Introduction
Voici un très long article de Michael Thomas publié par stateofthenation2012.com le 5 novembre 2014, que nous avons découpé en plusieurs parties pour en faciliter la lecture.
Mise en garde.
Cet article contient une affirmation concernant l’imposition de l’hébreu comme seconde langue en Ukraine. Cette information n’est pas vérifiée, il ne s’agirait que de rumeurs concernant un éventuel projet de loi en cours d’élaboration à la Rada de Kiev.
Le contenu informationnel du reste de l’article, notamment sur les conditions de la chute de l’URSS, la vision globale qu’il donne sur la situation géopolitique du moment et sur ses perspectives nous sont apparus suffisamment dignes d’intérêt pour que nos lecteurs en prennent connaissance.
A eux de juger…
Le Saker francophone
Pourquoi l’axe Anglo-Américain est-il si effrayé par Poutine et si déterminé à l’abattre ?
Aucun chef de file mondial n’a été autant diabolisé par l’Occident durant la dernière décennie que Vladimir Poutine, en tant que président russe.
Aucun autre président ou premier ministre n’a été soumis à autant d’attaques personnelles indignes et à de fausses accusations incessantes.
De toute évidence, Vladimir Poutine représente une véritable menace pour le Gouvernement mondial occulte (WSG) ce qui énerve profondément ceux qui résident au sommet de la pyramide du pouvoir global sur la planète.
Pourquoi ont-ils si peur de lui ?
Avant de pouvoir répondre à cette question, il faut comprendre et analyser correctement l’histoire cachée de l’effondrement planifié de l’URSS. Ce n’est qu’en comprenant le véritable contexte historique dans lequel Vladimir Poutine a agi à ce moment-là que l’on comprend pourquoi ses actes et ses déclarations d’aujourd’hui revêtent une grande signification. Cette histoire inconnue est également très importante si l’on veut comprendre les réactions de ses innombrables détracteurs de la direction de l’Axe anglo-américain. En voici l’histoire…
L'accord ultrasecret conclu avant l'effondrement de l'URSS à la suite de la chute du mur de Berlin
L’un des secrets les mieux gardés à la base de l’effondrement inévitable du communisme soviétique et du démantèlement ultérieur de l’URSS est qu’il a effectivement eu lieu d’une manière qui ressemble assez à une démolition contrôlée avec soin. Mais dans ce cas, ce sont les banquiers et les politiciens, les courtiers en placements et courtiers en énergie qui ont manœuvré les leviers. Tous les plans à cette fin ont été méticuleusement mis en place par ces intervenants, qui avaient tous le plus grand intérêt à exploiter l’immense richesse de la patrie russe.
La chute du mur de Berlin et l’effondrement de l’URSS ne sont pas la série d’événements spontanés importants comme les médias traditionnels (MSM) voudraient nous le faire croire. Ce n’était pas non plus le résultat de l’exigence du président Ronald Reagan, « M. Gorbatchev, abattez ce mur », bien que son fond hollywoodien ait été pour beaucoup dans le grand (et convaincant) théâtre politique. La Perestroïka [Reconstruction, NdT] et la Glasnost [Transparence, NdT] ont été de simples slogans mis en avant afin de présenter l’apparence d’un changement fondamental en URSS. Oui, la Russie a été libéralisée, en particulier par contraste avec le communisme soviétique, mais à la seule condition que ce soit une néo-libéralisation conduite par les banksters.
En fait, l’ensemble de la dissolution de l’URSS était le produit de nombreuses réunions ultrasecrètes qui ont eu lieu à très haut niveau (même au plus haut) entre les représentants de l’URSS, des USA, du Royaume-Uni et d’autres grandes nations de l’Axe anglo-américain et dirigeants du WSG [Gouvernement mondial occulte]. En gros, la plus importante de ces réunions concernait les aspects organisationnels minutieux d’une intervention dans les entreprises commerciales et les banques d’investissement nécessaire à une rupture ordonnée des républiques de l’URSS et de ses satellites d’Europe orientale.
En 1989, le balancier du pouvoir avait basculé de ceux qui souhaitaient voir l’URSS et ses satellites contrôlés par le communisme vers ceux qui voulaient contrôler directement la richesse naturelle prodigieuse, la base industrielle et autres biens nationaux par le biais du capitalisme prédateur pur et dur. À cette fin, les nombreux oligarques russes notoires ont été chacun choisi et nommé par la coalition occidentale de banquiers pour superviser le vol pur et simple de tous les actifs majeurs et les ressources naturelles du peuple russe. Cette forme unique de capitalisme prédateur frauduleux a été, dès le début, cachée à la vue du public car il a été mis en œuvre pour enlever toute possibilité de bénéfice à la fois à l’État et aux citoyens.
Ce processus de transition, béni conjointement, était la seule manière pour l’Union soviétique d’être autorisée à se libérer de ceux qui secrètement ont contrôlé son destin tout au long de près de 75 ans de communisme soviétique nominal. Des leaders comme Mikhaïl Gorbatchev et Boris Eltsine ont été choisis pour entériner et faire coordonner par l’État l’ensemble du vol perpétré par les oligarques. Comme les dirigeants politiques sont généralement maintenus dans l’obscurité, aucun d’entre eux, ni leurs cercles proches, n’était au courant des détails de ce projet de voler la richesse russe. Ils étaient simplement des hommes de paille dont la principale tâche était de couvrir le processus d’un vernis de légitimité. Toutefois, en raison de leurs positions de pouvoir politique et de leurs points de vue d’observateurs privilégiés, les deux étaient tristement conscients qu’un accord avait été conclu avec le diable, derrière leur dos.
Boris Eltsine a porté le plus lourd fardeau en raison du calendrier de son mandat de président alors qu’il regardait les oligarques voler tout ce qui leur tombait sous la main. Son problème d’alcool et sa fragilité cardiaque bien connus étaient certainement le résultat de la nécessité d’avoir à composer avec toute cette mascarade. Néanmoins, il savait que sous la gestion future de Vladimir Poutine, la Russie serait protégée. Car de même que les capitalistes vautours de Russie et d’Occident ont exécuté ensemble leurs plans (et les contrats) pour dépouiller la Russie jusqu’à l’os, il y avait aussi alors un groupe ultrasecret de patriotes russes et nationalistes, politiciens loyaux et responsables gouvernementaux, pour former un groupe compact encore plus fort et retourner la situation… quand le bon moment serait venu.
La CIA a été directement impliquée dans cette escroquerie du siècle
Les titres d’articles ci-dessous décrivent exactement ce qui ne s’est pas produit juste avant la chute du mur de Berlin et l’effondrement ultérieur de l’Union soviétique.
Le Directeur de la CIA a admis qu’il n’a pas su prévoir l’événement de l’effondrement soviétique – New York Times [5]
Quelqu’un peut-il croire que la CIA ait tenté de se présenter comme ayant échoué à prévoir cet effondrement monumental et sans précédent, en particulier quand elle a été l’entreprise qui a tiré les ficelles et actionné tous les leviers de ce qui était essentiellement une démolition contrôlée ?
La CIA est même allée jusqu’à supporter beaucoup de mauvaise presse pour convaincre le public américain (et le monde dans son ensemble) qu’ils avaient vraiment lamentablement échoué à cet égard. Son intention de cacher les plans de ce qu’elle perpétrait contre le peuple russe et toutes les anciennes républiques qui composaient le bloc soviétique, était telle que la CIA a fait l’objet de divers drames politiques joués partout dans le quartier des théâtres de Washington, DC, dans un effort pour couvrir toute implication des États-Unis.
Après tout, la CIA porte la responsabilité directe de veiller à ce que tous les accords internationaux de l’Axe anglo-américain soient strictement respectés. En réalité, l’exécution des contrats de cette nature a toujours été le premier devoir de la CIA. Toutefois, dans le cas d’espèce de la Russie, leurs évaluations à long terme et leurs analyses stratégiques étaient loin du compte. Ils s’étaient tellement trompés que l’on peut maintenant déclarer avec certitude que ce sont eux qui ont finalement été escroqués. Peut-être y avait-il aussi des personnes bien placées à la CIA, des lanceurs d’alerte, qui ont joué le jeu de manière à alerter leurs homologues russes des différentes combines et des escroqueries en cours, organisées de Saint-Pétersbourg à Vladivostok par les banksters occidentaux.
La raison pour laquelle tous les oligarques russes se sont précipités à Londres, Tel Aviv et New York devrait maintenant être claire
Quelle meilleure façon pour les oligarques de se protéger contre les actes d’accusation russes que de rechercher la pleine protection du syndicat du crime, la CIA, le MI6 [Service de renseignement britannique, NdT] et le Mossad [Service de renseignement israélien, NdT] au plus profond de l’Axe anglo-américaine. Même Mikhail Kodorkovsky [6], l’ex-président de la compagnie pétrolière Ioukos, aujourd’hui disparue, récemment libéré, a passé plus de temps dans les bons vieux USA, fomentant avec ses gros sabots une nouvelle révolution russe. Autre créature politique russe de la CIA, l’ancien champion du monde d’échecs Gary Kasparov, a également fait des heures supplémentaires pour remplacer Poutine comme protecteur du royaume, en prêchant sans cesse auprès de l’establishment politique américain à propos du grave danger de la direction véritablement éclairée de Poutine.
Il semble qu’aucune de ces dupes occidentales ne comprenne que nous ne sommes plus en 1917, et que Vladimir Poutine n’a pas la réputation du tsar Nicolas Romanov. Ils omettent également de se rendre compte que beaucoup de leurs collègues oligarques à l’étranger, ainsi que des pions politiques à la maison, ont connu des destins funestes; telles sont les forces d’en haut qui se sont alignées sur le plan directeur de Poutine pour une Russie forte et souveraine. Aucun des nombreux oligarques, agissant dans leur propre intérêt absolu comme ils l’ont toujours fait, ne peut même espérer atteindre Poutine maintenant que le pouvoir de l’État a été irréversiblement consolidé pour administrer la volonté du Kremlin.
L'Ukraine : un autre coup d'État coordonné par la CIA... pour le compte des USA et d'Israël
Ce qui est particulièrement étonnant, compte tenu des mouvements très dynamiques en cours sur l’échiquier géopolitique mondial actuel, est que l’Occident soit si transparent en ce qui concerne à la fois ses méthodes et ses motifs pour saper la Russie. Le récent coup d’État de Kiev et la révolution en cours en Ukraine fournissent un exemple parfait de l’effondrement d’une autre nation de l’orbite historique de la Russie. Ici encore, les oligarques sionistes ayant des liens avec les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël ont été nommés à tous les postes clés de la direction du pays, ainsi que les gouverneurs de toutes les régions appelées « oblasts« . Une fois de plus, le plan de jeu de l’Axe anglo-américain a été exécuté selon le même scénario que celui utilisé lors de l’effondrement de l’URSS, avec les oligarques milliardaires prenant le contrôle total de la richesse de l’Ukraine.
La plupart ne le savent pas, mais il y a un plan mis sur pied par l’État moderne d’Israël pour un retour dans sa patrie d’origine en Ukraine. L’Ukraine de l’Est a été autrefois une partie du royaume des Khazars à une époque où le judaïsme a été choisi par le roi pour devenir la religion officielle de l’État. Ces adhérents Khazarian au judaïsme voulaient constituer ce qui est maintenant connu comme la communauté juive ashkénaze. Au cours des siècles de migrations à travers la Russie, ainsi que des émigrations dans toutes les parties de l’Europe orientale, centrale et occidentale, les Ashkénazes ont évolué dans le groupe religieux le plus riche et le plus puissant politiquement en Eurasie.
En fait l’État moderne actuel d’Israël (MSI) a été formé par le mouvement sioniste qui tire son pouvoir et sa richesse de la communauté juive ashkénaze dans le monde entier. Cependant, l’expérience MSI ne va pas si bien. La plupart des Juifs qui ont émigré de Russie et d’Ukraine, ainsi que beaucoup de ceux qui ont fui l’Europe pendant la persécution avant et après la Seconde Guerre mondiale, et jusqu’à notre époque d’instabilité comprennent maintenant qu’ils sont tombés de Charybde en Scylla.
En outre, de nombreux Juifs ont maintenant pris conscience que le désordre culturel post-traumatique [2] généré à la fois par la Première Guerre et la Seconde Guerre mondiale leur a été délibérément infligé afin qu’ils soient plus disposés à s’installer dans un morceau de terre étrangère désert, entouré de nations musulmanes et arabes qui ont été contraintes d’assister, en pleine lumière, au vol pur et simple de la Palestine de leurs frères. Pas facile de se déplacer dans le voisinage, surtout quand les voisins peuvent très facilement envoyer chez vous des obus de mortiers et des missiles.
C’est là qu’intervient le complot visant à repeupler Ukraine
La plupart des Israéliens d’origine européenne sont naturellement plus à l’aise sur le continent complètement hors de portée des mortiers et des missiles. Par conséquent, l’Ukraine a été choisie par la direction sioniste comme une nouvelle position de repli. Non seulement le régime effrontément apartheid de l’État moderne d’Israël est insoutenable pour tout le monde civilisé, mais il s’est présenté lui-même comme l’État éminemment voyou et criminel qu’il est devenu. En fait, l’État moderne d’Israël s’est honteusement distingué lui-même comme un paria international sans précédent et sans égal.
Particulièrement à la lumière de la récente destruction de Gaza, Israël a essentiellement scellé son sort. Par conséquent, le Moyen-Orient s’est métamorphosé en une IMMENSE poudrière prête à exploser au moment où Israël décide de franchir un trop grand nombre de lignes rouges pour la énième fois. Toute personne normale vivant dans un environnement aussi instable souhaiterait seulement se retirer loin d’une situation aussi précaire, ce qui explique pourquoi il y a maintenant un retour très calme de juifs ashkénazes vers l’Ukraine, leur patrie ancestrale.
La coalition américano-britannique de l’Union européenne-Ukraine a dévoilé ses intentions malencontreuses dès le départ
Dès le début de la guerre civile fabriqué en Ukraine, les puissances occidentales ont révélé leurs intentions de créer un nouvel Israël européen. Le retrait de la langue russe et son remplacement par l’hébreu comme deuxième langue officielle de l’Ukraine est un geste tout à fait évident vers la création d’une nouvelle enclave israélienne. Pendant tout ce temps, l’axe anglo-américain accuse la Russie d’avoir des projets pour créer une nouvelle région, Novorossiya, littéralement Nouvelle Russie. Un tel leurre a pour objet de ne pas éveiller les soupçons, quant au véritable complot pour s’installer en Ukraine, de même que la Palestine l’était dans les années 1940. En outre, comme en témoigne le silence extraordinaire d’Israël en ce qui concerne l’ensemble de mésaventure de l’Axe anglo-américain en Ukraine, avant et pendant le cours de la guerre civile fabriquée.
Non seulement un Israël européen constituerait un emplacement géopolitique hautement stratégique pour continuer à déstabiliser la Russie, mais l’Axe anglo-américain pourrait également utiliser l’Ukraine pour interférer avec toute l’Union européenne. Tout comme Israël a été utilisé pour perturber l’ensemble du Moyen-Orient depuis des décennies, la nouvelle Ukraine (destinée à favoriser une résinstallation israélienne) aura un rôle similaire dans une zone euro qui est en train de devenir lentement hostile aux populations juives et à leurs intérêts.
Lorsque la direction néo-fasciste à Kiev lâche la bride de son armée sur les zones urbaines et rurales de l’Ukraine de l’Est, il est devenu évident qu’un ordre du jour bien plus ambitieux de purification ethnique est à l’œuvre. De nombreux rapports officiels ont signalé le massacre de civils innocents, ainsi que la destruction gratuite des infrastructures, lieux de culte, maisons d’habitation, et des entreprises de la population russophone. Certains ont même insinué qu’un plan de génocide systématique est à l’œuvre au ralenti.
Les vieux Empires doivent mourir pour laisser place à la transformation globale réelle promue par Vladimir Poutine
Si l’Axe anglo-américain se distingue par un objectif avant tout, c’est sa soif insatiable de pétrole et de gaz naturel. L’Axe anglo-américain est tellement accro aux combustibles hydrocarbonés que le pétrodollar est rapidement devenu la monnaie de réserve mondiale. L’importance d’une demande tellement soutenue de pétrole, dans le monde entier, comme source d’énergie a cependant atteint maintenant un point critique. Tant la machine de guerre de l’Axe anglo-américain que le mastodonte économique ont besoin de beaucoup de pétrole et de gaz pour maintenir leur tyrannie sur la planète. Non seulement l’Axe anglo-américain est terriblement inutile et inefficace dans l’utilisation de ces ressources énergétiques, que la Russie possède en abondance, mais il dépense des sommes considérables en temps, énergie, argent et capital dans le processus de nouvelles acquisitions du combustible hydrocarboné nécessaire au maintien de son statut de seule superpuissance.
Ici sont enfouies les graines de sa propre destruction, car l’Axe anglo-américain ne peut plus supporter les coûts nécessaires au maintien de son empire. L’étendue des guerres et autres formes de conflit sur lesquels il doit s’appuyer pour obtenir d’autres sources de pétrole et de gaz n’a plus de sens. Toutes les nations qui ont marché dans cette voie de la guerre perpétuelle se sont mises en danger. Certaines, comme Israël, sont désormais considérées comme un anathème pour l’écrasante majorité des nations du monde entier. De même, les États-Unis sont vilipendés partout dans le monde comme un prédateur porté vers l’autodestruction, de même que le Royaume-Uni est universellement connu par sa ville de Londres ou opèrent les banksters.
À la lumière de ces perceptions, qui sont répandues, les destins de fortune de l’Alliance BRICS et de l’Axe anglo-américain montent en flèche pour l’un et chutent pour l’autre. Alors que le modèle économique européen-américano-japonais continue de faire faillite en temps réel, l’Alliance BRICS est à tout le moins debout pour la mise en place d’un futur boom. Il est clair que les trajectoires des pays du BRICS sont dirigées vers le haut, alors que les puissances occidentales sont en train de plonger dangereusement vers un Crash and Burn sans précédent. Ironie du sort, c’est seulement à travers la coopération et la collaboration avec les pays du BRICS, et en particulier la Russie, que la sphère de la zone euro et de l’influence américaine peut être sauvée d’un effondrement économique presque certain et d’une rupture financière.
Lorsque la fumée et les illusions qui définissent si bien le mirage économique de l’Ouest commenceront à se dissiper, les pays de la zone euro pourront regretter amèrement d’avoir imposé de telles sanctions contre-productives à la Russie. Ce sont eux qui souffrent aujourd’hui des conséquences économiques considérables, en plein milieu d’une récession qui réapparaît, des sanctions économiques beaucoup plus efficaces de la Russie. Même le moteur économique tant vanté de l’Europe, l’Allemagne, a perdu sa capacité à relancer le reste de l’UE, tout cela parce qu’ils ont choisi de prendre parti pour les véritables auteurs du coup d’État de Kiev.
La bataille pour l’Ukraine n’est pas tellement que le gambit géopolitique de l’Axe anglo-américain a mal tourné, mais qu’il est un test décisif pour ceux qui seront autorisés à se joindre à un mouvement mondial authentique défini par la justice économique, l’égalité sociale et la stabilité politique. En outre, c’est le respect de la souveraineté nationale avant tout que la Russie de Poutine, la Chine de Jinping et l’Inde de Modi attendent du monde, comme le reste du monde doit le recevoir de tous les pays du BRICS.
Entre en scène Vladimir Poutine, le parfait repoussoir pour l'Axe anglo-americain
Tout d’abord, il est essentiel de comprendre que ce n’est pas seulement l’homme Poutine qui fait peur à l’Axe anglo-américain. Ce n’est même pas la Russie non plus, comme une nation, qui lui fait une peur bleue. C’est la force qui est derrière Poutine et qu’ils n’ont pas vu occuper un poste politique majeur depuis John F. Kennedy. Certes, l’Axe anglo-américain doit se demander comment, dès le départ, ils ont tous pu tellement se tromper sur son compte en pensant que qu’il était l’un d’eux. Il était, après tout, un fonctionnaire du KGB avec toutes les bonnes références propres à faire croire qu’il jouerait le jeu, seulement à leur façon, et tout le temps.
Cependant, tout comme JFK au début des années 60, lorsque Poutine a vu exactement comment l’Axe anglo-américain se jouait des gens, partout, il s’est détourné d’eux et n’a jamais regardé en arrière. Parce que son prédécesseur Boris Eltsine, qui a aidé les oligarques russes dans le pillage et le viol de la patrie russe, a donné sa bénédiction à Poutine comme héritier politique, personne n’a jamais pensé qu’il pourrait effectuer un tel virage radical à 180°. Tant dans la formulation de la politique de l’État que dans l’administration du gouvernement fédéral il a mis en œuvre le processus qui a permis de restituer à la Russie les richesses détournées par les oligarques. Sa réaction contre l’oligarchie rapace a été tellement fulgurante qu’il est maintenant vu comme une véritable réincarnation de Pierre le Grand, qui a aussi sauvé la Russie de ses ennemis à la fois au-dedans et au-dehors.
La proximité du président Poutine avec le Patriarche de l’Église orthodoxe russe, Sa Sainteté le Patriarche Kirill, est devenue la cause de l’admiration que lui vouent les personnes profondément religieuses et traditionnelles en Russie. Son ordre du jour socialement conservateur est beaucoup plus en phase avec les sensibilités russes s’agissant de la protection d’une culture raffinée qui est en contradiction avec la permissivité d’une société de plus en plus grossière à l’Ouest. Dans ce domaine particulier de divergence, la Russie de Poutine a servi de contrepoids au modus operandi de l’Axe anglo-américain consistant à semer, partout où ils mettent leur nez, les graines du chaos et de la discorde politique. La propagation des normes sociétales trop permissives est leur marque de fabrique à cet égard, propagande contre laquelle Poutine s’élève en toute occasion.
Il est important de souligner que la Russie, dont Eltsine a hérité avait été promise aux oligarques corrompus jusqu’à la moelle. En d’autres termes, l’émancipation du communisme n’a été possible qu’avec la condition que les oligarques russes seraient autorisés à voler les biens de la nation, les ressources naturelles, les installations industrielles et tout ce sur quoi ils pouvaient mettre la main. Ce fait peu connu explique pourquoi Boris Eltsine a reconnu librement à la fin de sa carrière des erreurs historiques, en particulier celles liées au transfert systématique de la richesse russe aux désormais tristement célèbres oligarques.
Il savait que c’était finalement la clé de l’indépendance de la Russie par rapport à ces puissances occidentales qui étaient partie prenante à l’orchestration de la chute du mur de Berlin d’une manière relativement ordonnée.
L’histoire nous a maintenant montré que Boris Eltsine avait une grande clairvoyance dans son choix de Vladimir Poutine comme Premier ministre. Ses derniers mots à Poutine en sa qualité de président étaient les suivants : Prenez soin de la Russie, qui ont également été traduits par Protégez la Russie. Poutine était le parfait moyen trouvé par Boris Eltsine pour s’assurer que sa dernière volonté serait honorée. Poutine lui-même a prononcé les mots suivants quelques jours avant les funérailles de Boris Eltsine.
« Nous ferons tout notre possible pour veiller à ce que la mémoire de Boris Nikolaïevitch Eltsine, ses nobles pensées et ses mots ‘protégez la Russie‘ nous servent de référence morale et politique ». [3]
Bien sûr cela condamnait les oligarques à aller soit en prison soit en exil.
Ce qui est exactement ce que Poutine a fait, sans s’occuper des réactions et des menaces de tous les suspects habituels de l’Ouest. Poutine ne permettrait sous aucun prétexte que des prédateurs capitalistes détruisent la Russie. Il a délibérément, sous couvert de sécurité nationale, lancé tout le processus juridique et les procédures gouvernementales nécessaires pour récupérer ce qui avait été volé au peuple russe. Cette délicatesse spéciale a été particulièrement efficace, et à toute épreuve, comme celle que l’Axe anglo-américain a utilisée, sous les mêmes prétextes, pour soumettre les nations, grandes et petites, pendant des siècles.
Néanmoins, l’Occident ne pouvait qu’être scandalisé sous le choc d’un président réellement capable de protéger sa nation de cette façon. Que Poutine ait mis les intérêts de la Russie et de ses citoyens avant ceux des banquiers, des industriels… et des puissants oligarques, a été considéré comme la trahison ultime. Après tout, ses actions vont à l’encontre de ce qui avait été décidé en coulisse par les vrais détenteurs du pouvoir qui ont négocié la chute du mur. Le communisme ne devait être éliminé que si les oligarques obtenaient l’accès sans entraves aux richesses de la Russie. Et ils l’ont eu … pour un moment.
Les gens en savaient peu sur le fait que Boris Eltsine, et surtout Vladimir Poutine plus tard, les ont tous bernés. Malheureusement, une telle tromperie pour la bonne cause a finalement pris un lourd tribut sur la santé de Boris Eltsine sous la forme d’un décès par maladie cardiaque. En tant que leader russe très patriotique et plein d’abnégation, Boris Eltsine savait qu’il devait la jouer finement avec les dirigeants occidentaux (et leurs agents) oligarques pour arracher la nation à leurs griffes prédatrices. En fin de compte, il a fait un travail extraordinaire, en particulier pour assurer une transition en douceur à Poutine, sur qui retombait le poids de son double-jeu pour la bonne cause.
La raison principale d'un tel mépris pour Vladimir Poutine de la part des pouvoirs occidentaux réside dans le fait qu'il les a tous bernés dans l'intérêt du peuple russe
Personne ne comprend mieux l’histoire russe du XXe siècle que les citoyens de l’URSS pleins de ressentiments. Ces gens ont souffert de grandes épreuves et tribulations aux mains de voyous communistes qui ont été mis au pouvoir par les banquiers occidentaux et la classe politique anglo-américaine. Ils savent exactement ce qui est arrivé à leur mère patrie dans le sillage de l’affaire de dupes qu’a été la révolution bolchevique. Ils savent aussi précisément qui a été responsable d’un tel cataclysme social, économiquement et politiquement catastrophique.
« Il a été dit que les steppes russes ont enfanté beaucoup de philosophes. Cette grande étendue de terre semblant vouée à l’éternité sous des cieux infinis et des vents indomptables qui agitent l’âme… pour savoir la vérité… et rien que la vérité ». [4]
Ce n’est qu’en comprenant le tempérament de ces peuples russes qui ont vécu la catastrophe du communisme, qui leur a été inoculé par des agents étrangers avec un ordre du jour clandestin, que l’on comprendra vraiment aussi les forces qui se tiennent derrière Poutine. À cet égard, ce n’est pas à Poutine, le président, que les puissances occidentales sont confrontées. C’est à un mouvement russe fier et patriotique qui surgit avec la conscience que l’axe Anglo-américain était responsable de leur siècle perdu. Cette vérité ne peut pas être effacée de l’histoire par la diffusion de quelques sites Internet contrôlés par la CIA. Les nombreux faits historiques odieux et donc gênants ne peuvent être éradiqués de la psyché russe quand tant de douleur et de souffrance a été causées au plus grand nombre.
En vérité, les forces qui soutiennent Poutine dans sa quête d’une véritable souveraineté nationale sont beaucoup plus puissantes que n’importe quel président des États-Unis, Premier ministre britannique, Commandant suprême allié de l’Otan ou leader de l’Union européenne. En fait, le pouvoir qui se tient derrière Vladimir Poutine est la Russie elle-même, une force tout à fait déterminée à ne pas être prisonnière de l’axe anglo-américain, jamais plus. Et ni les bruits de bottes ni les rodomontades de Washington, ni le terrorisme économique de l’Union européenne, ou le sabotage financier de la City de Londres n’altéreront cette détermination.
Les armes nucléaires peuvent servir de grand égalisateur
Contrairement à tous les autres pays qui ont récemment chuté suite à l’agression sans fards des anglo-américains, la Russie avait considérablement développé les technologies de l’arme nucléaire pendant la guerre froide. L’Occident a eu peine à imaginer que la Russie utiliserait alors la perspective non seulement de la technologie de l’arme nucléaire, mais aussi d’armes beaucoup plus avancées et destructrices, jamais utilisées auparavant sur la planète, comme un puissant moyen de dissuasion contre les actes de guerre unilatéraux de l’Axe anglo-américain.
De même les prédateurs capitalistes occidentaux n’ont jamais imaginé que l’homme le plus riche de Russie, Mikhail Khodorkovsky [3], serait emprisonné pendant dix ans. Le plan de l’ensemble de l’Axe anglo-américain pour l’utiliser comme homme de paille dans la poursuite du pillage des réserves de pétrole et de gaz de la Russie et des actifs connexes, a complètement foiré. Cependant, une fois que les oligarques ont été dépouillés de tout pouvoir, d’argent et d’influence, l’Occident ne pouvait plus compter que sur la force brute, comme ils le font avec une sauvagerie extraordinaire dans des endroits comme l’Ukraine. Intimider et menacer, contraindre et extorquer voilà tout ce que l’Axe anglo-américain sait encore faire aujourd’hui, fort des succès que ces tactiques ont obtenues pour subjuguer des nations complètement impuissantes et sans défense, dans le monde entier, depuis de nombreuses décennies.
Néanmoins, maintenant que la Fédération de Russie a réévalué ses capacités d’armement nucléaire et redéployé les actifs critiques sur leur frontière occidentale, leurs réponses tactiques et leur préparation stratégique n’ont jamais été meilleures. Cet état de fait constitue déjà en soi un grand obstacle au plan à long terme de l’Axe anglo-américain vers la mise en place d’un Nouvel ordre mondial. Mais la Russie et l’Alliance BRICS (toujours en expansion) présentent un défi encore plus grand à ce plan voué à l’échec.
L'exigence russe du respect des souverainetés nationales est représentative d'un mouvement mondial beaucoup plus vaste
La Russie est non seulement rejointe par l’Alliance BRICS dans ses efforts pour niveler le terrain du jeu mondial, elle est également soutenue par de nombreux autres pays proches et lointains, la Hongrie étant celui qui a rompu les rangs avec l’Union européenne. Certes, la ruine et la faillite de l’Axe anglo-américaine ont annihilé ses efforts pour soumettre un nombre croissant de pays qui ne seront dorénavant plus traités comme des entités de seconde classe. Lorsque des nations comme la Chine et la Russie, l’Inde et le Brésil, l’Afrique du Sud et le Venezuela, la Bolivie et l’Équateur, expriment publiquement leurs doutes sur l’hégémonie américaine, le monde entier est très attentif. Là réside le véritable pouvoir derrière Vladimir Poutine.
Les livres d’histoire montreront un jour que la communauté mondiale des nations s’est ralliée autour de la haute position morale prise par Vladimir Poutine dans la deuxième décennie du nouveau millénaire. Non seulement le peuple russe soutient pleinement son président, mais les vastes populations de la Chine, de l’Inde, et de nombreux autres pays se tiennent solidement derrière leurs dirigeants contre l’incessante ingérence de l’Axe l’anglo-américain. L’omniprésence de l’Internet a tout simplement rendu très facile le partage de ce qui se passe réellement dans le monde entier, en particulier lorsque l’Axe l’anglo-américain travaille partout avec tant de vigueur contre les intérêts des gens ordinaires.
Vladimir Poutine, quelles que soient les intrigues et les machinations ourdies contre lui pour perturber ses bonnes intentions, a été rencontré par son propre peuple. Il sait qu’il a fait de son mieux pour protéger la Russie. Il sait aussi que, dans sa résolution de prendre soin du peuple russe, il tient également compte des intérêts des citoyens de toutes les nations, y compris celles qui contrarient sans cesse la Russie et le persécutent à chaque occasion. Cette posture extraordinaire est non seulement assez rare parmi les leaders mondiaux aujourd’hui, mais elle est aussi une qualité admirable à toute époque … ce qui est juste une autre raison pour laquelle ils détestent la direction sage et éclairée de Vladimir Poutine.
Protégez la Russie est littéralement devenu la référence morale et politique de Poutine
Ce n’est que par ordonnance divine qu’un lieutenant-colonel du KGB se retrouve à exaucer les dernières volontés de son prédécesseur servant alternativement de président et de premier ministre de la Russie. Parce que Vladimir Poutine a pris cette directive présidentielle très au sérieux, cependant, il se trouve maintenant dans le collimateur d’une machine militaire redoutable et du mastodonte économique de la planète. Cependant, à l’opposé du court mandat de JFK qui a eu lieu dans le ventre même de la bête, Poutine a érigé autour de lui un pare-feu inégalé de protection. Il savait que s’il voulait réaliser la dernière volonté de Boris Eltsine, lui et ses collaborateurs devaient être protégés contre tout dommage. L’équipe de l’Axe anglo-américain, après tout, ne joue jamais proprement et casse toujours les règles.
Au sujet de la perception de Poutine comme renégat à propos d’un contrat [chute de l'URSS contre pillage des ressources, NdT] qui a été essentiellement accepté par ses prédécesseurs, il n’existait aucun impératif moral pour lui de se conformer à un tel accord illégal et contraire à l’éthique. Sur le fait lui-même, il aurait pu être à juste titre accusé de trahison de la plus haute importance s’il avait respecté les exigences de l’Axe anglo-américain. Seul un traître pouvait exécuter un contrat aussi scandaleux, donc Poutine savait que la loi et les gens seraient de son côté une fois qu’il aurait renversé les oligarques et leurs sponsors occidentaux. Néanmoins, ce faisant, il a attiré sur lui et sur la Russie les foudres des Rothschild, des Rockefeller, du Conseil sur les relations étrangères et de l’Institut royal des affaires internationales, de la Commission trilatérale et du groupe de Bilderberg.
Ayant une âme sage et traditionnelle Poutine savait que ses mandats seraient les plus conséquents de l’ère moderne… pour la Russie et le monde dans son ensemble. Il n’a pas hésité devant les exigences d’une entreprise aussi difficile. En fait, il semble enhardi par l’importance du défi. Mais il est vrai qu’il a le peuple Russe fermement à ses côtés, ainsi que l’écrasante majorité des nations du monde. Lorsque le pouvoir du peuple commence à se regrouper sur toute la planète autour des véritables intentions que Vladimir Poutine représente et a fréquemment énoncées, le changement que beaucoup attendent viendra rapidement et furieusement. En vérité, une transformation globale est juste au coin de la rue : un véritable nouvel ordre mondial marqué par le respect implicite à la fois de la souveraineté nationale et personnelle.
La Russie est l'avenir du monde
« De Russie vient l’espoir du monde. Non par ce qu’on appelle parfois le communisme ou le bolchevisme – non ! Mais par la liberté – la liberté ! Que chaque homme vive pour son prochain. Le principe est né là-bas. Il faudra des années pour qu’il soit cristallisé, de Russie renaît l’espoir du monde ».
Edgar Cayced
Il est clair que cette parole prophétique d’Edgar Cayce était à la fois visionnaire et perspicace. Car non seulement les steppes de l’Asie centrale ont forgé les cœurs et les esprits du peuple russe au cours des siècles, la tyrannie du communisme soviétique s’étant avéré un creuset pas comme les autres. La Russie a toujours été une nation de philosophes avec des écrivains comme Tolstoï et Dostoïevski forgeant la conscience nationale depuis le XIXe siècle. Après leur libération relativement récente de l’athéisme imposé par le marxisme, les Russes, jeunes et vieux, ont renoué avec les traditions mystiques de l’Église orthodoxe russe.
Compte tenu de cette transformation culturelle très profonde et continue, un nouvel état d’esprit national se dessine. Sans doute, cet esprit penche inexorablement vers une société plus conservatrice et traditionnelle, en particulier celle qui évolue dans la direction opposée aux mœurs des sociétés occidentales. Poutine est bien conscient de la sensibilité qui prédomine partout dans la patrie. Il cherche à n’offenser personne, mais en même temps il ne laissera pas les fous gérer l’asile comme le fait l’Axe anglo-américain. Il se refuse à permettre que les valeurs et les principes, les coutumes et les traditions de quelque minorité que ce soit dominent la culture russe.
Au vu de ce qui est en jeu pour la Russie de Poutine d’une part et les USA d’Obama d’autre part, il est maintenant évident qu’une bataille épique fait rage à travers le pays. La bataille la plus récente en Ukraine est seulement une de plus parmi celles menées dans l’ensemble du Moyen-Orient et au-delà. La Russie et la Chine ont vu leurs positions géopolitiques agressées et compromises, là où elles tentent d’établir de nouveaux marchés ou d’engager des partenariats commerciaux. En particulier, là où les ressources énergétiques sont en jeu, les guerres sont devenues plus apocalyptiques. Tant et si bien que beaucoup se demandent si une troisième Guerre mondiale marquant la fin d’une époque est au tournant de la rue. Cependant, un tel Armageddon manigancé ne peut être épargné à la communauté des nations qu’avec la participation de l’Est et de l’Ouest.
Heureusement, la Russie de Poutine ne sera pas piégée dans un scénario de troisième Guerre mondiale, la Chine de Jinping et l’Inde de Modi non plus. En raison de la volonté inébranlable de Poutine et d’un leadership fort au sein de l’Alliance BRICS, aucune des nations régulièrement assaillies par l’Axe anglo-américain ne sera entraînée dans une guerre à grande échelle. Le monde entier doit remercier Vladimir Poutine pour sa réponse saine et mesurée à tant de conflits et d’escarmouches, d’attaques sous fausse bannière et d’invasions par procuration, qui sont mis en scène à travers la planète sur une base hebdomadaire par l’Axe anglo-américain.
Le peuple russe a appris à respecter Poutine comme un leader qui est très protecteur pour la patrie. La comparaison avec Pierre le Grand, qui a été salué comme le modernisateur et le visionnaire culturel, ayant fait de son pays une puissance européenne, est tout à fait compréhensible. Sous l’égide du tsar Pierre 1er, la Russie est devenue crainte, mais aussi respectée par ses voisins, et il est le tsar-héros officiel de l’histoire russe ». [7] Peut-être que l’image précédente, diffusée par les grands médias de l’Axe anglo-américain comme une caricature méprisant,e reflète en réalité Poutine dans son rôle actuel de protecteur de la Russie et de leader moral du monde libre.
Crédit et notes
Michael Thomas
Traduit par Jean-Jacques pour vineyardsaker.fr
Source : Vladimir Putin’s Russia: Perfect Foil To The Anglo-American Axis And Their New World ‘Order’ (stateofthenation2012.com, anglais, 05-11-2014)
[1] The Real Crime of M. Khodorkovsky, par F. William Engdahl (voltairenet.org, anglais, 05-01-2011)
[2] The Chosen People: Israel, ‘Christian’ Zionism and the Middle East Crisis, par des historiens révisionnistes pour la paix dans le monde (stateofthenation2012.com, anglais, 28-04-2014)
[3] Russian ex-president Yeltsin dies (bbc.co.uk, anglais, 23-04-2007)
[4] Russophile Anonyme
[5] Director Admits C.I.A. Fell Short In Predicting the Soviet Collapse (nytimes.com, anglais, 21-05-1992)
[6] Khodorkovsky passed Yukos shares to Rothschild Bank (themillenniumreport, anglais, 11-2014)
[7] Pierre Ier de Russie, plus connu sous le nom de Pierre le Grand (wikipedia, français)
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