Message à Micheline Dubois

LE PQ a tué le PQ

Tribune libre


Voici, chère Madame, ce que j'écrivais dans LE DEVOIR, il y a près de deux ans. J'avais visé dans le mille.
Nestor Turcotte
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Personne n’a tué le PQ. Le PQ s’est tué lui-même. Il a accumulé, au fil des années, tous les ingrédients pour le mener au suicide politique. À une mort certaine, inévitable, bien calculée.
Lentement, progressivement, il a abandonné son âme. Qui plus est, il a même vendu son âme au plus offrant ; il a vendu son idéal pour un plat de lentilles ; il a tergiversé, reculé, démotivé, rejeté, démobilisé les troupes. Il a accepté dans ses rangs des carriéristes, des opportunistes, des illusionnistes. Il a joué sur plusieurs tableaux à la fois sans jamais se décider à prendre le bon, le vrai, l’unique qui lui aurait permis non pas de faire mieux, mais de faire autrement. Il a méprisé les meilleurs, les batailleurs, les combattants visière levée et il a écouté les « mièvreux », les mielleux, les caméléons, les doubles visages, les sans épine dorsale.
L’indépendance était le moteur de son action politique. Lentement, il en a fait une remorque fourre-tout, un poids lourd encombrant, allant jusqu’à s’en délester momentanément, afin de s’emparer du pouvoir. Le maudit pouvoir ! L’indépendance s’est mutée en gouvernance souverainiste, en feuille de route imprécise et floue, en slogans aguicheurs, en propagandes et publicités trompeuses, en plans volontairement imprécis.
Devant la débâcle inévitable, les consultations et les tournées en mode d’écoute ont pris le haut du pavé, espérant retrouver ce qu’il a lui-même évacué : la cause qui fait l’unité. Le PQ des origines était près du peuple et sculpté par et dans le peuple. Le PQ était dans les salles bondées, enfumées, enthousiastes et enflammées. Il était fonceur, parleur, cimenté autour d’une idée, d’un rêve, d’une réalité en devenir. Au fil des ans, usé, infiltré, désorienté, il a abandonné et est devenu muet, désarticulé, désuni, fragmenté. Le PQ n’est plus le PQ. Il s’est tué lui-même. Il s’est donné la mort en s’emmitouflant dans les langes de la facilité. Il était né pour la liberté. Il meurt dans l’abandon et la désaffection généralisée.
***
Nestor Turcotte - Matane, le 26 août 2011


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33 commentaires

  • Stéphane Sauvé Répondre

    22 août 2013

    Nunu...vous êtes dans le ni ni...ca fait bien du négatif cela.
    J'ai demandé à Barberis-Gervais de nous parler de substance et d'aider Madame Marois à gagner les prochaines élections. http://www.vigile.net/La-derniere-insulte-integriste - Je lui ai transmis cette invitation non pour le narguer mais bien pour qu'il consacre son expérience, son inspiration et sa plume à une cause utile: la victoire de Madame Marois.
    J'attends toujours.
    Si mes enfants, ma femmes, mes amis, mes voisins me critiquent pour x y z raison, trois options s'offrent à moi. 1. Faire du déni et ne rien changer ; 2. Me remettre en question, prendre une distance avec mes certitudes et rester dans le statu quo; ou 3. Prendre une distance avec moi-même, observer mes comportements et apporter des correctifs.
    Le PQ est dans le déni...dans l'arrogance (qui relève d'une profonde insécurité)et tente avec très peu de succès à imposer sa facon de faire. CA NE MARCHE PAS. Bon yenne, quand donc le comprendrez vous ? Je ne suis pas votre ennemi. Je ne demande que l'on améliore notre facon de faire, de communiquer, de réfléchir...mais on ne m'écoute pas. On écoute pas les Cloutiers, Bertrand, et même Le Hir de ce monde. Il y a une tour d'ivoire politique au PQ et la haute direction s'y cachent.
    Les Québécois aiment l'authenticité. On ne la sent pas chez Madame Marois. On me dit que pourtant, c'est une femme authentique. Alors, il y a un sérieux problème au niveau de ses conseillers. Or, c'est elle qui les choisit. Elle a donc un problème de jugement. C'est très difficile à corriger comme faiblesse. Mais c'est faisable, si l'humilité est au rendez-vous.
    Or, cette humilité ne se sent pas chez elle, ni chez son conjoint, qui quant à moi, a beaucoup trop d'influence sur elle. Mais cà, je vous l'accorde, c'est une perception qui vaut ce qui vaut...
    En bref, SVP arrêtez de défendre à tout prix madame Marois et plûtot, poussez, oeuvrez, acharnez vous pour qu'elle améliore son score auprès de l'électorat à travers une amélioration de sa facon de faire.
    Faute d'une telle approche de votre part et des Barberis de de ce monde, c'est SÛR CLAIR ET NET, que le PQ va se faire laver aux prochaines élections.
    ET la seule chose de positif dans le dernier scénario, sera qu'enfin, le PQ peut redevenir le vaisseau amiral qu'il est destiné à être.
    Bon courage nunu...

  • Luc Bertrand Répondre

    22 août 2013

    Prière d'ajouter à la dernière phrase du premier paragraphe de mon commentaire précédent:
    ... et de leurs responsables.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 août 2013

    Il semble monsieur Turcotte que monsieur Victor-Levy Beaulieu n'est pas trop enchanté de la performance du PQ lui non plus; un article intéressant que j'ai lu ce matin:
    http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=4744

  • Luc Bertrand Répondre

    22 août 2013

    @ Nunu,
    Je trouve votre commentaire très intéressant, non parce que je le partage, mais parce qu'il traduit la perception populaire (et le discours médiatique visant à l'induire) vis-à-vis les conflits internes du Parti québécois depuis ses débuts.
    Je vous recommande fortement la lecture de l'ouvrage de Me Pierre Cloutier "De René Lévesque à Pauline Marois - Indépendance - Le PQ a trahi ses militants" (http://www.vigile.net/Lancement-du-livre-de-Me-Pierre et http://www.archambault.ca/cloutier-pierre-independance-le-pq-a-trahi-ses-militants-de-rene-levesque-a-pauline-marois-ACH003084733-fr-pr). Ce militant de très longue date qui a siégé au sein de nombreuses instances du PQ y révèle la vérité occultée par les médias, dont on connaît depuis longtemps la mission de démonisation du mouvement indépendantiste, sur les innombrables contorsions et compromissions - sinon carrément trahisons - que les différents chefs du PQ ont fait prendre à ce parti, envers et contre les positions adoptées démocratiquement par les membres du parti en congrès, pour des considérations bassement et purement électoralistes. Et ce, toujours au détriment de la réalisation - et même de la simple promotion - de sa mission fondamentale.
    Toute la population québécoise, qui souhaite qu'on cesse enfin de tourner en rond et de s'affaiblir collectivement, aurait grandement avantage de se taper la lecture de ce livre à l'image de son auteur et de sa grande rigueur: court, direct, honnête et objectif. Comme je l'ai confié à l'auteur lors de son lancement (http://www.tagtele.com/videos/voir/79589/), l'an dernier, ce livre devrait figurer dans la bibliographie de tous les cours de science politique désirant approfondir l'étude des partis politiques et du mouvement indépendantiste québécois des 45 dernières années. Sans fausse complaisance, je qualifierait cet ouvrage de chef-d'oeuvre d'analyse politique.
    Nunu, je vous remercie de votre compassion envers les indépendantistes québécois et votre observation vis-à-vis le comportement des profanes de la pensée politique au sein du Parti québécois. Malheureusement, il appartient à tous et chacun de se renseigner avant de se faire une tête. Ceci contribuerait à ralentir la diffusion du mythe ou de la "légende urbaine" voulant que le PQ soit vraiment indépendantiste et que ses chefs soient les souffre-douleurs des militants de ce parti.
    Connaissant déjà le parti-pris des médias vis-à-vis le fédéralisme, tout militant indépendantiste se devrait toujours d'être méfiant vis-à-vis l'information qui est véhiculée dans les médias, surtout nationaux.
    Les ennemis ne sont pas toujours ceux qu'on dit, surtout lorsqu'il est question d'indépendance!

  • Archives de Vigile Répondre

    21 août 2013

    Il y a une chose dont je suis sure,c'est que les pires ennemis des indépendantistes sont des indépendantistes.
    Les pires ennemis de l'indépendance sont les indépendantistes les plus pressés.
    Les poignards dans le dos,ont sait qu'ils viennent de ceux qui se disent amis pour la cause.
    Ceux qui vous lisent et qui ont peur ne sont pas prêts de faire confiance et le disent eux même.Ils ne s'entendent même pas entre eux.Il y en a qui veulent les choses comme ça et d'autres veulent les choses complètement de façon différentes

  • Luc Bertrand Répondre

    21 août 2013

    @ Émilie B.,
    J'ai hâte que Vigile sorte l'article que j'ai écrit hier soir - en complément de réponse à Robert Barberis-Gervais - et qui explique comment la gouvernance provinciale du PQ (qu'elle soit affublée de "souverainiste" ou "confédérale" n'y change rien) est incompatible avec la réalisation, ou même la promotion de l'idée, de l'indépendance. C'est tout simplement un conflit de priorité des valeurs qui se pose immanquablement si le PQ ne veut pas perdre le pouvoir aux mains des libéraux, qui constituent historiquement et fonctionnellement le "parti par défaut du pouvoir" dans le système de démocratie tronquée qui constitue notre régime politique néocolonial. Peut-être élaborerai-je plus tard sur cette autre façon de nommer le concept de la "prime de l'urne", une boutade que Robert Bourassa a rendu célèbre pendant sa carrière.
    Émilie, ne vous faites pas trop d'illusions avec la situation actuelle du PQ. Son statut de gouvernement très minoritaire rend hautement improbable un délai de 4 ans avant que nous ne retournions en élections. Malgré une légère remontée de popularité après des creux de vague pour le moins inquiétants, le parti de Pauline Marois risquerait d'être battu par le PLQ de Couillard si des élections avaient lieu aujourd'hui. Madame Marois et son parti sont un peu comme des ours polaires flottant sur une mince plaque de glace dérivant vers le sud. Ce n'est probablement qu'une question de mois, sinon de semaines, avant que leur glace ne cède sous leur poids et que nous devrons regarder ailleurs pour relancer le combat pour la réalisation de l'indépendance.
    Richard Le Hir avait d'ailleurs même évoqué en mai dernier (http://www.vigile.net/Les-Liberaux-pourraient-reprendre) la possibilité que les députés de la CAQ fassent l'objet de maraudage de la part du PLQ, les chances d'élection de leur parti restant décevantes. Si cela se produisait, l'actuel gouvernement péquiste pourrait être remplacé par le PLQ sans même la tenue d'élection.
    Quand on connaît ce que la famille Desmarais et Power Corp sont capables de faire...

  • Archives de Vigile Répondre

    21 août 2013


    C'est dans votre tête et dans vos désirs que ça se passe. À ce que je sache le PQ est au pouvoir et il le restera pour un autre 4 ans.
    Dans chaque parti il y a eu des haut et des bas, c'est tout à fait normal, mais maintenant le PQ est en haut et il n'a pas fini de progresser pour se maintenir au pouvoir. Le PQ a plus de chance de faire l'indépendance au pouvoir qu'à l'opposition. Il faut rester dans la logique des choses et arrêter de vous mutiler si vous êtes indépendantiste.

  • Luc Bertrand Répondre

    21 août 2013

    Messieurs Jean-Pierre Bélisle, Barberis-Gervais, Maronani et Champagne,
    J'ai écrit, hier soir, un épilogue à ma réponse à l'article de Robert Barberis-Gervais (http://www.vigile.net/La-derniere-insulte-integriste) que j'espère voir édité ici sur Vigile. Alors que je répondais à cet article, je me suis rendu compte que la "logique" du PQ allait totalement à contre-courant de la mienne. J'y énonce que c'est précisément la responsabilité de premier ministre (lorsque le PQ forme le gouvernement dans l'actuel contexte de province canadienne, sans mandat explicite pour réaliser l'indépendance) dans la dynamique que nous ne cessons de dénoncer depuis 1973 qui vient brouiller les cartes à la fois pour le chef, le parti et les membres. Vous y comprendrez pourquoi le Parti québécois ne réussira jamais à faire l'indépendance. Et, croyez moi, après bientôt un demi-siècle à spolier l'idée et la cause de l'indépendance pour "protéger leur job", les membres des gouvernements péquistes ont littéralement "scrappé" la marque de commerce, non seulement aux yeux des indépendantistes, mais également de la population. De là la nécessité d'investir massivement Option nationale pour reprendre le flambeau de Pierre Bourgault et du RIN que le PQ (sous l'impulsion et les manigances de Claude Morin) a laissé tomber dès la conclusion de l'élection de 1973.
    Personnellement, j'ai confiance que Jean-Claude St-André relèvera la profondeur des débats lors de la présente course à la succession de JMA. Selon moi, à moins que des agitateurs ou des "chevaux de Troie" fédéralistes ne cherchent à noyauter ON - comme ce fut peut-être le cas lors de la course à la direction du PQ en 2005, St-André constitue de loin le meilleur candidat pour ON et est la personne la plus susceptible de "secouer les colonnes" du mouvement indépendantiste québécois et provoquer le nécessaire et inévitable changement de paradigme pour la réalisation de l'indépendance. Ce sera aux membres d'ON à décider.
    Monsieur Racine, vous avez parfaitement raison! Philippe Couillard a perçu, à l'instar des conservateurs fédéraux, que les "Bleuets" ont déchanté avec la possibilité pour le Québec de devenir un pays. Il va sans dire que le PQ y a largement contribué depuis 1996 et le Bloc en a fait les frais lors de l'élection de mai 2011.
    À Nunu,
    C'est quoi votre objectif? Faire du Québec un pays ou continuer à voir le PQ déshonorer les défenseurs de la cause en imitant les libéraux à force de s'entêter à gouverner la "Province of Quebec" aux conditions imposées par les fédéralistes?

  • Nestor Turcotte Répondre

    21 août 2013

    Cher NUNU
    Celle-là, je l'attendais. Vous mettez, une fois de plus, le doigt sur le cancer qui ronge le PQ: refus de l'auto-critique.
    Celui qui ose critiquer la sainte confrérie péquiste devient vite responsable de toutes les fautes, de tous les torts. Mon Larousse appelle cela un bouc émissaire.
    Chaque région du Québec a le sien. Je dois être celui de ma région. Les députés de mon coin, élus sous la marque péquiste n'ont pas parlé une seule fois dans les médias de l'indépendance du Québec depuis leur élection. Il doit y avoir un problème quelque part. On serait presque porté à croire qu'il traîne LA CAUSE comme un boulet ou une remorque derrière leur véhicule de plus en plus amoché...
    J'avais repris courage avec M.Parizeau, mais j'ai vite déchanté. En 1993, un an avant son élection,il promettait de tenir un référendu sur l'indépendance du Québec en posant la question suivante: "Acceptez-vous que le Québec devienne indépendant en date de....Oui ou Non ?" Le PQ n'a pas posé cette question. Au fait, pourriez-vous me citer, par coeur, la dite question. Moi, je l'ai inscrite dans ma mémmoire. Et là-dessus, je pourrais vous en raconter une bonne - un téléphone - que j'ai eue, il y a quelques années, avec un ancien premier ministre du Québec.
    Depuis ce temps, je cherche un parti qui prônerait ce que M. Parizeau prônait:l'indépendance d'abord, les négociations par la suite.
    Le gouvernement actuel propose la délavée formule de gouvernance souverainiste. C'est de l'avachissement sans pareil.
    Je cesse, car vous allez me dire que ça dépend de moi, si ce matin, les sondages mettent largement les libéraux en tête et le PQ à moins de 30 %. ET QUE LA SOUVERAINETÉ (l'indépendance ?) est à 40 %. Il doit bien y avoir un problème.
    A-t-on le droit de poser cette question sans se faire ostraciser, mettre hors de la sainte Église péquiste? Car il semble bien que certains de nos concitoyens, depuis 45, sont restés aussi "teindus" que les anciens libéraux, génération de mon père qui avaient adoptée la religion libérale ou la religion Union nationale.
    Nestor Turcotte

  • Éric Lévesque Répondre

    21 août 2013

    Ce qui prend au Québec c'est que nos élites indépendantistes, mange la pire claque dans face jamais eu pour se réveiller un peu de ses vieilles traditions sur l'indépendance. Ce qui prend au Québec c'est que le PQ perde le pouvoir avec un vote au scrutin en bas du 25 %, là ça va être la panique générale et avec ses carriéristes boqués, ils auront pas le choix de soit :
    1. Saborder à un parti plus jeune pour relancer l'idée d'indépendantiste, une vague de fraîcheur sans précédent comme dans le temps avec le RIN (plus progressiste que conservateur).
    2. Soit former une large coalition qui forcera tous les autres partis indépendantistes à former un large gouvernement de coalition majoritaire.
    Les appuis à l'indépendance augmente depuis qu'ON existe, la jeunesse indépendantiste augmente, nous les aurons à l'usure et pour une saine démocratie (car c'est un des facteurs primaires pour nous sortir du Canada)
    Le rapport de force que personne ne peut réprimer (nos élites autant fédéralistes que souverainistes) est le peuple. Ceux-ci ont utilisé la répression durant le printemps érable... Avec la trahison du programme marois et avec le marasme occasionné par le gouvernement Charest depuis 9 ans, le peuple va imposer ses décisions, il n'a aucun pouvoir et se fait manger la laine sur le dos, vous allez voir...

  • Archives de Vigile Répondre

    20 août 2013

    
Mesdames messieurs,

    Je constate que je suis loin de faire l’unanimité auprès de ceux que j’appelle les chantres de la négativité.

    Ils n’ont pas grand chose à proposer. Ils ont un million de raisons de vouloir détruire le Parti québécois et souhaitent sa défaite aux prochaines élections. En cela, ils sont semblables aux fédéralistes, caquistes, libéraux et même solidairistes qui sont des indépendantistes à temps partiel. Tout ce beau monde travaille objectivement pour que Philippe Couillard et le Parti libéral prennent le pouvoir. Souffrez que je ne sois pas d’accord.
    
Ce qui est extraordinaire c’est qu’ils prétendent que leur rejet total et sans nuance du PQ s’enracine dans un désir irrépressible de faire l’indépendance du Québec.

    Manquer à tel point de jugement politique me consterne.

    Je leur applique le proverbe "bien faire et laisser braire".

    Je n’ai aucun complexe vis-à-vis d’eux parce que je suis indépendantiste depuis 1965, que j’ai fait beaucoup d’action politique en faveur de mon option Québec, que je continue à en faire et ma femme Marcelle Viger aussi et que je n’ai jamais trahi mon désir de faire du Québec un pays.

    Comme écrivait Baudelaire (cité par Louis Champagne) dans son poème "Le voyage". Ils ont "le coeur gros de rancune et de désirs amers".

    Et Vigile semble éprouver beaucoup de volupté à publier les prophètes de la négativité puisque, chaque semaine, il y a au moins un texte de publié dans la Tribune libre avec commentaires à la clé, qui descend le PQ, qui annonce sa défaite aux prochaines élections et qui la souhaite.
    Ce qui va contre ma grande et première priorité qui est la défaite de Philippe Couillard et du Parti libéral aux prochaines élections.
    
Robert Barberis-Gervais, 20 août 2013

  • Archives de Vigile Répondre

    20 août 2013

    Vous dites le p.Q a tué le P.Q.
    Moi j'ajoute que vous y avez contribué de toute vos force.

  • Archives de Vigile Répondre

    20 août 2013

    Monsieur Turcotte
    Je suis entièrement d'accord avec votre dernier commentaire. Le PQ n'a pas fait l'indépendance et il ne la fera jamais. De plus, il n'en parle même pas, ce sont tous des carriéristes.
    Tout comme vous, je continue de dire que le seul parti qui parle clairement de l'indépendance, c'est ON dont je ne me gêne pas pour en faire la promotion. Je ne comprends pas pourquoi les vrais indépendantistes continuent de croire dans le PQ. C'est peine perdue, et en plus aux prochaines élections, le parti libéral reprendra le pouvoir. Le PQ encore une fois n'aura que contribuer à faire reculer notre projet de faire du Québec, un pays. Il faudrait une fois pour toutes qu'aux prochaines élections, tous les indépendantistes unissent leurs forces pour donner un message clair au PQ, on n'en veut plus. Votons pour ON, le seul parti qui fera l'indépendance.
    Johanne Lanthier

  • Archives de Vigile Répondre

    20 août 2013

    @ M. Nestor Turcotte,
    Merci d'avoir pris la peine de répondre à mon questionnement.

  • Nestor Turcotte Répondre

    20 août 2013

    @Monsieur Champagne,
    Il y en a dans la société civile qui ont critiqué le PQ bien plus que moi: je vous réfère en autre à l'excellent ouvrage de Pierre Cloutier. Si vous prenez le temps de le lire, vous verrez que mes propos sont doux par rapport à cet indépendantiste de première ligne.
    Quant au reste de ce que vous écrivez, vous tombez comme un certain autre dans des attaques personelles basées sur des oui-dire...Je ne commenterai pas. Et je ne commenterais jamais aussi des actions que vous auriez posées, sans vous connaître personnellement. JE respecte trop les gens pour me laisser tirer dans une telle direction.

  • Louis Champagne Répondre

    20 août 2013

    M. Turcotte,
    Tout le monde peut se tromper, René Lévesque aussi. Selon le site officiel de l’Assemblée nationale, M. Bérubé serait né à Montréal ("http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/berube-yves-2069/biographie.html" http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/berube-yves-2069/biographie.html). Mais en quoi cette erreur est-elle grave ? Croyez-vous que René Lévesque a tenté d’induire ses lecteurs en erreur ? Comment vient-elle confirmer l’autre erreur que vous rapportez sans trop élaborer, c’est le moins que l’on puisse dire? Que M. Bérubé soit né à Montréal, Fleurimont ou Matane, quelle importance ? Et quel rapport avec l’autre erreur ? M. Bérubé a été un universitaire remarquable et un grand ministre des ressources naturelles. J’ignore toutefois s’il a été un bon député de Matane, mais ses électeurs l’ont réélu !
    Ça fait des années que vous critiquez tout ce que fait le PQ et Mme Marois, prévoyant le pire. Vous me faites penser au défunt Le petit journal, un hebdo qui avait annoncé en 1935 la mort d’Adolf Hitler. En 1945, ça lui a permis de titrer : « Comme nous l’avions prévu en 1935, Hitler est mort ». Tout vient à point à qui sait attendre, M. Turcotte, soyez patient, vous finirez bien par avoir raison, le PQ perdra le pouvoir.
    Mais en attendant, on fait quoi ? On fait quoi pour relancer l’idée de l’indépendance? Vous croyez vraiment qu’ON va bientôt former un gouvernement ? Ou QS, dans la mesure où il est autre chose que la devanture québécoise du NDP? Chaque chapelle ayant son parti, on fait quoi maintenant ? On tourne en rond et on ne va nulle part. Vous souffrez du syndrome de la table rase.

    Je crains que ce vers de "l'Invitation au voyage" de Baudelaire vous décrive comme si le poète vous avait connu: "le coeur gros de rancune et de désirs amers".
    Louis Champagne

  • Nestor Turcotte Répondre

    20 août 2013

    @ALIAS DIDIER
    VIGILE a bien voulu reproduire un texte que le journal LE DEVOIR a publié en 2011. J'en remercie les responsables. Comme à l'habitude, certains ont préféré attaquer le messager plutôt que de s'attarder à comprendre le message.
    1. Vous me demandez un peu ma solution devant l'impasse actuelle, coloré de la gouvernance souverainiste?
    La voici. Le PQ n'a pas fait l'indépendance et il ne le fera jamais. Surtout pas avec les personnages du présent gouvernement. Ils sont trop préoccupés à se faire réélire qu'à libérer le Québec.
    2. Les indépendantistes sérieux (qui savent ce que le terme indépendance implique) doivent se joindre à Option nationale. Il y a des choses et des précisions à apporter dans le programme, mais l'objectif est clair: réaliser l'indépendance du Québec.
    3. Cette jeune formation politique défend substantiellement ce que le RIN défendait. Ce que j'ai toujours défendu.
    L'indépendance d'abord puis les négociations ensuite. L'indépendance, c'est d'abord le refus de toutes négociations (Camus). On se libère; on se met debout; puis ensuite, on négocie ce qui est négociable.
    4. J-C. Saint-André ferait un très bon chef de parti. Ses idées sont claires. C'est pourquoi, on ne l'aimait pas parmi les carriérites que forment le PQ.

  • Archives de Vigile Répondre

    20 août 2013

    M. Barberis-Gervais,
    je ne me suis jamais présenté comme candidat et je n'ai jamais été refusé, maltraité, etc par le Parti québécois. Pourtant, je suis entièrement d'accord avec M. Turcotte. Comment expliquez-vous ça?
    En passant, pendant qu'on traite M. Couillard de "trouillard" pour ne pas se présenter dans un château fort libéral, on oublie qu'il va se présenter chez les bleuets, coin du Québec où sans l'appui majoritaire des Québécoises et Québécois il sera impossible de faire un pays. Couillard se présente dans Roberval car au PLQ on fait la même analyse que M. Turcotte et cie qui dénonce la gouvernance confédéraliste déguisée en gouvernance souverainiste, soit que le PQ va perdre Roberval et bien d'autres circonscriptions aux mains de libéraux, et ce pas à cause de QS ou ON, mais grâce à la division du vote entre la CAQ et le PQ.
    Réfléchissez-y!
    Je vous prévois que ça va être serré aux prochaines élections.
    On s'en reparlera plus tard...

  • Nestor Turcotte Répondre

    20 août 2013

    Je pensais que vous saviez lire: je vous ai dit que je ne commencerai pas, après 40 ans, à réécrire les péripéties de 1976. Je devrais nommer des noms et certains sont encore vivants.
    En autres, ma femme et mes deux enfants.
    La paix, s.v.p. J'ose l'écrire poliment...

  • Archives de Vigile Répondre

    19 août 2013

    M. Barberis-Gervais,
    Je n'avais pas l'intention de vous répondre sauf que vos commentaires déplacés et insultants face au texte clair et bien construit de M. Nestor Turcotte, m'a fait sursauter. Vous ne changerez donc jamais, incapable de sortir des ornières du PQ, admirateur béat de Mme. Marois, défenseur de moulins-à-vent, vous sortez votre épée rouillée dans le but de pourfendre tous ceux qui dénoncent les errances du PQ, parti vire capot s'il en est un. Enlevez vos œillères, vous pourrez ainsi voir plus clair.
    Ivan Parent

  • Luc Bertrand Répondre

    19 août 2013

    Bravo monsieur Turcotte! Votre lecture était tellement exacte qu'elle aurait pu être écrite quasi textuellement il y a sept ans et être toute aussi pertinente! Pauline Marois, André Boisclair, même cafouillage, même dérive électoraliste, même trahison envers la base militante!
    À part la peur de voir le PLQ compléter le sabotage de notre État national en revenant au pouvoir de façon majoritaire, je ne peux vraiment pas concevoir comment autant de gens se disant "indépendantistes" ou même "souverainistes" puissent encore croire au Père Noël avec le Parti québécois. J'en discutait avec Denis Monière il y a quelques semaines et il a convenu avec moi qu'un débat très intéressant devrait être fait entre indépendantistes pour répondre à la question suivante:
    "Entre les deux scénarios suivants, lequel serait le plus susceptible de nous conduire rapidement vers l'indépendance: l'élection majoritaire du PQ Marois ou le retour au pouvoir des libéraux avec Philippe Couillard?"
    Pour quiconque capable de prendre une distance critique avec le Parti québécois, les résultats pourraient être assez étonnants!
    La candidature de Jean-Claude St-André dans la course à la succession de JMA ne manquera pas de constituer un baume pour nous, les orphelins du PQ du temps du "Un vote pour le PQ est un vote pour l'indépendance"!

  • Archives de Vigile Répondre

    19 août 2013

    Le Système veut nous enfermer dans de la politique partisane.
    Notre processus électoral mène pourtant à un cul-de-sac puisque tous les partis politiques doivent d'abord et avant tout servir le Système et non les citoyens et pas davantage une cause quelconque.
    À la dernière élection provinciale, je me suis abstenu plutôt que de placer un vote de protestation, comme on dit, parce que lorsque tu votes pour un parti marginal, tu donnes une certaine légitimité au Système en participant au processus électoral, ce que je ne voulais pas faire.
    Le Système, c'est le chacun pour soi et le "au plus fort la poche". Ce sont les besoins du marché avant l'être humain et ses besoins.
    Il s'agit de ce qu'on pourrait appeler une contre-civilisation.
    Historiquement, les contre-civilisations prennent fin parce que des catastrophes naturelles les emportent, comme ce fut le cas au temps de Noé. C'est ce qui va probablement arriver à cette contre-civilisation qui est la nôtre.
    D'ailleurs, depuis le début du 21e siècle, il y a une forte augmentation des catastrophes naturelles, tremblements de terre et éruptions volcaniques en particulier.

  • Alain Maronani Répondre

    19 août 2013

    'Si à la convention du comté de Matane, vous aviez été choisi comme candidat officiel du Parti québécois, penseriez-vous de la même façon ...?'
    Monsieur Turcotte vous dites patauger...?
    Patauger que nenni, clabauder, ergoter, bavoter...
    Le tout petit Saint Simon de service, non c'est trop d'honneur, plutôt le vidame de la rectitude estampillée Marois, et les historiettes bien rances du PQ...les vieilles haines bien recuites, la détestation bavotante et baveuse...l'insinuation malveillante, la tambouille politicarde, le fourier de service...
    On se croirait presque à une réunion dans un des locaux un peu poussiéreux de la Légion Canadienne...vous vous souvenez dans la Somme en 1917...
    Tout ceci sent la momie, le cimetière des idées et des espoirs, l'incapacité de constater l'échec...provisoire (?), la fonctionnarisation du personnel politique, la perte du sens, l'effacement du désir...notre époque n'est-elle que ceci...?
    Un signe qui ne trompe pas, les livres de souvenirs des uns et des autres, derniers tours de piste avant l'oubli final...l'engloutissement.
    Les peuples n'ont pas de destins tracés d'avance, ils n'ont que des désirs, qu'en reste t-il ?
    L'avenir s'annonce rouge...avec de tels mousquetaires les ennemis sont inutiles...
    Certains se demandent encore, pourquoi le sang neuf n'est plus là...et pourquoi des gens comme JM Aussant ont plié bagages, partis avec famille, femme et enfants...
    La Fin de l'Histoire et le Dernier Homme comme l'affirmait Fukuyama...

  • Archives de Vigile Répondre

    19 août 2013

    Cher M. Barberis-Gervais,
    en vous lisant, je me suis fait à moi-même la remarque que vous n'auriez pas su mieux parler de vous-mêmes...
    En tout bien tout honneur,
    Claude G. Thompson

  • Archives de Vigile Répondre

    19 août 2013


    Est-il vrai oui ou non que vous vouliez être le candidat officiel du Parti québécois dans Matane et que vous n'avez pas été choisi?
    Vos explications sont confuses.
    Deuxièmement, ce rejet du PQ-Matane, est-ce possible que cela vous ait rendu amer au point que votre parti pris anti-péquiste en soit la conséquence?
    Car votre opinion est tellement tranchée (et injuste) qu'il faut trouver une explication dans votre parcours politique personnel.
    Salutations à Ivan Parent. Je croyais que nous avions fait la paix vous et moi. Je constate que non et je constate aussi que vous avez le scandale facile. Je vous citerai Talleyrand: tout ce qui est excessif est sans portée.
    Robert Barberis-Gervais

  • Archives de Vigile Répondre

    19 août 2013

    M. Turcotte,
    Je ne suis pas d'accord avec vous. L'exemple le plus concret que je peux vous donner est le PLC. On disait que ce parti était mort et enterré. Justin Trudeau se lance dans la course et il pourrait devenir le prochain PM du Canada.
    Le problème au PQ, c'est qu'il n'y aucun leader charismatique pour rassembler tous les souverainistes. Et ce n'est pas Amir Khadir et encore moins Françoise David qui vont être capable de rassembler tout ce beau monde.
    Il y a eu René Lévesque et Lucien Bouchard qui attirait les foules. Pour ce qui est de Jacques Parizeau, un homme que je respecte et que j'ai admiré, il a profité de l'échec du lac Meech et du peu de parti politique (alternance au pouvoir) pour gagner les élections.
    Tous les chefs sans exception ont eu beaucoup de critiques. Aujourd'hui, c'est qu'il y a plusieurs parti. Du côté des Fédéralistes, ça commence à bouger, le PCQ pourrait réussir à obtenir un 4-5% lors de la prochaine élection.

  • Archives de Vigile Répondre

    19 août 2013

    Cher Nestor,
    Le temps est venu, plus que jamais, pour des gens comme vous, qui en ont soupé de ce subterfuge qu'est le PQ, de tourner votre regard et votre pensée vers Option nationale.
    Surtout avec la candidature de Jean-Claude St-André à la direction du parti, s'il est élu, nous pouvons avoir l'assurance qu'il ne fera aucunement aucun détour pour arriver à l'objectif de l'indépendance nationale.
    Cessons de nous battre avec un parti politique qui a perdu toute crédibilité et qui fait perdre de la notoriété à la cause de l'indépendance nationale, pour fournir efforts et énergies là où ça vaut la peine de le faire. C'est une invitation que je vous fais, nous avons besoin de sages comme vous, qui ont le regard clairvoyant et la pensée qui l'est tout autant.
    Amitiés,
    Normand Perry

  • Archives de Vigile Répondre

    19 août 2013

    M. Turcotte,
    Merci nous partager ce que beaucoup d'entre nous pensons, et, comme à l'habitude, M. Barberis Gervais, à court de réflexions sensées, y va de la partisannerie à outrance en utilisant, comme toujours, l'insulte. Cette fois-ci c'est un peu plus discret mais, laisse tout de même entendre, que si M. Turcotte avait été élu dans sa circonscription comme candidat officiel, il aurait vendu son âme au P.Q. contrairement à ce qu'il affirme. C'est offensant et méprisable. Du Barberis-Gervais pur jus!
    Ivan Parent

  • Nestor Turcotte Répondre

    19 août 2013

    M.Barbaris,
    J'ai oublié de vous dire une chose. René Lévesque, dans son ouvrage, ATTENDEZ QUE JE ME RAPPELLE parle de votre humble serviteur à la page 369. Il dit au moins deux choses fausses dans son dernier paragraphe. Il affirme que Yves Bérubé était né à Matane. Selon mes recherches, ce n'est pas vrai.
    De plus, il affirme que le candidat pressenti nous avait fait faux bond à la dernière minute. Ce qui contredit votre affirmation. Votre version est fausse et celle de René Lévesque aussi. Comme quoi, un premier ministre peut aussi se tromper. Un militant péquiste depuis longtemps aussi.

  • Nestor Turcotte Répondre

    19 août 2013

    OUI, M.RobertB, je dirais la même chose.
    Comme Jean-Claude Saint-André.Et comme tants d'autres. Il y a moyen d'être indépendantiste sans être péquiste à VIE.
    Je ne recommencerai pas à décrire ce qui s'est passé il y a près de 40 ans. Si vous voulez patauger dans ce genre de choses, libre à vous.
    Si vous passez par Matane, je vous expliquerai de long et large ce qui s'est passé en 1976: et vous arrêterez de dire des choses qui ne sont pas vraies. Je vous offre le logis et le repas. Boissons fournies.

  • Archives de Vigile Répondre

    19 août 2013

    Nestor Turcotte
    Si à la convention du comté de Matane, vous aviez été choisi comme candidat officiel du Parti québécois, penseriez-vous de la même façon?
    Robert Barberis-Gervais, 19 août 2013

  • Jean-Pierre Bélisle Répondre

    19 août 2013

    Monsieur Turcotte,
    Je partage plusieurs de vos sentiments indépendantistes.
    Cependant, avec respect pour votre vision, ma question d’intérêt ne consiste pas à savoir si vos oracles ont ou non « visé dans le mille ». Je veux comprendre aussi pourquoi.
    Plutôt que d’apprécier les métamorphoses diagnostiquées du PQ sous le seul angle des événements internes à celui-ci et dans une perspective de « bien et de mal », il me semble que nous devrions confronter et mettre à jour les paradigmes de notre hypothèse indépendantiste.
    Oui, confronter les vieux paradigmes des années '60 au contexte systémique contemporain. Peu l'ont fait.
    C'est qu'il est plus facile d'énumérer le nom des pays qui ont accédé à l'indépendance depuis la chute du Mur de Berlin et la désintégration de l'URSS, que de comprendre les conditions géopolitiques et les interventions des grandes puissances ayant conditionné leur accession à l'indépendance.
    Les anathèmes, les incantations, les prédictions autoréalisatrices et les oraisons funèbres me laissent dans un grand trou froid et noir.
    Un coup parti : "Aidons le disparu à disparaitre" Et visitons Porto Rico pour agréer notre deuil !!.

    JPB

  • Archives de Vigile Répondre

    19 août 2013

    M. Turcotte,
    Merci pour cette excellente analyse concernant le PQ.
    J'aimerais aussi vous entendre sur l'option souverainiste prise isolément.
    Cette option va-t-elle également sombré avec le PQ?
    Le Système étant en faveur du multiculturalisme et cherchant à effacer les identités nationales, ethniques et culturelles, (nous sommes tous identiques pour le Système, sauf sur un seul point, notre fortune personnelle indiquant notre statut social, même s'il s'agit d'un sujet tabou pour le Système), l'option souverainiste ne semble pas destinée à prospérer.