Candidate pressentie à la chefferie du PLQ

Qui est Marwah Rizqy?

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Tribune libre

De toute évidence, la députée de Saint-Laurent, porte-parole de l’opposition officielle en matière d’éducation et d’enseignement supérieur et porte-parole de l’opposition officielle en matière de stratégie numérique, Marwa Rizqy ne manque pas de cran quand il s’agit de faire valoir ses opinions par l’entremise des médias. Candidate pressentie à la chefferie du PLQ, il m’apparaissait pertinent d’en connaître davantage sur la personne de Marwa Rizqy.


Pourquoi Marwa Rizqy a-t-elle fait le saut en politique?


Les raisons pour lesquelles j’ai décidé de me lancer en politique sont nombreuses. Je désire notamment défendre une vision d’ouverture et d’ambition, ce qui m’amène à dénoncer les positions alarmistes et populistes de François Legault et de sa fausse coalition. Ses politiques arbitraires sont à la fois inhumaines et néfastes pour la prospérité du Québec, en plus de menacer notre poids démographique et politique dans le Canada. Ma mère, qui est arrivée au Québec en 1980, maîtrisait le français de façon très approximative à l’époque. Sous un gouvernement Legault, elle aurait sans doute été expulsée et je n’aurais jamais eu la chance d’être la fière Québécoise que je suis aujourd’hui.


Auto-portrait


Je suis née et j’ai grandi à Montréal. Passionnée de fiscalité, j’ai complété un doctorat en droit fiscal à l’Université de Floride ainsi qu’une maîtrise en fiscalité internationale de la même université. Je détiens un baccalauréat en droit civil, une maîtrise en administration des affaires (LL.B./MBA) de l’Université de Sherbrooke, en plus d’être membre du Barreau du Québec et de New York. Je suis aussi membre de l’Association de planification fiscale et financière, de la Fondation canadienne de fiscalité ainsi que de l’Association fiscale internationale.


Très engagée dans ma collectivité, j’ai mis sur pied une clinique d’impôts visant, entre autres, à enseigner aux gens à produire eux-mêmes leur déclaration de revenus et à profiter au maximum des crédits d’impôt disponibles. Je ne manque jamais une occasion de tenir des conférences auprès des jeunes afin de les inciter à poursuivre leurs rêves et leurs ambitions. Ma grande implication et la qualité de mes interventions ont récemment été soulignées. En effet, en juin 2017, j’ai été la lauréate de la catégorie « Leadership au féminin », du gala annuel des Grands Prix de la Relève d’Affaires du RJJCQ présentés par Banque Nationale. En septembre dernier lors de la cérémonie de l’ouverture des tribunaux du Jeune barreau de Saint-François, le prix d’ « Avocate de la relève » 2017 m’a été décerné. Ces prix témoignent de mon apport à la société lorsqu’il est question d’évasion fiscale, d’équité fiscale et de moderniser les lois fiscales à l’ère numérique.


J’ai été appelée à prendre part aux nombreux débats entourant la fiscalité et l’économie. Mon engagement social s’inscrit dans une volonté d’assurer une justice sociale, économique et fiscale pour tous.


Source : Site du Parti libéral du Québec


Réflexion sur le populisme


Associé parfois péjorativement au fascisme, le populisme suscite de nombreuses réactions de contestations auprès des partis dits « traditionnels ». Toutefois, force est de constater que le populisme profite actuellement d’un élan sans pareil auprès de certains pays. Aussi ai-je cru opportun de faire une petite recherche sur la définition du populisme dans le but de porter un regard critique objectif : 


« Le populisme incarne une idéologie (ou mouvement politique) qui fait la promotion du «peuple» -imaginaire ou réel, majoritaire ou identitaire- en développant un discours fondé sur une triple méfiance : 1) à l'endroit de certaines élites (partis, députés, fonctionnaires) ; 2) à l'endroit d'un prétendu système caché (complot) qui trahirait les intérêts fondamentaux du peuple et 3) à l'endroit d'entités ou de mouvances internationales -entreprises, organisations, migrations, etc.. Associé parfois à la droite et parfois à la gauche, le populisme est aussi un style politique : doctrine simple, chef fort et charismatique, organisations de masse structurées. Le populisme est souvent marqué par des formes d'anti-intellectualisme et d'antiparlementarisme ; il est également, du moins dans certains cas, anti-urbain et xénophobe. Le populisme s'appuie sur la prétention que le peuple est fondamentalement «bon» et «sain» et qu'il aurait été trompé ou trahi. Le populisme prend souvent un caractère moralisateur, lié à une symbolique «nostalgique» de retour à la «vérité profonde» ou de redressement national par une osmose directe (sans intermédiaire) entre un chef et son peuple. » Référence : Perspective Monde


D’entrée de jeu, je suis d’avis que la philosophie de base qui sous-tend le mouvement populiste, à savoir la promotion des intérêts du peuple, est difficilement attaquable dans une société démocratique. Quant à la « méfiance » à l’endroit de certaines élites, je ne peux là aussi que constater qu’elle est tout à fait justifiable, particulièrement eu égard aux écarts économiques astronomiques entre les différentes classes de la société.


Toutefois, à mon sens, la prépondérance de l’importance d’un « chef fort et charismatique » comporte en soi certains dangers, notamment celui de prendre une place omniprésente dans les objectifs visés « pour le bien du peuple ».


Enfin, j’abonde dans le sens qu’un « populisme vigilant » ne peut que rétablir un sain équilibre entre le peuple et l’appareil étatique, et enrayer toute tentative de la part des élites d’empiéter sur les droits légitimes dévolus au peuple, notamment le droit à une saine qualité de vie. Denise Bombardier en remet


Le Rassemblement national en tête aux élections européennes en France Denise Bombardier en remet...


https://www.bvoltaire.fr/une-victoire-du-rn-certes/


Denise Bombardier en remet...


https://www.journaldemontreal.com/2019/05/28/la-democratie-a-lheure-du-populisme





Henri Marineau, Québec


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Henri Marineau2093 articles

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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com





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