Il y avait une seule grosse femme dans Les belles-sœurs [1] de 1968, l’œuvre théâtrale de Michel Tremblay, alors qu’il y en a quatre dans l’adaptation cinématographique sortie 56 ans plus tard, Nos belles-sœurs [2]. Cette hausse me semble à peu près suivre la ligne courbe de celle du nombre d’obèses au Québec depuis un demi-siècle. Les Québécois doivent s’attendre à rire grassement.
Sylvio Le Blanc
[1] https://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/theatre/201806/13/01-5185651-universelles-et-eternelles-belles-soeurs.php
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