<< Une démocratie sans valeurs se transforme facilement en un totalitarisme déclaré ou sournois comme le montre l'histoire. >> Jean-Paul II

La démocratie totalitaire imposée aux peuples par les politiciens antipatriotes dans l’alternance du Pouvoir de l’État, n’est qu’une conjugaison de facteurs législatifs, exécutifs et de connivences mafieuses, facteurs destinés à faire prévaloir les intérêts de ces groupes organisés. C’est-à-dire, l’objectif de ces minorités organisées accaparant le Pouvoir de l’État à caractère déprédateur et mafieux est d’imposer une dynamique exclusive de privilèges monétaires, des désignations financières, des lois favorisant les lobbys spoliateurs et leurs complices dans ce même appareil d’État.

Les exemples révélateurs de la dynamique précédemment évoquée d’enrichissements illicites, citons, entre autres, les États-Unis des Clinton, Obama-Biden, la France de Macron, celle impliquant l’Union Européenne de Ursula von der Leyen, le Canada des Trudeau, le Québec de Charest, Legault(1). En ces états de lieux politico-mafieux, il faut crument se demander, pourquoi il n’y a pas eu un moyen démocratique et radical d’arrêter ces prédateurs impliqués dans les saccages organisés de fonds publics? La réponse n’est nulle autre que l’absence d’un système de démocratie directe ou de leadership étatique résolument patriotique comme celui exercé par le 45-47 Président des États-Unis, Donald J. Trump.

La définition exposée à Wikipédia(2) comparant la << démocratie libérale >> à celle traitée dans le présent document, n’est qu’un détournement téléologique afin de masquer la vraie raison de cette << démocratie >> monopolisée par la néo-aristocratie mondialiste gouvernant en Occident contraire aux intérêts de la majorité de l’électorat piégé par ces deux concepts politiques antidémocratiques résultant les mêmes conséquences néfastes :

La démocratie totalitaire désigne un régime autoritaire qui se légitime par l’adhésion collective à une idéologie perfectionniste, présentée comme indépassable. Dans ce système, l’antagonisme entre l’État et l’individu est théoriquement nié ; s’il advient, l’État s’arroge le droit – voire le devoir moral – d’imposer son autorité au citoyen réfractaire^[1]. Cette conception repose sur l’idée qu’il n’existerait qu’une seule organisation sociale véritablement vertueuse, que le pouvoir se doit de réaliser par tous les moyens. Elle s’oppose en cela à la démocratie libérale, laquelle, renonçant à toute téléologie politique rigide, s’en remet au jeu des institutions et à la correction progressive des erreurs pour améliorer la société, sans postuler l’existence d’un modèle de gouvernement unique et absolu.

Ces deux principes << démocratiques >> de symbiose politique comparés entre l’un et l’autre, reflète la fausse démarche d’une vraie et protectrice démocratie de sauvegarde et promotion des intérêts nationaux dans ce mondialisme déprédateur toujours avide de spolier les ressources naturelles, fiscales, monétaires, politiques, sociales, culturelles, technologiques… des nations dépourvues des mécanismes politiques anti-frauduleux que seul le système de DÉMOCRATIE DIRECTE assure(3).

Jean-Louis Pérez-Martel

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1. Le saccage en système des fonds publics au Québec et au Fédéral par la mafia BIG PHARMA, McKinsey, parmi tant d’autres, et leurs complices antipatriotes

https://vigile.quebec/articles/le-saccage-en-systeme-des-fonds-publics-au-quebec-et-au-federal-par-la-mafia

2. Démocratie totalitaire https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie_totalitaire

3. Démocratie directe https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie_directe