L'affaire des équipes sportives canadiennes qui ne fonctionnent qu'en anglais répugne.
On l'a vu récemment avec l'équipe nationale de hockey junior à qui il ne fut demandé de ne parler qu'en anglais dans le vestiaire, et ce, même si l'équipe était constituée de son instructeur et de sept joueurs francophones.
Les sept journaux du Groupe Capitalesl Médias, de l'ancien ministre libéral M.Martin Cauchon, qui couvrent les 3/4 du territoire Québécois ne parlent tout simplement pas de tout ce qui est jugé "nationaliste". Il n'y a jamais, à ma connaissance, ( Je fais une rapide revue de presse tous les jours sur internet) aucun éditorial, ni chronique, ni caricature ou même opinion du lecteur autre que pour la défense du fédéralisme. Monsieur Cauchon, le seul actionnaire, a été le majordome de Desmarais dans sa jeunesse et son homme de paille durant toute sa carrière. https://fr.wikipedia.org/wiki/Martin_Cauchon. Il ne reste aux indépendantistes que Vigile et Facebook, surtout.. Les quotidiens indépendantistes semblent ne pas pouvoir survivre, hélas. On garde la nostalgie du journal LE JOUR.
" En mars 2015, via l'entreprise Groupe Capitales Médias dont il est l'unique actionnaire, M. Cauchon fait l'acquisition de plusieurs quotidiens régionaux du Québec. Il obtient donc le contrôle entrepreneurial et éditorial des journaux Le Soleil de Québec, Le Quotidien de Saguenay, Le Nouvelliste de Trois-Rivières, Le Droit d'Ottawa, La Voix de l'Est de Granby, ainsi que La Tribune de Sherbrooke, tous vendus par le Groupe Gesca, une filiale de Power Corporation du Canada ". À boycotter éventuellement.
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2 commentaires
Archives de Vigile Répondre
13 janvier 2017Du temps de Maurice Richard les joueurs francophones n'avaient pas le droit de parler en français ; non seulement dans le vestiaire, mais également sur le banc. Comme cela, les dirigeants anglophones, dans leur paranoïa envers le "Spy Language", s'assuraient que les "French pea soup" ne parlaient pas contre eux. 80 ans plus tard, on dirait que rien n'a changé. La paranoïa et ce désir de mater ces Frogs une fois pour toutes ; de leur faire comprendre que le Canada, c'est English, n'a rien de surprenant. Il n'y a qu'à regarder du côté du gouvernement Trudeau, qui a dit que le bilinguisme n'était pas nécessaire pour ses ministres.
Dans cette foulée, la revue Maclean's clame maintenant qu'il n'est pas nécessaire pour un Premier ministre d'être bilingue. En tout impunité. Une simple formalité, quoi.
Les québécois vont - ils se réveiller un jour ?
Archives de Vigile Répondre
11 janvier 2017Monsieur Raby
Lorsque le Québec deviendra un pays indépendant, nous les mettrons tous dehors ces exploiteurs fédéralistes en commençant par Radio-Canada, la Presse et autres. En attendant, la meilleure chose à faire comme vous le mentionnez, c'est de les boycotter.
André Gignac 11/1/17