Que du français au Québec

La loi 96 doit s'appliquer aux pancartes des manifestants

Sinon confiscation et amendes

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Tribune libre

Cela devrait aller de soi que l'esprit de la loi 96 s'applique dans tout l'espace public du Québec, incluant sur les pancartes des manifestants. Que du français au Québec, c'est pourtant bien simple à comprendre. Aucune autre langue permise. La loi, c'est la loi.


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Sinon, confiscation et amendes attendront les contrevenants à la loi.


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On l'a vu récemment dans le campement de l'Université McGill: des pancartes en anglais, en arabe, en espagnol, étalées à la vue de tous, peut-être dans d'autres langues, et ce, dans la métropole d'un état officiellement francophone et non bilingue. C'est tout simplement aberrant et inacceptable.


Une injonction provisoire contre le campement propalestinien à McGill  déposée mardi | Proche-Orient, l'éternel conflit | Radio-Canada.ca

Si un individu se montre incapable de simplement formuler quelques mots en français à écrire sur sa pancarte, il est bien loin du français langue commune, il est bien en retard dans sa volonté d'intégration (elle semble nulle). C'est ce type de gens réfractaires aux règles du bien-vivre ensemble au Québec dont on pourrait se passer.


Campement propalestinien | La tension monte à McGill | La Presse

De plus, il est malvenu que des étrangers négatifs apportent dans leurs bagages les conflits renouvelés de leurs pays de misère qui ne nous concernent pas directement.


À lire: DES IMMIGRÉS ÉTRANGERS APPORTANT LEUR HAINE DANS LEURS BAGAGES


Pourquoi un campement propalestien à l'Université McGill? | JDM

Ce sont des agitateurs qui tentent de troubler l'ordre public par tous les moyens pour créer une situation de guérilla à ciel ouvert, avec la menace de dérapage, d'émeute, de blessures et de morts, de pillage et de dommages aux commerces et à la propriété. Qu'ils gardent tout cela pour leurs pays carburant à l'instabilité chronique, où ils devraient être sommés de retourner si c'est là leur conception de la vie dans une société évoluée comme la nôtre par rapport à la leur.


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Une façon de ramener à l'ordre ces fauteurs de trouble et de leur enseigner un peu de savoir-vivre est de les soumettre à nos lois, à commencer par celle de l'affichage unilingue français partout dans l'espace public au Québec.


We're not going anywhere,' say pro-Palestinian protesters at McGill  encampment | CBC News

Oui, la loi 96 doit s'appliquer sur les pancartes des manifestants. Qu'on nous respecte.


Mobilisation à Montréal pour dénoncer «l'insuffisance» du projet de loi 96  | Le Devoir


Ci-dessus: exemple de pancartes rédigées en français pour une cause valable, la protection de la langue française partout au Québec


Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir votre réflexion sur le sujet




 


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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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