Pour un leadership fort et radicalement nationaliste au PQ

La panique est de retour au camp fédéraliste face à PKP

Encore des sondages destinés à diviser les indépendantistes

Tribune libre

« On ne règle pas les problèmes avec ceux qui les ont créés. » Albert Einstein
Les mercenaires médiatiques faiseurs d’opinions antinationalistes québécois à la solde des groupes d’intérêts oligarchiques qui ont constitué leur conglomérat économique en contractant des politiciens qui leur sont soumis tant au niveau fédéral qu’au provincial, n’ayant pas encore avalé l´élection de Pierre Karl Péladeau ni son intention de devenir le prochain chef du PQ.
Cette nouvelle propagande est maintenant destinée, une fois qu’ils ont réussi à porter au pouvoir le PLQ-Couillard, à diviser les membres-militants indépendantistes du PQ. Ainsi, pour arriver à provoquer cette division, ils recourent à la même méthode classique de toujours : inciter les possibles candidats qui ont déjà échoué mais qui sont imbus de leur égo narcissique et aussi encourager d’autres candidats n’ayant pas les qualités requises, quoique médiatiquement populaires de par cette même propagande anti-PQ, à entrer dans une guerre des chefs .
Diviser est l’objectif des antinationalistes face au danger du leadership de PKP
Une fois que l’efficacité de la persuasion pratiquée par ces mercenaires sur des électeurs nationalistes lors du scrutin général du 7 avril dernier a été atteinte avec le retour au pouvoir du corrompu PLQ, basant leurs propagandes sur l’incohérence et les revirements du programme péquiste, ces mercenaires veulent maintenant diviser les membres et militants du PQ en employant d’autres sondages biaisés afin de masquer leurs manipulations informatives.
Avant de continuer à démontrer l’action machiavélique de ces mercenaires médiatiques cherchant à diviser les membres et militants du PQ, rappelons deux sondages qui ont marqué à tout jamais l’importance de l’engagement politique de Pierre Karl Péladeau au sein du PQ et sa détermination de faire du Québec un pays indépendant :
Question du jour à Cyberpresse (09-03-2014)
Pierre Karl Péladeau se présente pour le Parti québécois dans la circonscription de St-Jérôme. Cette candidature aidera-t-elle le PQ à remporter les élections?
Beaucoup ………………………… 57%
Un peu …………………………….. 15%
Pas du tout ……………………... 12%
Elle nuira au PQ ………………. 16%
Nombre de votes : 24 885
Autre évidence irréfutable est l’acceptation de PKP par 46% de personnes sondées, laquelle dément le rejet de son geste patriotique de lever le poing en l’air lors de la présentation par Mme Marois de sa candidature à Saint-Jérôme un mois avant les élections du 7 avril :
Question du jour à Cyberpresse (11 mars 2014)
Selon le candidat-vedette du Parti québécois, Pierre Karl Péladeau, «l'indépendance du Québec doit se faire. Un peuple, une nation est légitimement en droit d'avoir un pays.» Êtes-vous d'accord avec M. Péladeau à ce sujet?
Oui ……………….… 46% (à 08 : 15 AM, ce pourcentage était de 42%)
Non …………….….. 50%
Je ne sais pas ….… 4%
Nombre de votes : 7 643 (Heure, 12 : 05 PM). Il faut rappeler encore une fois que ce sondage du 11 mars a été éliminé à 12 : 15 PM (le temps de votation s’allonge habituellement jusqu’à minuit et depuis 2010 ce sondage a été le seul à être éliminé de la série de ces Questions du jour à Cyberpresse) , évitant ainsi la publication d’autres votes favorables à PKP.
Ces deux sondages réalisés avant les élections du 7 avril dernier, lesquels étaient favorables à PKP et au PQ et cet autre publié aujourd’hui (29-04-2014) en y ajoutant la suggestion du député péquiste de Lac-Saint-Jean, Alexandre Cloutier concernant une sorte de votation ouverte à tout le monde pour élire le prochain chef du PQ, l’on arrive à comprendre l’objectif recherché consistant en la division des membres de ce parti. Il est clair que ces deux sortes d’action, pour les antinationalistes et les carriéristes favorables au statut quo , consistent à neutraliser le plus possible le danger du leadership de Pierre Karl Péladeau.
Voici l’introduction expliquant le sondage d’aujourd’hui : [Pour l'heure, même s'il n'est pas intéressé par le poste, l'ancien chef bloquiste Gilles Duceppe serait le plus susceptible de rapprocher le PQ d'une victoire, selon un sondage CROP réalisé du 17 au 21 avril auprès de 1000 internautes.
(…)
Intentions de vote pour le PQ
Avec Gilles Duceppe comme chef ……….. 27%
Avec Véronique Hivon comme chef …….. 22%
Avec Pierre Karl Péladeau comme chef … 22%
CROP demandait à l'ensemble des répondants leur intention de vote, en changeant le nom du chef péquiste. Les points supplémentaires obtenus par rapport au PQ de Stéphane Bédard sont des votes qui seraient arrachés aux autres formations.
Pierre Karl Péladeau est connu de 87% des répondants, mais il obtient la même proportion d'appuis supplémentaires que Mme Hivon, soit deux points. «Pour Mme Hivon, ce n'est pas grave. Si elle se présentait à une course, on peut penser que son tirant d'eau augmenterait aussi», précise M. Rivest.
Quant à Pierre Karl Péladeau, il «aura à se redéfinir comme chef péquiste s'il veut se présenter. C'est une opération de "rebranding". Il faut qu'il se fasse reconnaître une deuxième fois, cette fois comme politicien, pour que la greffe prenne entre lui et le PQ», observe M. Rivest.](1)
Somme toute, ce dont les mercenaires médiatiques antinationalistes au Québec ont vraiment réussi à convaincre l’opinion, c’est de leur pouvoir, conviction qui n’a pu que gagner ses propagateurs eux-mêmes, nous l’avons constaté depuis le premier référendum de 1980 et celui volé le 30 octobre 1995; à présent nous savons où sont placés ces mercenaires et à la solde de qui ils servent.
D’autre part, l’on doit cependant d’avantage craindre de surestimer que de sous-estimer les carriéristes au sein du PQ qui vont chercher par tous les moyens mis à leur disposition comment maintenir le statut quo en divisant les membres et militants afin d’empêcher que le PQ se dote d’un leadership fort et radicalement nationaliste :
[Le député péquiste de Lac-Saint-Jean, Alexandre Cloutier, suggère que le vote pour l'élection du prochain chef du Parti québécois (PQ) soit ouvert à tous les Québécois, et pas seulement aux membres du parti.
Alexandre Cloutier veut permettre au plus grand nombre possible de « participer à la construction du Parti québécois », mais surtout de sortir des sentiers battus.
Le député exprime toutefois des conditions. « Encore faut-il que ces gens-là signent une déclaration dans laquelle ils affirment se reconnaître dans les valeurs progressistes et souverainistes défendues par le parti », dit-il.
Une telle déclaration éviterait que des opposants politiques tentent d'affaiblir le PQ, selon le député.](2)
Alexandre Cloutier à pris cette idée de conséquences désastreuses du Parti Socialiste français et nous avons aujourd’hui comme cette sorte des élections primaires ont négativement répercuté sur l’ensemble de l’organisation du PSF. Parti divisé, avec un président, François Hollande, qui n’arrive qu’à 13% de la faveur de l’électorat. En tout, ce sont 80% des personnes interrogées qui se disent insatisfaites par l'action du chef de l'Etat.(3)
Jean-Louis Pérez-Martel
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1. Pour plus de détails, consulter Sondage: Duceppe rapprocherait le PQ d'une victoire
http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201404/28/01-4761761-sondage-duceppe-rapprocherait-le-pq-dune-victoire.php
2. Extrait de l’article Course à la chefferie du PQ: Alexandre Cloutier veut un vote ouvert
http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/04/29/course-a-la-chefferie-du-pq-alexandre-cloutier-veut-un-vote-ouvert_n_5233368.html
3. Consulter Pourquoi diviser au lieu de rassembler - Retour à l'accueil
http://www.alaindetavernier.com/article-pourquoi-diviser-au-lieu-de-rassembler-122496399.html


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9 commentaires

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    3 mai 2014

    Madame Bérubé,
    En lisant mon article vous avez très bien compris l’importance pour le PQ d’avoir un vrai leadership en faisant de PKP son prochain chef. Cette organisation ne peut pas se permettre, dans l’actuelle conjoncture de dérive nationaliste, de débâcle électorale et d’incohérence programmatique, de rejeter le réformateur et réputé gestionnaire, qualités qui ont fait de M. Pierre Karl Péladeau un redoutable homme d’affaire.
    Le PQ ne peut pas être en ce XXIème un parti socialiste s’il veut défendre avec détermination les intérêts collectifs du Québec. Ce parti doit être avant tout une organisation politique radicalement nationaliste, patriote et démocratique.
    De plus, vous taxez M. Péladeau de «…grand capitaliste par excellence, celui qui ne se gêne pas d’utiliser des lock-out à tout vent pour briser des grèves légitimes et qui a de nombreux conflits d’intérêt en étant propriétaire et actionnaire de plus d’une centaine d’entités financières… ». Pour répondre à cette diatribe sans fondement de rationalité économico-financière, permettez-moi de vous dire que PKP a la responsabilité de défendre avant tout les intérêts des pensionnaires qui sont les actionnaires majoritaires de la Caisse de Dépôt et Placement du Québec (CDPQ). Puisque cette caisse d’intérêt public contrôle 45,3 % (équivalent à 3,2 milliards de dollars) du holding Québecor Média .
    Aussi, je vous dirais que l’histoire « … des lock-out à tout vent pour briser des grèves légitimes… » au Journal de Montréal a été le moyen permis par la loi afin d’en finir avec des conflits travailleurs-patronats interminables qui auraient renforcé les adversaires de Québecor Média au détriment des intérêts collectifs du Québec. Puisque Québecor n’est pas une petite entreprise d’asphalte, sinon un holding financier et de télécommunication d’intérêt stratégique national.
    Pour le reste de vos arguments concernant PKP, je vous dirai que si seulement nous avions une centaine d’hommes d’affaires nationalistes de la taille de Pierre Karl Péladeau, le Québec serait aujourd’hui indépendant et un modèle de pays pour les nations qui cherchent leur liberté nationale.
    JLPM

  • Archives de Vigile Répondre

    2 mai 2014

    PKP un candidat idéal à la chefferie du PQ? Je ne doute pas des ses convictions et de son ardent désir de faire du Québec un pays souverain. Au-delà de ces considérations, cadre-t-il vraiment avec la philosophie du PQ qui se veut d'abord un parti socialiste. Lui le grand capitaliste par excellence, celui qui ne se gêne pas d'utiliser des lock-out à tout vent pour briser des grèves légitimes et qui a de nombreux conflits d'intérêt en étant propriétaire et actionnaire de plus d'une centaine d'entités financières parfois enregistrées dans un état servant à faire de l'évasion fiscale (malgré que ce soit en toute légalité), prétendrait représenter un parti socialiste et égalitaire comme le PQ. Je trouve que bien des gens risqueraient de se détourner du parti devant une telle contraction. Choisir PKP nous exposerait également à des critiques virulentes qui malheureusement seraient justifiées. On ne peut pas dire que PKP eut été un excellent défenseur de la veuve et de l'orphelin. Beaucoup de Québécois le voient comme l'héritier d'une fortune colossale et surtout comme un homme d'affaires sans pitié prêt à tout pour faire de l'argent. Lorsqu'on se choisit un chef, je crois qu'il doit avoir une image irréprochable et surtout être aimer des Québécois. Je n'ai jamais entendu parler de PKP comme étant un exemple à suivre ou comme un homme d'exception, mais comme un homme d'affaires dur et qui n'a pas peur de personne quitte à écraser les gens devant son passage. Est-ce ce genre que chef que nous voulons?

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    1 mai 2014

    Bonjour Monsieur Jodoin,
    Il faut dépasser ce que vous nous suggérez si pertinemment :
    « Oh Québécois (de souche), lecture obligatoire, ça presse :
    "Une Descente dans le Maëlstrom" d’Edgar Allan Poe »
    Afin de briser la dynamique d’autodestruction telle que dénoncée par John Kennedy Toole quand il avait écrit La Conjuration des imbéciles , dont je m’étais inspiré pour écrire cet article :
    http://www.vigile.net/La-Conjuration-des-imbeciles
    Cordialement,
    JLPM

  • Marcel Haché Répondre

    1 mai 2014

    Alexandre Cloutier voudrait faire voter tout le monde alors que tout le monde se serait plutôt attendu qu’il Nous défende contre le plus que minable JeremySearle du West Island.
    Ben non s’tie, c’est Denis Coderre qui Nous défend !
    Voilà bien ce qui ne va pas avec le P.Q. Des parlementeux à l’Assemblée Nationale !

  • Archives de Vigile Répondre

    1 mai 2014

    «L’histoire de Claude Blanchet qui aurait ramassé de l’argent pour la campagne au leadership de sa femme, c’est la faute de Gilles Duceppe qui, une fois de plus, laissait planer qu’il se présenterait.»
    Franchement! Vous êtes vraiment en mal d'inspiration.

  • Archives de Vigile Répondre

    1 mai 2014

    Le conseiller municipal Jeremy Searle en rajoute
    Après avoir comparé le mouvement souverainiste à l'invasion de l'agrile du frêne, qu'il disait vouloir «éradiquer», le conseiller municipal indépendant Jeremy Searle s'est excusé, en qualifiant cependant du même souffle les «séparatistes» de «Québecophobes».

    Lors d'un entretien avec le journal 24H, le conseiller dans l'arrondissement Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce n'a pas mâché ses mots en parlant des membres du mouvement indépendantiste.
    Insistant pour les appeler des «séparatistes» (plutôt que des souverainistes), M. Searle les a également traités de «Québecophobes».
    «L'autre nom que j'utilise pour les séparatistes est Québecophobes. Ce sont des gens qui n'aiment pas le Québec. Ils sont prêts à détruire l'économie du Québec pour servir leurs intérêts personnels», a martelé le politicien.
    «Si tu es prêt à voir l'économie aller aux enfers pour tes intérêts personnels ou politiques, alors tu ne te soucies pas de l'endroit où tu vis», a-t-il ajouté.
    Lors du conseil d'arrondissement du 8 avril dernier, le conseiller avait souhaité que, d'ici dix ans, «nous puissions éradiquer le mouvement séparatiste, un peu comme on souhaite le faire avec l'agrile du frêne, qui fait cependant moins de dégâts que les séparatistes».

  • Archives de Vigile Répondre

    1 mai 2014


    Oh Québécois (de souche), lecture obligatoire, ça presse :
    "Une Descente dans le Maëlstrom" d'Edgar Allan Poe.
    Claude Jodoin Ing.,
    Boca Raton FL

  • Archives de Vigile Répondre

    30 avril 2014

    Comme tous les sondages CROP-La Presse, celui-ci n'a aucune valeur scientifique. Son seul intérêt est de révéler les intentions de «La Presse»: mêler les cartes et nuire à Pierre Karl Péladeau. On a marre des questions hypothétiques.
    Chaque fois qu'un poste se libère, on sort le nom de Gilles Duceppe qui, après avoir présidé un comité sur l'Assurance-chômage, s'est prononcé contre la Charte, merci beaucoup M. Duceppe. L'histoire de Claude Blanchet qui aurait ramassé de l'argent pour la campagne au leadership de sa femme, c'est la faute de Gilles Duceppe qui, une fois de plus, laissait planer qu'il se présenterait. Pauline Marois était la seule candidate alors elle n'aurait pas eu besoin d'argent pour faire campagne.
    Suite à l'histoire de l'aréna de Québec où Nicole Stafford s'est illustrée en lançant un défi à Pierre Curzi, pendant la contestation du leadership de Pauline Marois, Duceppe était le cheval de certains contestataires mais il se retira de la lutte parce que Marois tenait bon. Quand il n'est pas sûr de gagner, Duceppe ne se présente pas.
    Mais cette fois-ci, pour le sondage bidon CROP, Gilles Duceppe n'y est pour rien.
    Dire que l'homme de la défaite du 2 mai 2011 où le Bloc est passé à 4 députés pourrait conduire le Parti québécois à la victoire, c'est une sinistre farce. C'est rire des indépendantistes. Non contents d'avoir gagné avec Couillard, les fédéralistes veulent nous écraser comme le souhaitait la racaille Claude Garcia qui a dit tout haut ce que tous les fédéralistes pensent à l'instar du fasciste et du raciste de Côte-des-neiges qui compare les séparatistes à l'agrile du frêne et qui a dit quelque chose qui est aussi grave que ce qu'a dit le propriétaire des Clippers de Los Angeles qui vient d'être banni de la NBA.
    Ils nous niaisent avec leur sondage bidon. On voit bien que Pierre-Karl Péladeau les fatigue.
    Si Pierre-Karl Péladeau se présente à la chefferie du Parti québécois. il aura l'appui des signataires de la lettre ouverte qui a salué son engagement indépendantiste. Or, Gilles Duceppe a signé cette lettre ainsi que Jacques Parizeau, Bernard Landry, Lise Payette, Gérald Larose, Marc Laviolette, Jean-Paul L'Allier etc. Quand on pense à un nouveau Parti québécois, on voit PKP à sa tête. Le PQ-PKP, ça donne de l'espoir avec la gouvernance souverainiste dans les poubelles de l'histoire non loin de l'étapisme.
    Je ne sais plus quel gnochon a dit que PKP n'avait pas de charisme. C'est complètement faux. Quand il parle, c'est authentique, il ne déroule pas une cassette. J'aime bien qu'il cherche ses mots car quand il les trouve et il les trouve assez vite, ce n'est pas de la langue de bois. C'est comme le poing en l'air dont on fait toute une histoire quand, au fond c'est un geste qui accompagne une conviction politique. Et ces hypocrites qui manipulent l'opinion à Radio-Canada et à La Presse essaient de nous faire croire que Québécor menace la démocratie. J'ai versé une larme en lisant la lettre au Président de Radio-Canada signée entre autres par Alain Gravel et Anne-Marie Dussault.

  • Archives de Vigile Répondre

    30 avril 2014

    Vivement un chef de la trempe de PKP. Franchement retour de Duceppe le fossoyeur du Bloc comme chef du PQ. La presse aime bien s'occuper de l'avenir du PQ. M. Cloutier ferait voter un peu tout le monde mais avec quel contrôle sur les allégeances. On se demande parfois dans quel monde vit ce parti Politique qui pourrait agoniser s'il ne se dote pas d'un chef solide et ça presse avant que la bateau coule complètement Finalement le projet de l'indépendance du Québec ne passe peut-être plus par le PQ.