Pourquoi parle-t-on si peu de Richard Bergeron, question que pose une
lectrice attentive de la politique municipale, qui a remarqué que la Presse
ne parle que de Gérald Tremblay et de Benoît Labonté?
Disons que ce journal ne retient dans ses articles que les propos de
fédéralistes ne pouvant nuire à leur «idéal» «sic».
Dans ce sens, peu de sujets provenant de gens ne partageant pas leur point
de vue assujettissant peuvent être retenus.Par exemple, on ne les verra
jamais s'opposer aux méga-projets de ce maire mégalomane qui s'apprête à
endetter Montréal avec ces projets de tramways dans le «Vieux-Montréal» et
sur l'avenue du Parc. Pour lui, dépenser des «milliards de dollars» dans
des projets, peu structurants, ne respectant pas les moyens financiers de
la ville et des ses concitoyens,n'est vraiment pas le premier de ses
soucis.De cela il se foute éperdument, puisque par la méthode «Tremblay» il
encourage ses petits amis. Comment expliquer autrement ses politiques
d'implantation de lignes de tramways qui coûteront près de «un milliard des
dollars de ses concitoyens, (500 millions«$» pour les 7KM de l'avenue du
Parc, et ces autres 500 millions pour la ligne du Vieux-Montréal: ses
chiffres!)alors qu'il pourrait équiper Montréal de nouveaux autobus
«Hybides», «Gaz/Électricité»,pouvant remplacer avec 500 millions de nos dollars,la
totalité de la présente flotte de véhicules qui polluent l'air que l'on
respire, tout en retenant qu'un tramway ne possède aucune autonomie de
modification de trajectoire lors d'incidents, comme un feu, ou un accident
d'automobile sur la route empruntée par les voies de ces chemins de fer
dans les rues de la ville.Mais le maire Tremblay a décidé, décision que
Benoît Labonté ne contredira pas, qu'il y aura donc des tramways à
Montréal(voir l'entente avec les promoteurs du Griffintwon) que cela
déplaise aux Montréalais ou non, puisque cela fait l'affaire des bailleurs
de fonds de son parti et des éditorialistes de la grosse Presse!
On pourrait
continuer longtemps à dénoncer la mégalomanie anti-sociale du maire
Tremblay, que cela ne répondrait pas à la question posée, à savoir:
Pourquoi parle-t-on si peu de Richard Bergeron?
Si j'étais journaliste
oeuvrant à la couverture des activités des partis politiques municipaux
désirant administrer Montréal,il me serait impossible d'écrire quoi que ce
soit sur M. Bergeron. Si ce «Chef» de parti voulait que je parle de lui et
de ses politiques, il faudrait encore qu'on les connaisse? Par exemple: Que
pense-t-il des lignes de tramways du maire Tremblay»?
Comment verrait-il l'achat de «Bus hybrides», gaz/électricité, dont la
technologie québécoise est très connue,bus capables de répondre aux besoins
des Montréalais (et des villes du Québec) à des coûts
moindres,(probablement plus de 500 millions $ d'épargne, sur le milliard de
«$» prévus dans les projets du maire Tremblay?) tout en répondant aux
critère de Kyoto, très, très, avantageusement?
Comment M. Bergeron voit-il
cette technologie, toute québécoise, capable de créer des milliers
d'emplois, tout en répondant, je le répète, aux critères «coûts et
environnement»? À la question posée, je répondrai donc, que lorsque
l'homme, pour lequel j'ai voté lors de la dernière élection municipale,
nous entretiendra de projets comme ceux nommés ici,il deviendra difficile,
sinon impossible, aux éditorialistes de la Presse de l'oublier dans leurs
écrits, pas toujours intéressants par ailleurs, pour ceux qui ne partagent
pas leur philosophie capitaliste, à la solde de l'homme de «Sagard», qui de
Charlevoix dirige les hommes politiques et les éditorialistes de La Presse
et des autres journaux du Québec, sans oublier celui d'Ottawa,envers et
contre la démocratie qui devrait l'inspirer.
Le plaisir du pouvoir fait souvent oublier aux individus des devoirs que la démocratie commande.
Voilà
un autre motif pour lequel nous n'entendrons pas parler de M. Richard
Bergeron.
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