« Jean Charest a agité, mardi, le spectre de la partition du territoire québécois dans l'hypothèse d'une victoire référendaire des souverainistes. »
Le sous-tapis Jean-John-James Charest, ci-devant premier ministre du Québec, ça vous dit quelque chose ?
Celui-ci vient de déclarer que le Québec est divisible advenant que le peuple dise OUI lors d’un référendum portant sur le pays à naître.
S’agit-il d’une autre étape de la sale job de bras pour laquelle, selon la rumeur populaire, ses amis fédéralistes l’ont bien payé (maison? chalet? prêt sans intérêt ou don entre ti n’amis?)
C’est la réflexion que je me suis faite en lisant que l’actuel premier ministre, celui de TOUS les Québécois, prétend que le territoire qu’il dirige est divisible alors qu’il y a peu, il a fortement applaudi à la reconnaissance de la nation québécoise à la Chambre des communes, ce qui fut rapidement entériné par l’Assemblée nationale.
Nous n’en sommes plus à une trahison près de la part de ce genre d’élus pour qui le mot « honneur » est inexistant !
Ce gars-là est prêt à céder des parcelles du territoire québécois dans le seul et unique but de faire peur à ce peuple qui se tient encore debout malgré toutes les vicissitudes vécues tout au long des siècles de présence en terre d’Amérique.
Quand donc ferons-nous appel à l’intelligence des gens au lieu de brandir tous ces épouvantails à moineaux?
Qui mettra fin à cet à-plat-ventrisme qui oblige nos dirigeants, bon an mal an, à quémander NOTRE argent que l’on envoie à Ottawa ?
Qui répondra par la bouche de ses canons aux représentants du ROC qui, devant nos demandes légitimes, répondent que, si on n’est pas fins (lire : si on n’élit pas les libéraux), on ne recevra pas notre part du butin ?
Quand donc cesserons-nous de plier devant le refus du « nouveau » gouvernement Harpeur d’accorder les retombées économiques qui nous reviennent dans le dossier de l’avionnerie?
Quand donc la nation québécoise au statut symbolique plutôt que juridique crissera-t-elle dehors une fois pour toutes les responsables du scandale d’Option-Canada jumelé à celui des commandites ?
Plus que jamais, je fais en sorte de travailler fort à la venue du pays de mon cœur. Je ne veux pas d’une autonomie à l’intérieur du Canada.
Je veux mon pays, et, pour cela, je réponds OUI à ceux qui expriment ce simple vœu : Libérez-nous des libéraux!
Serge Longval,
Longueuil
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