Communiqué

Le monorail à Découverte ce dimanche, 18h30

Tribune libre

Le monorail sera à l'émission D É C O U V E R T E ce dimanche 7 avril 2013, à 18h30 ,
Passez le message à vos amis.
Voici la lettre d'invitation adressée à notre Ministre des transports, M Sylvain Gaudreault,
Le 5 avril 2013.
M. Sylvain Gaudreault, Ministre du Transport et des Affaires Municipales.
Sujet: Monorail trensquebec
http://www.trensquebec.qc.ca/images/train/train-article.png
Je désire porter à votre attention que l'émission "Découverte" de dimanche prochain 18:30 hrs à Radio-Canada portera sur notre projet de monorail trensquebec.
C'est un projet rassembleur et porteur d'un immense avenir. Ce projet:
1. Permettra de réduire l'importation du pétrole puisqu'il sera électrique et à l'abri des tempêtes et du verglas.
2. Prendra d'abord la forme d'un transport à hautes vitesses entre régions.
3. Pourrait devenir un métro de surface ou un train de banlieue à l'intérieur des villes et villages tout en étant compatible avec l'ensemble du réseau monorail.
4. Pourrait prendre un groupe de passager dans un quartier d’une ville et les déposer dans un autre quartier d’une autre ville sans que les passagers aient eu à descendre de leur navette.

5. A le potentiel de devenir le premier modèle d'intégration du transport en commun entre villes, villages et inter-régional au monde.
6. Pourrait réduire la demande en infrastructures routières par la réduction du nombre d'automobiles et de camions sur nos routes.

7. Pourra aussi bien transporter du matériel en vrac que des personnes, ce que ne pourra pas faire économiquement le TGV.
8. Pourrait transporter des personnes et du minerais dans le nord où le pergélisol et la faune doivent-être préservés. Pas de déneigement de voix ni interférence avec la faune et la flore.

Le monorail a le potentiel de changer la face de tout le Québec et probablement celle du monde.
Nous serons devenus un grand village ou les distances ont moins d'importance.
Le monorail = moins de voitures, moins d'autoroutes, moins de pétrole, moins de camions. Une économie et une source de revenu pour toute la société.


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8 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    9 avril 2013

    Le monorail à Découverte ce dimanche, 18h30
    http://www.radio-canada.ca/widgets/mediaconsole/medianet/6652601/?seektime=775.04
    J'ai été sidéré d'entendre Pierre Couture nous dire que la plupart des brevets du moteur-roue avaient été détruits,qu'il avait l'interdiction d'en parler et qu'un jour nous saurions le fond de l'histoire.
    Heureux de savoir qu'il est toujours là,sur le point de recréer de façon plus robuste un nouveau moteur-roue pour le monorail grande vitesse.C'est là qu'on va voir si le Québec est fait pour un p'tit pain ou le contraire.
    Vonlonté politique à vos marques!

  • Jean-Pierre Plourde Répondre

    8 avril 2013

    Bonjour M. Hugues (Ouhgo)
    Les Japonnais ont très peu de ressources sur leur territoire surpeuplé. Ils ont orientés leur avenir sur le savoir et l'intelligence. Ça marche parce qu'ils osent.
    Nous on attend que d'autres trouvent des idées et on se refuse collectivement d'en avoir. La dernière fois qu'on a osé, c'est dans les années 60 sous René Lévesque et ça a marché.
    Le monorail aurait dû être mis en marche il y a 20 ans et on a pas osé... Pourquoi?
    Parce que ce projet heurte de front, l'industrie du pétrole, de l'automobile, du transport etc, en plus d'avoir un effet énorme sur la société, pas seulement la notre, mais toutes les sociétés et en particulier l'Afrique parce que ce véhicule sera le seul véhicule qu'ils auront les moyens de se payer.
    L'effet de rapprochement des sociétés entre elles aidera grandement à souder les liens entre les citoyens. C'est l'une des principales raisons pour laquelle un tel projet est bloqué depuis si longtemps.
    Pendant tout son mandat, le gouvernement Charest s'est efforcé d'opposer les citoyens entre eux, il a fait la promotion de la fermeture des régions laissant croire aux Montréalais que les régions étaient une charge sociale pour eux, voir,
    http://www.ameriquebec.net/actualites/2008/09/24-montreal-le-traite-de-lapproche-commune-va-te-faire-mal-2.qc
    Il en a profiter pour diviser le territoire en deux, le sud et les territoires nordiques dont ils s'est emparé des ressources, nos ressources et les vôtres, dans un geste d'expropriation exprimé par la déclaration d'une langue de travail différente de notre majorité et par la liquidation de nos territoires dans un traité, négocié en notre nom et en conflit d'intérêt par un président de Compagnie impliqué dans Option Canada et qui favorise exclusivement une minorité sous la tutelle d'Ottawa au dépend de nos droits collectifs. Le transfert aux Amérindiens des registres des droits fonciers est venue compléter l'expropriation des citadins, Montréal et Québec compris.
    Vous et moi avons hérité de cette tutelle. Le Québec "province francophone" devient sous l'autorité du Canada et territoire fédéral.
    Les médias sont devenus une machine à propagande et de psychologie sociale appliquée à endoctriné le peuple dans ce qu'il y a de plus rabaissant pour un peuple, perdre la volonté d'avancer et de se prendre en main. On modifie notre histoire, on prend le contrôle politique de nos institutions comme les universités, au dépend de la liberté d'expression et des initiatives sociales.
    Le monorail est un bel exemple d'investissement socialement rentable il fera plus que raccourcir les distances. Les gens de Montréal et des régions vont rapidement se sentir des voisins de palier. Notre façon commune de voir l'avenir sera modifiée.
    Pour en savoir plus, voir,
    http://saglacweb.blogspot.com
    Merci d'être là.
    Jean-Pierre Plourde.

  • Archives de Vigile Répondre

    8 avril 2013

    Bonjour M. Plourde,
    Vous devriez relire mon commentaire et ne pas présumer comme vous le faite d'intentions ou d'attitudes que je n'exprime nullement.
    Par contre, je dois dire que vous exprimé avec clarté ce que j'y dénonce. Ce manque flagrant d'aptitudes à l'écoute et une volonté crasse pour l'aveuglement volontaire... Tout cela uniquement pour une opinion qui remet en cause ce que vous prenez pour parole d'évangile et qui manque un peu plus que de simple finitions.
    La peur du succès ne serait-ce pas cette sublimation de la raison par les émotions? Une raison que les canadien-français castre parce que comme peuple bafoué, dans ce qui leur reste de carré de sable ils ne font que compenser en refusant toute forme de réflexions qui remet en question leurs certitudes.
    On a pas besoin du train d'Elvis Gratton, mais d'outils de transports qui sont les plus flexibles, les plus rentables, le plus efficaces que nos cerveaux peuvent produire. Pour cela il est impératif de partir de notre situation, de nos potentiels et de nos besoins, présents et à venir pour évaluer nos projet. Ce n'est pas faire preuve de vision que de partir d'un concept pour ensuite essayé de l'adapté avec des images de synthèses alors que les problèmes ne sont pas entre les villes du Québec, ça c'est loufoque, absurde, contre-productif, c'est ça avoir la peur du succès, c'est ça n'être que canadien-français alors que nous avons à être québécois!
    Oubliez cette méprise que vous m'attribuer et prenez donc le temps d'approfondir l'analyse des problématiques du transport de personnes et de marchandises au Québec; de la neige, de notre électricité, de notre population, des îles de la régions de Montréal, du fleuve, du transport transcanadien (à nos frais), du coût des autoroutes dans notre développement (à tout point de vue, urbanisme, consommation, etc.), de notre productivité, ce sera déjà un début et pas une fin. Un monorail? Vraiment pourquoi pas deux ou trois? Suspendu, ok, mais dans quels buts et en tenat compte d'une intégration ou pas dans le développement de toutes nos infrastructures? Électrique, oui, mais dans quelles conditions avec l'H-Q seulement ou avec l'opportunité de développer des industries régionales d'électricité complémentaires? Rejoindre des centres urbains ou plus largement tous les centre urbain parce que complémentaire à l'utilisation des autoroutes et du contrôle des flux transcanadien et extra frontalier? Déplacer les problèmes de circulations sans les réglés ou intégrer tout les ports, maritimes et aéroportuaires à travers le Québec, de Montréal à Rimouski et Sept-Îles, etc... Réfléchir plus avant quoi! Au lieu de tout stopper parce que vous êtes LE détenteur de LA vérité, celle qui est partagé par un petit nombre et qui veut s'imposer à tous par les émotions! Je rêve d'un TRENS qui ne soit pas une poursuite des mentalités qui nous ont menés aux nids de poule que nous entretenons depuis trop longtemps par l'habitude d'un manque de rigueur et de vision. Ça c'est le contraire du défaitisme, c'est ce qu'il manque à nos suiveux de canadien-français, le courage de la discension!

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    7 avril 2013

    Information rassurante sur le document télévisé: Le père du moteur-roue, M. Couture, qu'on croyait écarté du milieu, est au contraire bien en selle et d'attaque pour faire revivre ce projet qu'on lui a volé (de façon nébuleuse). Suffirait de quelques millions pour que les bancs d'essai fassent la preuve de la faisabilité du monorail, rempli de promesses.
    Encore une fois, si les Québécois étaient Maîtres chez eux, ils n'auraient qu'eux-mêmes à blâmer si leur développement n'advenait pas.

  • Jean-Pierre Plourde Répondre

    7 avril 2013

    Partie deux :
    Revenons au monorail.
    Je ne dis pas que le monorail va sortir comme un lapin dans un chapeau. On aura besoin de recherches, d'un banc d'essais et de mises au point. L'organe de recherche majeur, le moteur roue existe déjà, si bien qu’il a été copié partout dans le monde pour être appliqué au seul endroit ou il ne le devrait pas si l'on habite le Québec, l'automobile.
    Je suis d'accord avec M. Pierre Couture sur le principe du moteur roue appliqué au monorail comme on vous le présente. L’appliquer à l'automobile est tout à fait contre nature et en voici les raisons.
    On est au Québec ou la gadoue est constituée de boue, de neige fondue, de calcium, de sel et de gravier, un mélange très conducteur et corrosif qu'on doit tenir loin de tout moteur électrique, tous les appareils électriques que vous achetez sont unanimes. On nous met en garde deux fois plutôt qu'une dans leurs instructions de ne pas utiliser d'appareils électriques près d’une piscine, sous la pluie ou la neige, etc.
    Le printemps et l'automne au Québec, les roues de nos voitures baignent dans cette gadoue, est-ce logique?
    Pourquoi le principe n’est t-il plus valable?
    En hiver à moins 30 degrés, les batteries ne possèderons plus que 40% environ de leur puissance d'été, on va demander en plus à ces batteries de chauffer l'habitacle et de motoriser le véhicule!
    L’État a atteint le point où les citoyens doivent s’en méfier tant il est financé, par le détournement de nos impôts, pour défendre les intérêts des banques et de l’industrie.
    On doit comprendre que le bon jugement a toujours sa place. Hors les potins, arrêtons de croire tout ce qu’on nous dit à la télé et la radio.
    Le monorail se veut une réponse intelligente à la poursuite de l’asservissement des masses. Ce projet est intelligent et réalisable. C’est à nous tous de définir ce qui est bon pour nous.
    Je vous invite à lire les informations contenues sur notre site,
    www.trensquebec.qc.ca,
    Le monorail suspendu répond à tous les arguments se sécurité, de fiabilité et il se compare avantageusement à tout autre projets actuels.
    Je crois sincèrement que le monorail a tout ce qu'il faut pour devenir le premier projet d'intégration réfléchi et planifié de transport en commun dans le monde.
    Un premier banc d'essais de 5 kilomètres révèlera les difficultés et les corrections à y apporter.
    Une grande proportion d’ingénieur du Québec nous appuis et certains mêmes s’impliquent avec nous. Les avantages annoncés du monorail sont très positifs, ils valent amplement la dépense. Il y a là un projet très créatif, innovateur et beaucoup d’emplois à la clé. À la condition bien sur de ne pas confier ce projet à Bombardier qui crée beaucoup plus d'emplois ailleurs qu'au Québec.
    On se devra d’agir en patron et non en larbin.
    Tous les autres détails dont vous parlez font l'objet d'analyses.
    Toutes les conditions seront vérifiés en souffleries et en réel afin d’assurer la sécurité et le confort des passagers.
    Vous me donnez l'exemple du transport de matériel de 38 tonnes. Ce n'est pas le but de ce projet. Le matériel lourd et massif ne requiert pas la haute vitesse, les bateaux et le train régulier sont là pour cela.
    Par contre, je pense que le transport de minerais du nord ou de blé de l’ouest vers l’est, on parle ici de « vrac », au moyen d’une succession de navettes adaptées de 10 tonnes aux 15 minutes devrait avoir le même effet qu'un pipeline transportant du pétrole en continu, c'est le principe du tapis roulant.
    À destination, des volets sous le conteneur pourraient s’ouvrir pour la vidange du véhicule, la capacité de 10 tonnes prévue est respectée.
    Pour le moment, on en est pas là.
    Commençons par le commencement, on verra après pour les cas particuliers.
    *** Le banditisme de l'État.
    La violence policière d'aujourd'hui n'a plus aucune mesure avec la véritable menace des contestataires, qu'ils soient étudiants, femmes, enfants, syndicalistes ou autres citoyens.
    Au printemps arabe seuls les policiers avaient vraiment l'intention de blesser ou même de tuer pour empêcher la contestation et on a passé très près.

    À Victoriaville les ambulanciers se voyaient interdire l'accès aux citoyens blessés par les policiers.
    Les témoignages sont incontestables, voir ici,
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=9iZdAdczrGk#!
    Les citoyens sont devenus prisonniers de leur état et privés de la liberté d'exprimer leurs opinions et de manifester.

    Aujourd’hui, les forces de l’ordre profitent de la déclaration obligatoire du trajet choisi pour étouffer la manifestation avant même qu’elle ne commence. La loi a été remplacée par un règlement municipal qui en a fait une machine à percevoir des amendes abusives auprès des plus démunis.
    Lorsqu'un pays veut en détruire un autre, il fait élire son élite chez cet autre peuple. Il remplace l’élite de ce peuple par la sienne, voir graphiquement comment, ici :
    http://saglacweb.com/indexFrameCenterVivreLibre.html
    Cette nouvelle élite aura la charge de démembrer l'économie de ce peuple et de l’endetter au maximum.
    À l’arrivé de Charest en 2003, la dette du Québec était de 138 milliards, la dette d’aujourd’hui hérité de son règne est déjà de 254 milliards de dollars. Elle sera très difficile à ralentir et à inversée, voir ici,
    http://saglacweb.blogspot.ca/2011/03/la-dette-du-quebec-en-direct.html
    En 2003, Jean Charest s’est fait élire sous de fausses promesses de réductions d’impôts d’un milliard de dollars par année pendant cinq ans, voir,
    http://www.drole-video.com/communication-politique-charest.shtml
    Après l’élection, les promesses avaient disparues et les Sabia, Desmarais et compagnies sont entrés en place à la Caisse de dépôt et ailleurs dans nos postes de direction ou ils décident encore aujourd’hui de l’avenir du Québec et du Canada en coulisse alors que le peuple Québécois croit toujours en leur compétence.
    Nos institutions s’anglicisent à vitesse grand « V », c’est devenu un détournement de démocratie et un acte délibéré d’humiliation collective.
    Beaucoup de nos médias ne font plus la différence entre la propagande et l’information.
    Jean-Pierre Plourde,
    http://saglacweb.blogspot.com

  • Jean-Pierre Plourde Répondre

    7 avril 2013

    Bonjour M. Francis Robillard,
    6 avril 2013, Réf. POL924-13AVR-XQC_Vigile
    Je vous présente ma réponse en deux parties.
    Première partie :
    Vous me dites :
    « Rappelons ici que le monorail, une unité de propulsion s’articulant autour d’un rail comporte de trop nombreuses limitations ».
    Lorsqu’on veut réussir sa vie, on prend les moyens pour que cela se produise, si l’on veut être avocat ou électricien on doit consentir à étudier pour apprendre l’abc du métier et comment fonctionne les outils qu’il faut maitriser pour assurer notre réussite.
    Vous présentez dès votre première phrase un sentiment négatif très répandu chez tous les Québécois, la peur de réussir.
    L'Hydro-Québec ne s'est pas construite en un jour.
    Dans les années 60, le gouvernement Lévesque a pris la décision de construire La Manic, il avait également été décidé de transmettre l’énergie sur des lignes 735,000 volts, une chose impensable à l’époque. Ça devenait un projet fou et irréaliste pour les industriels et entrepreneurs de l'époque.
    Le gouvernement Lévesque des années 60 a dû trouver le financement à NewYork tant ce projet heurtait les fédéraux qui se sont opposés. Les Américains eux comprenaient que ce projet était innovateur et réalisable.
    Le Canada encore aujourd’hui n’est pas un pays ami, le gouvernement Charest devrait faire parti des enquêtes de la Commission Charbonneau. C'est lui qui a ouvert la porte toute grande au financement occulte du parti Libéral et aux copinages illégaux qui se sont répandues dans toute notre société.
    Ce n’est pas vrai qu’on y peut rien.
    Nos politiciens ne sont pas nos maîtres mais nos employés. Il nous faut seulement la psychologie de « César » pour les maîtriser.
    Aujourd’hui, on nous fait toujours la guerre à coup d'enveloppes, de magouilles, de négociations frauduleuses sans consultation des citoyens et de banditisme à peine voilé. Sur ce dernier sujet, voir *** à la fin.
    Le résultat de notre audace des années soixante fait aujourd’hui l'envie de tous les industriels de ce monde. Nos citoyens sont inconscients aujourd’hui que nos politiciens sont en train de transférer tout cela dans d’autres mains. Résultat, dans chacun de nous, on se sent de moins en moins « Hydro-Québécois ». On devra apprendre à s’aimer, à affirmer collectivement la propriété de ce qui nous appartient. C’est ce comportement que démontrent nos étudiants. Nous avons un espace vital à respecter et à faire respecter.

    Le petit vidéo suivant décrit très bien la situation dans laquelle on s’enlise tous ensemble. Il nous faudra bien un jour qu’on se réveille et qu’on s’affirme collectivement, voir ces deux vidéos, une pub apparaît au début , on devra l’annulée, cliquez sur le X en haut à droite de la pub.
    http://www.youtube.com/watch?v=HH5fVD-1_I4
    La deuxième vidéo provient d’un professeur asiatique qui démontre l’absurdité de ce principe. Il parle de la France. Sans le nommer, le Québec est dans la même situation. Enlevez la pub pour lire la traduction. Prenons cela avec une ouverture d’esprit, on est tous concerné. Pour ma part, les initiateurs de ce qui se passe en France, viennent de chez nous, fédéralisme Européen basé sur le Canadien, amitiés des Desmarais-Charest-Sarkosy, etc.
    http://www.youtube.com/watch?v=UOadagqruHg
    La deuxième partie de mon texte suit immédiatement.
    Jean-Pierre Plourde,
    http://saglacweb.blogspot.com
    N'oubliez pas DÉCOUVERTE ce dimanche 18:30 hrs

  • Archives de Vigile Répondre

    6 avril 2013

    Ce projet bien que prometteur est loin d'être achevé.
    Rapelons ici que le monorail, une unité de propulsion s'articulant autour d'un rail comporte de trop nombreuses limitations:
    - en terme de difficultés et de coût relié à la stabilité des voitures se croisant en hauteur, à la merci du vent et des voitures croisées dans ce cas-ci à 500km/h (2x250km/h);
    -il ne peut y avoir des stations d'embarquement que sur le réseau principal, diminuant la fluidité la flexibilité et la rentabilité du réseau; Au lieu d'un rail, deux rails permettraient des interconnexions en dehors des stations, un plus pour la fluidité et la sécurité des passagers;
    - la limitation des structures conçu autour de pylônes creux conçu pour des éolienne et des jetés inspiré par un concept de pont conçu et construit il y a 120 ans, limitant le poids des voitures et la capacité de charge au point que le transport de marchandises, très superficiel, à 10t (alors que la norme ISO 668 pour un container est de plus de 38t), assure aucun revenus n'excédant les coûts d'opérations.
    - mais le plus grave est que le projet québécois (perspective de la Ville de Québec) du TRENS, qui se veut une alternative électrique au trasport sur route et au TGV entre les régions du Québec ne s'intègre pas pour l'instant dans sa conception et son implantation à une intégration d'un mode de transport suppléant au coût et à l'utilisation du réseau d'autoroute. Ce qui ne permet pas de régler les problèmes de circulation ou il sont, c'est à dire surtout autour et à l'intérieur de la région métropolitaine de Montréal ou l'on retrouve plus de 50% de la population du Québec et plus de 90% des problèmes de circulation des personnes et des marchandises pour tout le Québec.
    Il faudrait peut-être pensé à regarder ce que les Allemands ont réussit avec leur Autobahn pour concevoir un réseau de trains suspendus électrique national, qui soit stable, vraiment flexible, plus que minimalement rentable et profitable pour toute les grandes aglomration du Québec et de leurs périphéries.
    Il serait peut-être temps de commencé à travaillé sur des projets d'envergures au Québec avec plus de rationalité que de nationalisme défensif politiquement orienté. Nos limitations et nos angle-mort ne servent qu'à l'oncle Paul et ses amis, qui seront mort de rire en ramassant ce que nos petits canadien-français fachés n'auront pas réussit à maîtriser à cause de leurs émotions mal contenues et mal dirigées pour essayer sans se libérer.

  • Stéphane Sauvé Répondre

    6 avril 2013

    Merci Monsieur Plourde, cette initiative de promotion du Trensquébec vous honore.