L’importance de la dualité linguistique canadian

2,7 milliards sur cinq ans, dont 500 millions de nouveaux fonds destinés en grande partie à soutenir nos communautés linguistiques en situation minoritaire

Tribune libre

Dire que ça nous coûtent près de deux cents milles la copie pour avoir des insignifiants de la sorte qui nous représentent à « Hot Tawa » quand on pourrait se représenter nous même face au reste du monde. Ça devrait faire réfléchir en ces temps durs pour la langue du peuple des premiers qui ont découvert les « sauvages » pis le cash qu'il y avait à faire avec les castors ou, encore et toujours, on s'est fait fourrer en étant juste les bras pis les jambes dans l'aventure. « Esti » qu'on l'a pas des fois ou chaque fois.


Bon, revenons à nos moutons. Avec tout l'argent de nos taxes et impôts qui vont dans la mascarade de la dualité canadian, il y a combien d'anglais qui ont appris le français et je ne parle pas seulement de nos valeureux anglophones et allophones du Québec, mais de ceuzes-là qui vivent hors Québec. Hé ! Joly, as-tu déjà essayer de travailler en français hors Québec dans ton « esti » de pays bilingual ? On est même pas capable de se faire servir dans notre langue quand on sort d'ici et même ici dans plusieurs endroits : « sorry, i dont speak french ! » Alors, travailler en français, on peut oublier ça hors Québec, sauf où il y une minorité francophone enclavée comme à Hearst (ON), Moncton (NB) ou St-Lazare (MB). Et même encore.



« Ce plan inclut des investissements historiques de 2,7 milliards sur cinq ans, dont 500 millions de nouveaux fonds destinés en grande partie à soutenir nos communautés linguistiques en situation minoritaire. » ─ Mélanie Joly



À LIRE :


https://www.ledevoir.com/opinion/libre-opinion/528240/langues-officielles-il-faut-aller-plus-loin


https://www.ledevoir.com/opinion/idees/528218/la-demande-d-invalidation-des-lois-est-un-recours-politique-qui-doit-etre-abandonne


Un autre de vos shows de boucane ─ qui sort en même temps que la demande du « Barreau de chaise brisé » du Québec, un « esti » d'hasard quand même, la « Netfix d'Ottawa » ─ et pour te prouver que je ne te méprise pas totalement, je trouve que tu t'habille bien depuis que tu as un salaire de ministre.


Martine Ouellet a t'envie pas quand même, elle a d'autre plan pour le Québec, puis a fait tremblé les bouffons comme toi pour autre chose que ses cheveux pis ses guenilles.


Envoyez les Québécois ! Apprenez l'anglais et vous serez welcome dans la langue de shakespeare quand vous sortirez du Québec, comme des Elvis Gratton en vacances : « ils l'ont tu l'affaire », les anglais d'Ottawa. Mais c'est quand même le fun de les voir se chicaner pour un tuyau entre les deux provinces de l'extrême ouest du « plusss grand pays dual au monde ». « Y en » a une qui à couper le vin à l'autre, pis l'autre qui a coupé le fuel, et Trudeau qui essaie de leur parler de réchauffement climatique dans cette échauffée typique du « me, myself et i canadian des droits et libertés individuelles » dans ce « plusss beau pays bon chic bon genre » quand la visite est là ou sur la scène internationnale, quand vient le temps de se têter de quoi.


Vive le Québec libre ! Un jour, ça va arriver. En attendant, on paye pour les autres qui nous méprisent à visage découvert. 2.7 milliards pour que les Québécois apprennent l'anglais et how much depuis 1967, Mélanie ?



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