Le député Guy Ouellette a retrouvé sa place au caucus libéral, mais il ne récupère pas, en revanche, son siège de président à la Commission des institutions de l’Assemblée nationale.
Le gouvernement Couillard l’envoie plutôt à la Commission de la culture et de l’éducation et à la Commission de l’aménagement du territoire, en remplacement du libéral Pierre-Michel Auger.
La présidente du caucus libéral, Filomena Rotiroti, a annoncé mardi que Guy Ouellette avait réintégré le caucus.
Dans une lettre adressée au premier ministre lundi, Guy Ouellette avait demandé de reprendre sa place au caucus, mais aussi son poste de président de la Commission des institutions afin de pouvoir « poursuivre [sa] recherche de la vérité ».
« J’ai toujours été très objectif », avait insisté le député de Chomedey dans un impromptu de presse dans les couloirs de l’Hôtel du Parlement mardi matin. « Je n’ai aucune dent contre l’UPAC », avait-il ajouté, quelques semaines après avoir pourtant dit avoir été victime d’un « coup monté » du corps policier.
Le député de Chomedey n’a pas répondu aux questions des médias mercredi matin.
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