20 septembre 2012
La chance au coureur
La première femme première ministre du Québec Pauline Marois nous a annonçé son cabinet constitué de 23 ministres dont 4 supers ministres et 11 adjoints parlementaires. Madame Marois a dû composée avec la députation que la population lui a démocratiquement donné et, pour ma part, je trouve les nominations intéressantes.
Comme Madame Marois l’a dit dans son discours post électoral regardez-nous aller et vous verrez les résultats après les cents premiers jours. J’ai trouvé son discours de présentation du caninet rafraîchissant, empreint d’honnêteté, de sincérité et d’ouverture.
Quand aux ministres qui n’ont pas l’expérience exigés souvenons-nous du super ministre du Gouvernemnt de René Levesque Yves Bérubé professeur en science pure, inconnu de tous mais qui a été une valeur ajoutée importante pour le Québec.
Je donnes donc la chance au coureur
Jocelyn Boily
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2 commentaires
Marcel Haché Répondre
21 septembre 2012@ O
Une parité qui n’a aucun sens. Un faux discours politique. Plutôt un discours de fonctionnaires, toujours prêts à tout compter et fractionner pour rien, finalement. Après un ministre d'un sexe,faudra-t-il un ministre adjoint d'un sexe différent ? Le discours de Françoise David, c’est le discours anti-raciste, incapable de sortir de la règle de trois,de deux dans son cas.
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
20 septembre 2012La chance au coureur, ça ne semble pas être ce que veut faire Françoise David, en se montrant déjà déçue de ne pas voir au cabinet la parité hommes/femmes...
Son premier mot avait pourtant été: "Tout ce qui sera favorable au Québec, on va l'appuyer!" Espérons qu'elle écarquille déjà les yeux en voyant la ministre de l'Énergie affirmer ne pas voir le jour où une technologie propre permettra l'exploitation des Shittt... De plus, question parité, la Première Ministre vaut bien quelques radets de l'équipe Charest quand, dès la première journée, elle abolit la loi ignoble du matraquage des étudiants, abolit la loi de taxation sur la santé et abolit le nucléaire au Québec, pour faire place aux formes d'énergie du XXIième siècle.