Car ce sont eux les vrais responsables du désastre sanitaire, pas les non-vaccinés !
Le passe vaccinal interdisant de soigner les non-vaccinés, c’est de la barbarie. Depuis les crimes nazis, on n’a jamais vu en Europe un gouvernement laisser crever sciemment des innocents, faute de soins.
« Faut-il soigner les politiques qui ont supprimé des lits d’hôpitaux et qui vont en réa ? »
Phrase percutante lue sur les réseaux. Telle est la vraie question qui se pose dans notre pays, tant la persécution des non-vaccinés prend des proportions hallucinantes, bientôt dignes de l’Inquisition. À quand le bûcher ? À quand le retour de l’ordalie, du pal et du supplice de la roue ? C’est du délire.
Car ceux qui interdisent aujourd’hui l’accès à l’hôpital aux non-vaccinés, sauf cas d’urgence, sont les mêmes qui ont liquidé 100 000 lits d’hôpital en 25 ans, au nom de la rentabilité.
En 2018, le taux d’occupation des lits d’hôpitaux restants était de 95 %, sans aucune marge de manœuvre en cas d’imprévu.
Mais l’imprévu a été la crise du Covid-19 qui a conduit nos soignants à pratiquer une médecine de guerre en mars 2020.
Car contrairement à ce que dit Macron, il y a bien eu un tri des malades en Île-de-France et dans le Grand Est, faute de lits de réanimation et de respirateurs en nombre suffisant. La prescription du Rivotril en est la preuve.
Quand l’Allemagne dispose de 6 lits de soins intensifs pour 1000 habitants, la France en aligne 3 !
Ce sont ces décideurs irresponsables qui sont les véritables assassins. Si les hôpitaux sont saturés, ce n’est pas la faute des non-vaccinés, mais c’est la faute des politiques qui ont saccagé notre système hospitalier. Les moralisateurs d’aujourd’hui sont les destructeurs de l’hôpital d’hier.
Le problème ne réside pas dans les 10 % de récalcitrants qui refusent un pseudo-vaccin inconnu, qui n’empêche pas les contaminations, le vrai problème, c’est l’hôpital, comme le répète Éric Zemmour.
Dans tout l’Occident, on persécute les non-vaccinés. Les bourreaux, car il n’y a pas d’autre nom à leur donner, font preuve d’une imagination fertile, quand il s’agit d’inventer les pires châtiments destinés à ceux qui ne se plient pas à leurs diktats.
En Italie, c’est désormais l’obligation vaccinale pour les plus de 50 ans et celui qui n’a pas son « green pass » est passible d’une amende de 100 euros. Il s’agit de « sauver des vies ».
En Autriche, toute personne de plus de 14 ans doit être vaccinée. Amende de 600 euros à la clé, voire de 3600 euros en cas de non-paiement.
En Grèce, même obligation qu’en Autriche. Amende de 100 euros reconductible tous les 6 mois.
Au Vatican, amende ou licenciement pour ceux qui refusent la piqûre. Trois Gardes suisses ont dû démissionner pour avoir refusé ce diktat.
Au Canada, suspension des allocations chômage aux récalcitrants.
À Singapour, les non-vaccinés admis en soins intensifs devront payer 12 600 euros !
En Indonésie, suivant les régions, retrait de permis aux non-vaccinés, amende 290 euros, ou suppression des aides sociales.
Une jeune femme de 19 ans a vu sa plainte pour viol refusée car elle n’était pas vaccinée et ne pouvait entrer dans le poste de police.
Au Pakistan, les non-vaccinés voient leur carte SIM bloquée.
On le voit, ce ne sont pas les mesures de représailles qui manquent pour contraindre les rebelles à l’obligation vaccinale.
La persécution des non-vaccinés atteint des niveaux démentiels.
Ce sont ceux qui ont détruit l’hôpital et qui interdisent aux généralistes de soigner précocement leurs patients, qui veulent priver de soins les non-vaccinés.
Combien de malades non vaccinés vont mourir faute de soins ?
Les coupables de ce crime immonde, ce sont les politiques.
La France soigne toute la planète sans aucune limitation de dépenses, mais refuse de soigner ses propres ressortissants non vaccinés. Si ce n’est pas un crime odieux, si ce n’est pas une discrimination abominable, qu’est-ce-que c’est ?
Et peut-on exiger d’un non-vacciné qu’il paie impôts et charges sociales s’il est privé de la Sécurité sociale ?
https://presse.tripalio.fr/interdire-hopital-non-vaccines-fin-monopole-securite-sociale/
Cette mesure est inhumaine à plus d’un titre.
Elle interdit aux non-vaccinés de rendre visite à un proche en Ehpad ou à l’hôpital ;
Elle va laisser sans soins et tuer des milliers de cancéreux, de diabétiques et autres malades ;
Elle va faire exploser la mortalité et va diminuer l’espérance de vie ;
C’est une atteinte à l’égalité républicaine ;
C’est la négation du serment d’Hippocrate ;
Et c’est la remise en cause du contrat social de 1945, comme le dit l’auteur de l’article ci-dessus.
Il ne manque plus que la crécelle pour montrer aux non-vaccinés qu’ils ne sont plus des citoyens fréquentables, mais des nuisibles qu’il faut laisser mourir sans soins.
Jacques Guillemain