Nous avons récemment appris que le Centre de prévention de la radicalisation menant à la violence ne pouvait plus payer ses employés, faute de financement. Décryptage de cette supercherie qui doit rendre des comptes à la population québécoise.
Erratum : Veuillez noter que le chercheur-militant barbu se nomme bien Benjamin Ducol et non Benoît Ducol.
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé