Dans les années 2000, le milliardaire et fondateur de Microsoft Bill Gates décide de se consacrer uniquement à sa fondation, à laquelle il a promis de léguer 95% de sa fortune. Les médias le présentent désormais comme l’un des plus grands bienfaiteurs de tous les temps. Le journaliste Lionel Astruc a enquêté sur ce “philanthro-capitalisme” moderne dans L’art de la fausse générosité, la fondation Bill et Melinda Gates aux éditions Actes Sud. Les “super-riches” vont-ils prendre la place des Etats en concentrant toujours plus de pouvoir sur les politiques d’éducation, d’agriculture et de santé publique ?
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