Il ne se passe pas une journée sans que les médias fassent état de la détérioration de la situation sociale à Montréal: langue en péril, augmentation de la dangerosité due à la hausse fulgurante de la criminalité ethnique, exode des vrais Québécois hors de cette ville où ils ne se sentent plus chez eux.
Il suffit de s'y rendre et d'y circuler un tant soit peu pour constater que Montréal n'a plus grand'chose à voir avec le véritable Québec authentique, celui de toutes les régions, 1100 villes et villages qui forment la nation historique de son peuple fondateur aux racines profondes. Et ce choc malaisant semble vouloir s'amplifier à chaque visite subséquente.
La démographie montréalaise, de plus en plus composée de gens qui n'y sont pas nés et qui sont originaires du tiers-monde sous-civilisé, est devenue un pêle-mêle bigarré sans nom, un galimatia d'origines multiples et indéfinissables, une tour de Babel penchée tout croche ou s'entrechoquent langues étranges et étrangères qui piétinent et massacrent le français, croulant sous l'amoncellement de cultures envahissantes et assaillie par des mentalités antagonistes qui cherchent à empiéter sur la nôtre. Ajoutons à ce marasme le choix de la langue anglaise et les revendications religieuses aggressantes.
Rien de surprenant au fait d'assister à l'exode de milliers de familles hors de la métropole. La relation de cause à effet directe est on ne peut plus claire.
Ajoutant l'insulte à l'offense, c'en est même rendu au point que certains téléromans d'ici font l'apologie ouverte de la diversité multi-ethnique, le tout subventionné à même les fonds publics. Imaginez, on finance une idéologie visant à démanteler et détruire notre identité collective!
Prenons par exemple l'émission "180 jours" présentée à Télé-Québec qui se passe dans une école de quartier multiethnique montréalaise où les jeunes Québécois de souche sont quasiment devenus accessoires, se voyant relégués au second rang, minorisés et constamment rabaissés ou intimidés.
Et par-dessus le marché, le tout nous est présenté comme étant un phénomène normal et hautement désirable, une nouvelle réalité inévitable, un changement bienvenu des pions sur l'échiquier, une évolution naturelle de la société qu'il faudrait même accélérer. Que de fausses prétentions! Quel vil martelage d'une propagande multiculturaliste pourtant rejetée en bloc par la majorité canadienne-française.
Mais qui a financé la production d'une telle série et d'autres du même genre au message sous-jacent à peine voilé? Qui l'a commandée? Quels sont les coupables qui ont décidé de s'en prendre au peuple québécois dans le but de le diluer, en cédant une place indue aux communautés étrangères qui se répandent en ville comme une tache d'huile sur nos lacs et cours d'eau?
De telles séries dépeignant certains quartiers montréalais sont présentées à la population du Québec comme si c'était devenu le portrait type de toutes nos écoles, ou pire, comme si c'était ce qui nous attend à plus ou moins brève échéance -et qu'il faudrait selon eux s'en réjouir au plus haut point.
On considère que c'est toujours à nous qu'il revient d'accommoder l'étranger, de céder du terrain, d'accepter des comportements qui nous heurtent, de reculer, de plier. Et c'est ce qu'on inculque quotidiennement à nos jeunes sur les bancs d'école sous forme de lavage de cerveau systématique.
Quelle horrible distorsion de la réalité, intentionnelle et maléfiquement concertée par les fédéralistes diversitaires!
Non, par bonheur, le reste du Québec ne ressemble pas à ce qu'est malheureusement devenue Montréal cosmopolitisée, nivelée vers le bas.
Faisons des pressions auprès de nos élus pour qu'il ne le devienne pas non plus par transmission communautaire, pour reprendre une expression à la mode.
Il faut préserver le visage historique du Québec et toutes les éléments identitaires qui le caractérisent.
Les Québécois possèdent une magnifique identité collective affinée au fil des siècles qui fait notre juste fierté. Ne la laissons pas s'effriter, s'étioler, jusqu'à ce qu'elle tombe en lambeaux et devienne méconnaissable.
C'est par l'affirmation nationale que nous continuerons à occuper cette place qui est la nôtre, celle qui nous revient de droit, celle que nous avons amplement méritée.
Au Québec, on ne veut pas être autre chose que Québécois.
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