La volonté de la majorité doit toujours primer sur les constitutions, chartes des droits et libertés, lois, juges, jurisprudence.
Cela peut sembler une évidence, mais on est loin de pouvoir le faire dans ce monde moderne où les dirigeants et idéologues ont soif de domination autoritaire, voulant plus que tout exercer le pouvoir enivrant et contrôler le bas peuple à sa guise. On se sert de l’ensemble des lois pour brimer la population et justifier sa soumission. Il y aura toujours une loi, un règlement qu'on peut alléguer pour empêcher la majorité de faire ce qu'elle veut.
On en a le meilleur exemple actuellement avec notre excellente loi 21 sur la laïcité qui est rendue en Cour suprême du Canada, dans un geste de contestation amorcée par des minorités religieuses étrangères, mais allant contre la volonté de la nation québécoise. Une véritable honte.
Mais il n'en tient qu'à nous de reprendre le contrôle de notre société. La démocratie, c'est répondre à la volonté de la majorité.
L'autorité n'est pas à la bonne place
Au Québec, aucune forme d’autorité extérieure ne doit pouvoir dicter aux 9 millions de Québécois quoi faire et ne pas faire, comment vivre et comment se comporter, et certainement pas un juge condescendant et dédaigneux qui ne sera jamais autre chose qu'un simple être humain faillible comme un autre, sans pouvoirs divins spéciaux.
Un individu affublé d'une ridicule perruque, d'une toge démodée et d'un marteau phallique ne viendra pas dire à une nation de 9 millions d'habitants comment gérer sa société du haut de son pouvoir tyrannique. Ce n'est pas une poignée de juges empesés de la Cour suprême qui viendra dicter au Canada de 45 millions d'habitants quoi faire et ne pas faire. Ce n'est pas une poignée de juges empesés qui viendra dicter aux États-Unis de 350 millions d'habitants quoi faire et ne pas faire. La tyrannie des juges, c'est non.
Un seul cerveau ne peut évaluer ce qui est bon et préférable pour des millions d'autres cerveaux tout aussi capables de réfléchir, peser le pour et le contre, et tirer des conclusions. Une nation possède une sagesse commune, le gros bon sens, des principes moraux élevés et partagés, le sens inné du bien et du mal. C'est elle qui doit l'emporter en tout temps.
Fini le recours aux constitutions, chartes et juges hautains et présomptueux
Les constitutions ou chartes vieilles de 50, 100 ou 200 ans sont anachroniques, désuètes et furent rédigées par des bandes de vieux schnoques gâteux qui se croyaient supérieurs aux autres, assujettis à la mentalité révolue de leur époque, croyant posséder la science infuse, et qui se sont arrogés le pouvoir de sagesse suprême et de guides universels, investis des dieux, et se prétendant les seuls détenteurs du bien et du mal. Parlez-moi d'une bande de prétentieux présomptueux ridicules !
On a affaire à une vision élitiste qui se méfie des masses considérées comme inférieures et devant être contrôlées.
L'idée de se référer à de tels textes comme à une autorité suprême qui engloberait tout est non seulement stupide, mais nuisible et dommageable.
Affirmons-le sans détour : aucun texte, aucun code de conduite, ne sont sacrés et hors d'atteinte et de modification par les humains. Le monde et les temps changent, évoluent, ainsi que la façon de voir les choses. Rien n'est à jamais gravé dans le roc.
Vous lisez comment les gens voyaient les choses il y a 2 000 ans, 250 ou 100 ans, ça ne s'applique plus aujourd'hui. 1 000 situations qu'on n'acceptait pas jadis le sont maintenant ; et 1 000 situations qui n'existaient même pas alors se sont ajoutées et doivent être évaluées d'après des critères contemporains.
Quelques exemples éclaireront comment prendre des décisions voulues par la majorité et agir sans recourir aux constitutions et chartes :
- Les chiens défigureurs
Si la population décide d'interdire les chiens agressifs défigureurs d'enfants comme les rottweilers et pitbulls, elle le fait. Et si quelqu'un s'écrie : "c'est mon droit le plus sacré de posséder la race de chien de mon choix, comme l'a formulé telle constitution ou telle charte". On lui répond : "non, ici, c'est inacceptable", point.
- Les colts 45 du Far West
Si un Américain du Far West s'en vient vivre au Québec avec 2 colts 45 aux flancs et qu'il s'écrie : "le second amendement sacré de ma constitution m'en donne le plein droit", on lui répond : "non, ici, tu ne le feras pas", point.
- Le wokisme
La lutte au wokisme est légitime et nécessaire. Si les gens ne veulent plus d'un programme d'embauche inique comme Équité, diversité, inclusion, on le fait abolir, point.
- Le supplice halal et kasher
Si des étrangers veulent se mettre à accomplir des supplices sanguinaires et cruels comme l'abattage halal ou kasher sur les animaux, prétextant que la volonté de leur dieu est plus forte que nos lois, on leur répond : "non, ici c'est inacceptable, on ne vous laissera pas le faire".
- La peine de mort
Il existe des listes de types de crimes si odieux qu'ils sont considérés comme méritant la peine capitale, établissant qu'un criminel a démérité de toute dignité humaine. Si la population veut faire appliquer ce geste punitif proportionnel à la gravité du crime commis, elle le fera, point. Voyez-en une liste ici.
- Les mariages arrangés et forcés
Les hindous sont ceux qui pratiquent le plus les mariages arrangés et forcés de mineures et d'enfants. De plus, c'est l'ethnie qui entre actuellement en plus grand nombre au Canada et qui perpétue ces coutumes barbares où qu'elle s'installe. On leur répond : "non, ici c'est jugé inacceptable, on ne vous laissera pas faire ça ici", point.
Par quoi remplacer chartes et constitutions ?
Le recours servile aux constitutions ou chartes archaïques doit être remplacé par une consultation populaire sous forme de référendum périodique. On demande à la population ce qu’elle veut et on le fait. Tout se fera rapidement en ligne, comme la Suisse le fait déjà avec succès. Cela s'appelle la démocratie directe. Ces référendums peuvent comporter autant de questions que nécessaires et avoir lieu plusieurs fois par année.
2 exemples :
1- On demande : Voulez-vous qu'on accorde l’aide médicale à mourir sur demande? Si les gens répondent majoritairement oui, on l'adopte, on le fait, point.
2- On demande : voulez-vous qu’on déporte immédiatement tous les milliers de migrants clandestins illégaux incrustés au Québec qui représentent un grave danger pour la population et grevant tous les services publics ? On répond oui, on l'adopte et on le fait la semaine même.
Pas de permission à demander à quiconque
On n’a même pas à se demander ce qui se fait ailleurs, qui d’autre le fait, si cela déplait à une quelconque minorité, ce qu’en penseront les bien-pensants, ce que préfère tel lobby, etc. On veut quelque chose majoritairement, on le fait, et on se fiche du reste, c’est ça la démocratie.
Un seul document ne peut tout inclure, tout prévoir
Aucun document de référence ne peut tenir compte de toutes les situations possibles et imaginables, ni de tous les cas particuliers, ni de toutes les exceptions. Croire qu'un document de 5, 10, ou x pages peut arriver à cerner et contenir le fonctionnement complexe d'une société moderne et changeante n'est que vaine illusion, une vue de l'esprit réductrice et bornée.
C'est pourquoi il faut changer le paradigme du recours à une constitution ou une charte des droits.
La preuve
La preuve que l'ensemble de ce carcan réglementaire est conçu pour nous mettre des bâtons dans les roues : autant aux États-Unis qu'au Canada, les autorités ont mis au point une procédure intentionnellement complexe rendant presqu'impossible d'apporter la moindre modification à la constitution du pays, cela expressément afin que le peuple reste asservi aux sacro-saintes règles édictées, et pour empêcher toute volonté de changement, de suivre l'évolution des moeurs. N'est-ce pas là la définition même de l'oppression totalitaire ?
À lire : La Charte des droits et libertés doit pouvoir être amendée au besoin
La solution : faire confiance à la volonté populaire de la majorité
Militons tous ensemble pour une société débarrassée du joug coercitif de l’appareillage paralysant qu'est la règlementation outrancière et la judiciarisation des lois, qui sont des mécanismes visant à contrecarrer l’application de la force démocratique collective, et à réprimer la volonté populaire majoritaire. Faisons un pas de plus vers plus de liberté et moins de contraintes artificielles imposées.
La volonté majoritaire et démocratique des peuples doit être placée au-dessus des constitutions, chartes et lois, pour éviter qu'elles ne se retournent contre eux, comme c'est devenu trop souvent le cas.
À lire : Accentuons la spécificité québécoise par des lois différentes du Canada pour s’en démarquer
Conclusion
La dictature des juges doit être abolie. De même que le despotisme autoritaire des constitutions, chartes, et lois imposées. Que la volonté de la majorité soit faite.
À lire : Plus de recours à la Constitution ou la Charte des droits, mais que des lois voulues par la majorité, avec 13 exemples d'application concrète
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