Eh oui, mesdames. Eh oui, messieurs.
Ce sont des professeurs d’université de cette trempe qui enseignent à nos enfants...
Cela étant, il faudrait peut-être informer nos cousins d'Helvétie qu’ils se sont fait entuber, et pas à peu près, comme on dit communément, par l’Uquamien Ancelovici de service. On pourra d’ailleurs, pour qui le désire, procéder à cette fin par cet espace numérique prévu à cet effet. Il y va tout de même, après tout, de la réputation de rigueur et d’excellence intellectuelle au sein du milieu universitaire québécois (exception faite de l’UQÀM ? Il y a quand même des éléments solides au sein de l’Institution, je n’en disconviens pas. La question est de savoir : pour combien de temps encore...? Car, comme le mentionne monsieur Sébastien, ça se reproduit bourdieusement ces petites bibittes; qui, d'Écoles en Départements et en Facultés, troquent la Connaissance et la Pensée rigoureuse pour leurs Idéologies à la mode... tendance).
Bien que notre ami sociologue du jour, il est vrai, sauf erreur, d’après mes recherches, ne semble pas avoir la fibre québécoise plus résiliente que celle des Marc Lalonde, des Jack Jedwab et des E/milie Nicolas de notre médiocre provincia… dans ce so Great Canada.
Cette médiocrité, hélas, à laquelle contribuent fort efficacement - et à leur plus grand plaisir, selon toute évidence - les Francis Dupuis-Déri et les Marcos Ancelovici.
En bonne voie, il faut bien le dire, de faire main basse sur l’Université québécoise, de manière générale.
À la manière d'une certaine France-Isabelle Langlois, par exemple, qui s’est emparée de la direction de notre Amnistie internationale chérie. Et que le plus grand nombre des membres quitte depuis lors (comme il en est, hélas, du Devoir dirigé par Brian Myles...). À commencer par la soussignée même. Bref. C’est à crier sur la voie publique un bêtisier pareil. À l’instar, incidemment, de Bochra Manaï en cité de Montréal...
Madame Danielle McCann, ministre de l’Enseignement supérieur du Québec, ainsi que madame la rectrice Magda Fusaro, il serait peut-être temps, ne croyez-vous pas, de prendre votre travail au sérieux. Si tant est qu’il ne soit déjà trop tard.
Marianne Chenonceau
ce 20 mars 2021, Journée internationale de la Francophonie
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