Le torchon brûle dans quatre provinces canadiennes...

Les communautés francophones hors Québec à l'avant-plan en 2019

Denise Bombardier en remet...

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Tribune libre

L’année 2018 laisse derrière elle des dossiers qui sont restés en plan eu égard aux communautés francophones hors Québec, notamment en Ontario, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse et en Colombie-Britannique.


En Ontario, quoique la loi confirmant l’abolition du Commissaire aux services en français et son remplacement par un adjoint de l’ombudsman soit entrée en vigueur, un recours judiciaire pourrait être intenté en début d’année. Quant au projet d’Université de l’Ontario français, dont le financement sera coupé dès le 15 janvier, les franco-ontariens gardent espoir de convaincre Ottawa et le gouvernement Ford de s’entendre sur une formule de financement.


Au Nouveau-Brunswick, le seul ministre francophone du gouvernement Higgs, l’Acadien Robert Gauvin, n’a pas caché qu’il avait songé à démissionner après la décision du ministre de la Santé d’éliminer les exigences en matière de bilinguisme lors de l’embauche d’ambulanciers. Un dossier qui risque de rebondir en 2019.


Enfin, en Nouvelle-Écosse, les franco-néo-écossais espèrent toujours le retour de circonscriptions électorales acadiennes protégées, tandis qu’en Colombie-Britannique, deux recours judiciaires visant à accroître l’accès à l’éducation en français pourraient aboutir devant la Cour suprême.


Des dossiers « chauds » qui risquent d’ébranler sérieusement la Charte canadienne des droits et libertés, notamment aux chapitres du bilinguisme et du biculturalisme, laquelle faisait la « fierté » de Trudeau père…


Francophones hors Québec, une "culture de survivance" (Denise bombardier)


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1131457/denise-bombardier-francophones-hors-quebec




Henri Marineau, Québec


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Henri Marineau2090 articles

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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com




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