Nous le devinions. Nous avions soulevé quelques interrogations. Il ne fallait surtout pas jouer les « casseux de party »! Il y a bien eu quelques «couacs ». Mais, finalement nous y sommes allés. En y revenant un peu gênés. Cette fête était bizarre! Une impression de passer à côté de l’essentiel. Le dernier numéro de l’Action nationale (volume XCVIII, numéros 9 et 10, novembre et décembre 2008) nous livre un dossier percutant sur le « holdup» fédéraliste des fêtes du 400ième de la ville de Québec.
« La mémoire usurpée » est à lire d’un couvert à l’autre. On y apprend comment, concrètement, avec la complicité de ses inconditionnels, le Canada s’y est pris pour s’écrire à nouveau un bout d’histoire en travestissant celle du Québec. Il a contrôlé l’organisation. Il a mis le fric. Il a fourni les espaces physiques. Il a géré l’interface internationale. Tous les référents identitaires (drapeaux, couleurs, symboles) de la nation québécoise ont été écartés. Le premier objectif était que le Québec oublia de fêter sa naissance. Objectif atteint. Une ville fut fêtée. Non une nation, Ni même une capitale!
Dossier à lire absolument sous la plume des auteurs Jacques Beaumier, Gaston Deschênes, Marcel Junius, Pierre-Paul Sénéchal, Michel Lessard et Francine Lavoie.
Par Gérald Larose
Président du Conseil de la souveraineté du Québec
La mémoire usurpée
Le dernier numéro de l’Action nationale nous livre un dossier percutant sur le « holdup» fédéraliste des fêtes du 400ième de la ville de Québec
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