Le concept du pluralisme peut sembler bon en apparence, mais trop souvent on pousse son application à des excès tels qu'ils nuisent au bon fonctionnement d’une société, au maintien de ses acquis, à sa stabilité. Dans les faits, l'usage qu'on en fait, les résultats s'avèrent plus nocifs que vraiment utiles. Et c’est à ce moment qu'il devient nécessaire de lui appliquer des balises pour éviter les dérives idéologiques.

« Le pluralisme est un ensemble d'intentions et de pratiques qui cherche à institutionnaliser la reconnaissance de la différence et le respect de la diversité en tant que culture civique. »

Source : CENTRE MONDIAL DU PLURALISME

Il arrive qu'on entende certains politiciens penchant un peu trop à gauche affirmer que la société québécoise est devenue pluraliste définitivement, comme si c'était une fatalité, comme si ça ne pouvait plus se changer, comme s'il était impossible de faire marche arrière, comme si on ne pouvait pas redevenir comme avant lorsque tout allait tellement mieux. Aveuglement idéologique volontaire que tout cela.

De plus en plus de gens commencent à se rendre compte qu'une société pluraliste finit par devenir aussi destructrice que le multiculturalisme ou l'idéologie diversitaire, toutes trois souvent interchangeables dans leurs effets dénatureurs et néfastes, toutes trois ayant pour résultat de fragmenter et désagréger la nation en place, le peuple fondateur, afin de la soumettre aux caprices incessants des minorités.

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Les Québécois possèdent ce qu'il y a de plus précieux pour définir une nation : une identité collective affirmée, aux contours précis, affinée au fil des siècles, et qui nous distingue de tous les autres peuples de la Terre sans exception. Il n'y en a pas d'autres tout à fait comme nous où qu'on regarde. C'est ce qui fait notre force, notre beauté, et qui nous rend uniques au monde. C'est ce qui nous enracine profondément sur la terre de nos aïeux.

Une société pluraliste viendra diviser, effriter, réduire, appauvrir, ce que nous sommes. C'est pourquoi il faut combattre ce principe anéantisseur qui ne peut nous convenir.

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Le grand principe moteur qui doit nous guider dans l'établissement d'une société fonctionnelle et satisfaisante pour le plus grand nombre est celui de l'unicité, celui du Chiffre Un. En d'autres mots, c'est tout ce qui favorise la cohésion sociale, le sentiment d'appartenance, le bien-vivre ensemble, et génère une identité collective partagée et solide.

Voici l'équation du principe simple à comprendre de l’unicité :

1 pays = 1 nation = 1 langue = 1 culture = 1 religion = 1 mode de vie = 1 système de valeurs

Pour le redire en mots : un pays idéal est composé d'une seule nation, n'a qu'une seule langue officielle, possède une seule culture partagée, n'a qu'une seule tradition religieuse, fonctionne selon un seul mode de vie et un seul système de valeurs reconnues par tous.

Tout ce qui nous éloigne de ce grand principe est nuisible ; tout ce qui le renforce est désirable.

Le grand principe de l'unicité nationale se situe tout à l'opposé de l'idéologie néfaste du pluralisme démembreur.

Bien qu'on ne puisse pas toujours réussir à maintenir la force unificatrice du chiffre 1 à tous les niveaux, tous les efforts doivent être mis en oeuvre pour tendre vers cet objectif.

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Car dès qu'on se met à vouloir tout mélanger, ethnies reculées, cultures divergentes, langues étrangères, religions obscurantistes, valeurs diamétralement opposées, c'est à ce moment-là que les problèmes insolubles explosent et créent le chaos social.

Voyons de quoi il retourne.

Mélangez les religions et voici ce qui se produit :

Dans notre propre pays, les pro-hamas se battent contre les juifs et provoquent par des prières islamiques publiques devant McGill, les hindous se battent contre les sikhs, les islamistes se battent contre les mécréants, le terrorisme couve partout, ça n'en finit plus. Importez des fanatiques religieux arriérés, et vous aurez des fanatiques religieux arriérés manigançant leur prochain méfait tout autour de vous. Le tout se manifestant par des tentatives d'entrisme religieux organisées (Bedford). Inégalité homme/femme, asservissement des femmes musulmanes voilées.

Mélangez les langues et voici ce qui se produit :

Montréal se déquébécise à vue d'oeil et son d'oreille. Elle devient une Tour de Babel des temps modernes où plus personne ne se comprend. Les oreilles nous silent.

Mélangez les cultures et voici ce qui se produit :

La culture majoritaire se voit graduellement minorisée et mise en péril de disparition. Les minorités ethniques l'ignorent.

Mélangez les ethnies et les races et voici ce qui se produit :

Augmentation des frictions interpersonnelles, de la criminalité, séparation et isolement communautariste, indifférence ou animosité envers les non-semblables, adoption d'un rôle de victimisation par les minorités, l'impression désagréable d'être encerclé par des étrangers qui le restent, insécurité latente croissante

Mélangez les modes de vie et voici ce qui se produit :

Le chaos social, l'anarchisme, l'antagonisme, le recours judiciaire pour contester les lois des natifs, le sentiment malaisant de ne plus se sentir chez soi

Mélangez les valeurs et voici ce qui se produit :

Méfiance, instabilité sociale, contestation, polarisation, affrontements, légitimation du mal (ex. : les mariages forcés ethniques de mineures au Québec)

Non, il est clair qu'on ne veut rien de tout cela dans notre société. C'est pourtant le regrettable résultat de l'application du pluralisme élevé au rang de dogme absolu.

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La population doit faire pression sur ses élus dans le but de faire reculer le pluralisme nuisible au bien-vivre ensemble. Il est facile de constater que plus on le laisse se répandre, plus les conflits en tout genre augmentent.

En effet, les étrangers inculqués au chaos et à l'instabilité de leurs pays de misère sous-civilisés ne peuvent s'empêcher d'apporter dans leurs bagages les conflits de leurs pays de misère sous-civilisés et de s'empresser de les répandre ici, comme on répand de l'essence sur une voiture pour y mettre feu, ce qu'ils font d'ailleurs.

(J'aurais pu insérer ici une photo de voiture en feu à Montréal).

Même que leurs ennemis jurés se retrouvent également ici eux aussi en tant qu'autres immigrés qui leur sont antagonistes. L'enfer, quoi ! On recrée des mini Bandes de Gaza, des mini Israël, des mini Indes, des mini Iran, etc. Et ils ne resteront pas mini longtemps car étant très enclins à la boursouflure...

Un pays occidental évolué ne peut bien fonctionner qu'avec des Occidentaux évolués dedans. C'est pourtant d'une telle évidence.

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Remplissez-nous de cette sorte de gens qui font que leurs pays vont de mal en pis, et notre pays ira de mal en pis.

Les méfaits dus au mauvais fonctionnement d'une société pluraliste doivent être contrecarrés en revenant à des valeurs sures qui ont fait leurs preuves de par le passé. Que le Québec redevienne le Québec qui nous a rendu heureux, un Québec d'avant l'immigration massive indiscriminée, un Québec composé majoritairement de gens tricotés serrés qui se sentent bien ensemble parce qu'ils se reconnaissent et s'apprécient pour ce qu'ils sont, du vrai bon monde de chez nous. Je me souviens de cette époque bénie. Que ce souvenir des temps meilleurs nous motive à retrouver, à réactualiser les mêmes conditions de vie qui convenaient à la grande majorité d'entre nous.

Le gouvernement québécois est bien conscient de l’aberration du multiculturalisme fragmentateur, tout comme le reste de la population d’ailleurs. C’est pourquoi il vient de proposer le projet de loi 84 sur l’intégration nationale qui en rejette l’application au Québec.

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Revenons à nos bonnes vieilles valeurs d'antan éprouvées, les vraies de vraies, les nôtres, transmises de nos aïeux à notre descendance.