J'aurai au mieux des commentaires....

Lettre envoyée aux députés francophones du parti Libéral

... au pire des copier/coller laconiques

Tribune libre

Comment pouvez-vous être fiers de votre langue, comme on voit dans la publicité de comté de certains d’entre vous, quand vous appuyez une loi qui va, à terme, signifier sa disparition?
Honte à vous ! Vous votez contre votre propre pays, vous crachez ainsi sur vos ancêtres qui ont peiné pour vous donner ce que vous avez aujourd’hui. Je ne dis pas que tous les députés libéraux sont pourris, mais si vraiment, au fond de vous-même, vous appuyez ce que votre inqualifiable chef a commis, cela fait de vous des complices, et tôt ou tard, la population va s’en souvenir et agir.
Gardez ce qui vous reste de dignité pour siéger, au moins, à titre d’indépendants. Le temps venu des prochaines élections, le peuple, dont vous faites partie d’ailleurs, qui n’est pas aussi imbécile que certains d’entre vous semblent le croire, va se souvenir de ceux qui l’ont vraiment représenté et qui sont des hommes et des femmes de courage au lieu de plier sous les diktats des instances financières du PLQ, parti englué dans les scandales et la corruption.

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Ivan Parent403 articles

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Pianiste pendant une trentaine d'années, j'ai commencé
à temps partiel d'abord à faire du film industriel, de la vidéo et j'ai
fondé ma compagnie "Les Productions du LOTUS" Les détails seront visibles sur mon site web.
Site web : prolotus.net





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1 commentaire

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    19 octobre 2010

    Faites attention, cher monsieur Parent! Si vous manifestez un tel désir de défendre votre propre langue et votre propre culture, notre John James MacDonald Charest national, affirmera devant les caméras de Radio-Canada, que vous êtes un des violents terroristes assoiffés de sang qui écrivent sur Vigile!
    Sans blague, je crois que soit nous élisons le PQ au pouvoir en 2012, et que Mme Marois met alors en marche la tenue d'un nouveau référendum, soit nous amorçons un lent processus de disparition, en tant que nation...
    Oh, en passant, s'il y a des fédéralistes qui présentement, me lisent, j'ai une suggestion pour vous: puisque vous aimez à ce point l'anglais, et le statut de minoritaires, pourquoi n'allez-vous pas vivre en Ontario, et que vous ne nous laissez pas créer notre propre pays, nous qui voulons que notre société et notre culture québécoises survivent? Vous seriez sans doute plus heureux là-bas, de toute manière.