Le Canada cherchera à inclure « de solides » clauses sur le travail et l’environnement et défendra tant la gestion de l’offre que le mécanisme de règlement des différends en renégociant l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA).
C’est entre autres ce qu’a signalé la ministre des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, dans un discours livré à l’Université d’Ottawa, lundi matin, à deux jours du coup d’envoi officiel des pourparlers commerciaux entre les États-Unis, le Canada et le Mexique.
Elle a dévoilé quelques objectifs présentés comme étant « fondamentaux » pour le Canada. Parmi ceux-ci figurent notamment le souhait d’ajouter un chapitre sur les Autochtones et la simplification de la circulation des gens d’affaires.
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