée aux 66 000 assistés sociaux immigrants (600 000 000 $ par année): http://www.vigile.net/66-000-assistes-sociaux-immigrants
    Réjean Labrie

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mars 2013

    La destruction de nos pays de souche européenne passe par les finances aussi.
    Le prix d'une immigration non européenne, dans nos pays de souche européenne.
    http://gatesofvienna.blogspot.ca/2012/06/fjordman-price-of-immigration.html
    http://www.dreuz.info/2013/03/des-risques-de-turbulences-graves-grandissent-sur-lhorizon-de-leurope/
    Bonne lecture

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mars 2013

    Vous avez completement raison, tous les pays du nord doivent composer avec du travail saisonniers a cause des températures saisonnieres.
    Il y a une autre raison pour cette immigration massive dans les pays occidentaux qui est n'est pas révélée au citoyens.
    C'est que c'est un complot de la part de manipulateurs mondiaux pour détruire tous les pays occidentaux de souche européenne blanche. C'est a dire que cette immigration massive fera que les blancs de souche deviendront minoritaires dans leurs propres pays et ne pourront plus les gérer de la facon qu'ils l'entendent.
    L'ONU participe a cette destruction car cette institution est infiltrée par des Despotes et des Tyrans de ce monde.
    Le multiculturalisme est une idéologie qui provient du communiste LÉNINE et cette idéologie est pour détruire des peuples et il y a seulement l'occident qui a ce multiculturalisme dans ses codes, cela n'existepas ailleurs dans le monde.
    Je vous fait parvenir des liens qui en parle:
    Michel pagé chercheur, dit: ''Le multiculturalisme vient du communiste Lénine'' Il le mentionne a la fin de son entrevue, cependant ses recommandations son intéressantes a écouter.
    http://quebecoisdesouche.info/index.php?consultation-sur-limmigration-le-chercheur-michel-pagA
    La dépossession des européens de souche ou leur génocide planifié.
    http://majorityrights.com/weblog/comments/none_dare_call_it_white_genocide/
    L'ONU l'ami des Tyrans.
    http://www.postedeveille.ca/2009/06/inhuman-rights---the-uns-human-rights-council-friend-to-islamists-and-tyrants-everywhere-par-ibn-warraq-et-michael-weiss.html
    Bonne lecture

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mars 2013

    @ Monsieur Noël
    L'incendie de Limoilou que vous avez relatée fait réfléchir. Combien de blocs à appartements à Montréal débordent à cause de ces immigrants ou refugiés ??? Pas surprenant que les Montréalais doivent déménager dans la couronne autour de Montréal à cause de la rareté des appartements et des loyers. Je vous crois aussi lorsque vous dites qu'Ottawa fait du "dumping" avec l'immigration dans les plus grosses villes du Québec. À St-Jérôme, tout près d'ici, ça commence à paraître. Moi, je suis persuadé qu'il existe un plan de génocide par les fédéralistes pour nous minoriser et pour empêcher l'indépendance du Québec.
    Pas surprenant que les péquistes ne parlent pas d'immigration; le sujet a toujours été tabou pour eux. Et le pire, ils se font complices de l'assimilation du Québec avec le gouvernement fédéral. Des vendus, des traîtres à la nation québécoise! Le temps joue contre nous si nous ne réveillons pas rapidement surtout que nous ne contrôlons pas notre immigration et que nous sommes à la merci de nos colonisateurs d'Ottawa. Il faut qu'il se passe quelque chose et rapidement; ça n'a aucun bon sens! Voici un site sur le web pour faire bouger les choses; www.avaaz.org/fr/petition/start a petition/
    André Gignac 23/3/13

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mars 2013

    Ne deviens pas Suisse qui veut. Ca prend 12 ans de séjour pour espérer devenir citoyen
    Ensuite faut passer à travers les trois niveaux d'administration:commune, canton, confédération
    C'est un peu comme si on demandait à un immigrant en Beauce de demander d'abord une demande en Beauce, puis au Québec et finalement au Canada, chaque niveau de juridiction pouvant bloquer la demande.
    Si on avait fait ca, le Québec serait libre aujourd'hui parce qu'on n'aurait jamais perdu le référendum de 1995
    http://www.pom.be.ch/pom/fr/index/zivilstand-pass-id/einbuergerung/ordentliche_einbuergerung.html
    Naturalisation ordinaire
    Vous habitez depuis plus de douze ans en Suisse, ou vous êtes né en Suisse de parents étrangers. Vous êtes bien intégré en Suisse et vous y sentez à l'aise. Vous avez la possibilité de demander une naturalisation ordinaire.
    La procédure compte trois étapes: commune, canton, Confédération. Chacune de ces autorités traite la demande et donne son autorisation.
    La naturalisation n'est pas une mince affaire: vous acquérez les mêmes droits et obligations que n'importe quel citoyen de ce pays.
    Nota bene

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mars 2013

    Envoyer des Bhoutanais-Népalais en région cela comporte un problème particulier.Il y a des régions où il n'y a pas de transport en commun efficace.Ça nécessite d'avoir un véhicule.
    Comme l'immense majorité de ces gens-là n'ont pas de permis de conduire.....ça signifie qu'un joli paquet conduisent sans permis valide pendant des mois.
    Et même pour la poignée ayant un permis, ils doivent passer les examens théoriques et pratiques.

  • Alain Maronani Répondre

    23 mars 2013

    "On demande au Québec profond d’accueillir des réfugiés complètement inutiles, à des années-lumière de nos besoins en main-d’oeuvre, pendant que Toronto et Vancouver met la main sur les bolés de Chinois !"
    Ben oui...on ne peut pas avoir le beurre, l'argent du beurre et la fermière...
    Soudainement on réalise que nous manquons le bateau peut-être ?
    Manquerions nous la crème de la crème...?
    Les gens...
    Qui ne veulent pas parler francais ou l'apprendre...
    Qui ne veulent pas être ennuyés (je reste poli...) s'ils désirent envoyer leurs gamins dans des écoles anglophones ou à l'université si leurs enfants le désirent...
    Qui ne veulent pas payer les taxes les plus élevées au Canada.
    Qui ne veulent pas financer la fonction publique, par rapport à la population totale, la plus importante au Canada
    Qui ne veulent pas subir les affres d'un référendum des 4 jeudis qui ne vient jamais.
    Pour qui le terme multi-culturalisme n'est pas rédhibitoire...
    Qui n'ont pas forcément envie qu'on leur répète en permanence, jour après jour, que ce ne sont pas des "vrais' Québécois, qu'ils coutent chers, qu'ils sont tous paresseux, qu'ils encombrent les unités de cardiologie, au BS, etc...
    Qui n'ont pas envie d'entendre dire que leurs doctorats en informatique ou leur diplôme d'ingénieur ne valent rien quand 50 % de la population est en état d'échec scolaire...ou en situation d'illetrisme.
    Qui n'ont pas envie d'être obligé de justifier jour après jour leur droit d'être ici...ou d'être obligé de négocier pour pouvoir travailler une année de plus, comme le propose l'auteur de l'article...
    Qui n'ont pas envie d'être obligé de passer sous les fourches caudines des ordres professionnels québécois (des mafias)...
    Ces gens vont ailleurs...avec leurs compétences, leur argent, leur famille, et leur culture...
    Voila qui fait plaisir à de nombreux participants sur Vigile...pour qui l'immigration est inutile, nous coûte cher, etc...on reste entre nous icite !!!
    Au Québec nous sommes riches de pauvres et pauvres de riches...
    et si les gens désirent aller ailleurs au Canada, de plus en plus, peut-être un examen de conscience serait utile...en dehors du fait francais...

  • Archives de Vigile Répondre

    23 mars 2013

    @ Jacques Noel
    Ce qu'il y a de particulier avec les réfugiés Bhoutanais-Népalais: les plus jeunes ont appris l'anglais dans les camps de réfugiés au Bhoutan.
    Je me demande pourquoi on ne les envoit pas dans le ROC. D'ailleurs il y en a qui, au bout de quelques mois au Québec, décident de s'en aller dans le ROC.
    Quant aux plus vieux, malheureusement ils sont trop souvent pas ou peu scolarisés.
    Pour ces gens-là le choc culturel est terrible!

  • Marcel Haché Répondre

    23 mars 2013

    M. Labrie.
    Je proviens du même réseau que vous. On me fera croire à l’immigration quand tous ceux qui sont retenus par leur devoir de réserve pourront parler, tous les agents de l’aide sociale, et qui viendront Nous dire « pas de problèmes avec l’immigration ».
    Mais que les multiculturalistes viennent Nous dire qu’il y a des emplois non-comblés, de très hauts niveaux, et que ce sont les immigrants provenant souvent de sociétés sous-développées qui pourraient faire ici la différence me semble fantaisiste et abusif.
    Il y a un marché frauduleux de l’immigration et il y a un marché frauduleux de l’emploi. Les payeurs de taxes et d’impôts québécois n’ont rien à gagner des taux démentiels d’immigration. Ce sont plutôt ceux qui ont toutes les facilités de se soustraire à leurs obligations parce qu’ils sont entrepreneurs et grands décideurs qui ont intérêt à appuyer la chorale multiculturelle.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 mars 2013

    http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/201303/21/01-4633579-incendie-dans-limoilou-des-dizaines-dimmigrants-forces-de-repartir-a-zero.php
    «Il a fallu envoyer des interprètes pour les familles qui ne parlent ni anglais ni français [N.D.L.R. : c'est notamment le cas de familles bhoutanaises]. Certains sont ici depuis quelques années, mais d'autres sont arrivés en décembre seulement, explique-t-elle
    -----
    Toute la ville est en train de se mobiliser pour aider ces sinistrés. Les Québécois sont généreux. Mais tellement naifs. Personne ne se demande: mais comment ces gens ont abouti ici?
    Peu de gens savent qu'Ottawa se sert de Québec, Sherbrooke, Joliette et St-Jérome comme des dumps à réfugiés.
    On demande au Québec profond d'accueillir des réfugiés complètement inutiles, à des années-lumière de nos besoins en main-d'oeuvre, pendant que Toronto et Vancouver met la main sur les bolés de Chinois! Et personne ne dit rien. Même pas le PQ. Avez-vous entendu le PQ parler immigration depuis 6 mois?

  • Archives de Vigile Répondre

    23 mars 2013

    M. Gignac a écrit:"Ça coûte une fortune aux Québécois, la venue annuelle de 55 000 nouveaux immigrants dont la plupart d’entre eux ne trouveront pas d’emploi ici.".
    D'abord il faut distinguer entre l'immigrant qui arrive en n’étant pas un réfugié et le réfugié. Dans le premier cas, ce type d’immigrant n’est pas sur l’aide sociale à son arrivée.
    Quant aux réfugiés, c'est à ce niveau qu'il faudrait faire attention. Personnellement, j'ai connu beaucoup de réfugiés Colombiens arrivés ici entre plus ou moins les années 2000 et 2009. La majorité de ces gens-là se sont bien intégrés et sont autonomes.
    D'autre part, depuis environ 3-4 ans nous arrivent des réfugiés en provenance des camps de réfugiés du Bhoutan, certains sont Népalais et d’autres Népalais d’origine. Il s'agit d'un groupe pour qui l'intégration est beaucoup plus difficile. Un bon nombre d'entre eux étant soit analphabètes ou peu scolarisés. Il y a un océan de différence entre un réfugié Colombien et un réfugié Bhoutanais!
    LE DEVOIR a consacré récemment 3 articles sur les difficultés majeures d’intégration des réfugiés Bhoutanais-Népalais, à Québec.
    "Depuis 2009, Québec est la ville qui a accueilli le plus gros contingent de réfugiés népalais au Canada, soit plus de 1000 personnes. Malgré leur volonté de réussir, ces réfugiés éprouvent des difficultés d’adaptation majeures"
    http://www.ledevoir.com/politique/v...
    http://www.ledevoir.com/politique/v...
    C’est vrai à Québec pour les Bhoutanais-Népalais, pis c’est vrai ailleurs.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 mars 2013

    @ Jacques Noel
    Je gage 100$ qu'il s'agit de réfugiés bhoutanais-népalais.

  • Alain Maronani Répondre

    23 mars 2013

    Une simple question...
    Pourquoi les Québécois au chomage, ou qui sont suffisament jeunes, et qui profitent des systèmes sociaux (BS, médicaments gratuits, etc) ne remplacent-ils pas les Mexicains, les Honduriens, les Salvadoriens, etc, l'été, pour les travaux agricoles ?
    Venir faire la vaisselle dans les restaurants à Montréal ?
    Faire le ménage dans les bureaux du centre-ville à Montréal, le soir (uniquement des sud-américains..).
    Travailler au salaire minimum dans les centres d'accueil et d'hébergement ?
    Conduire des taxis à Montréal ?
    Ramasser les vidanges et les bacs de recyclage ? Dans mon secteur uniquement des sud-américains....
    Pourquoi les gens de la Gaspésie, des Iles-de-la-Madeleine, se descendent t-ils pas à Montréal, l'hiver pour prendre ces emplois ?
    Ah... ils ne veulent pas de ces emplois ?
    Voila un bon moyen de limiter l'immigration, qu'attends-on ?
    Harper a trouvé la solution, il va remettre tout ce monde au travail....
    Et effectivement, tous les bamboulas, pourront ensuite rentrer chez eux, pour festoyer, dans la jungle, autour de feux de camp...
    Il n'arrêtait pas d'en sortir...comme des rats...comme nous le raconte le Marseillais de service...
    La Suisse, un pays que je connais très bien, ne donne pas de permis de séjour temporaire, mais des autorisations de travail, et ceci concerne, pratiquement uniquement, les frontaliers, qui traversent la frontière suisse tous les matins, pour rentrer chez-eux le soir...phénomène très visible à Genève et Lausanne, totalement absent à Bale, Zurich, et inexistant dams la région du Tessin...le salaire minimum en Suisse étant de 5000 $ par mois, tout le monde n'est pas malheureux...
    Le papier sur le mineur polonais date de 1918, et beaucoup d'entre eux sont devenus des citoyens belges ou francais, ils sont restés.
    A cet époque la France qui avait perdu 1.5 million d'hommes et a été parfaitement satisfaite de les acueillir, pour travailler dans les mines du nord de la France...

  • Archives de Vigile Répondre

    23 mars 2013

    Monsieur Labrie
    Je suis entièrement d'accord avec votre point de vue. Ça coûte une fortune aux Québécois, la venue annuelle de 55 000 nouveaux immigrants dont la plupart d'entre eux ne trouveront pas d'emploi ici. Pas surprenant que nous nous retrouvons en déficit continuel au Québec.
    André Gignac 23/3/13

  • Archives de Vigile Répondre

    23 mars 2013

    Avez-vous vu le feu qu'il y a eu cette semaine à Limoilou?
    Que des immigrants dans le même bloc. Sept à huit par appartement! Les pompiers étaient renversés de voir qu'ils ne parlaient ni français ni anglais.
    On se serait crû à Paris ou Marseille.
    Ben non c'était en plein coeur de la capitale nationale
    http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/201303/21/01-4633291-incendie-dans-limoilou-plusieurs-immigrants-a-la-rue.php
    Des dizaines de personnes, la plupart des immigrants, se retrouvent à la rue après que l'immeuble de huit logements dans lequel ils habitaient a été détruit par les flammes cette nuit.
    Les pompiers de Québec ont eu à faire face à un incendie d'une rare intensité... et complexité lorsqu'ils sont arrivés un peu après 23h, mercredi, face au 1075, de la rue Bouchette, dans le quartier Limoilou.
    «Les gens sortaient pieds nus. Et ça sortait, ça sortait», raconte Annie Marmen du service de protection contre les incendies, affirmant que les pompiers étaient visiblement surpris de voir autant de personnes qui habitaient au même endroit. Une situation «inhabituelle», convient-elle.
    Au total, la Croix-Rouge a pris en charge jusqu'à 76 personnes réparties entre 16 familles. Parmi elles, il y a bien sûr les huit familles de l'immeuble incendié, mais aussi huit autres vivant dans des immeubles voisins. Ces occupants ont été évacués par mesure préventive. Plusieurs sinistrés proviennent de la communauté bhoutanaise.
    En plus de devoir gérer autant de sinistrés au même moment, les sapeurs ont dû faire face à d'autres difficultés, dont celle de la langue. «Ils ne parlaient ni français, ni anglais. On ne s'attendait pas à ça. C'était un défi de communiquer avec eux et de savoir s'il restait des gens à l'intérieur», ajoute-t-elle.