Des antifas continuent de saccager des immeubles

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Que fait la police pour arrêter les milices de la gauche radicale ?

Des extrémistes se cachant derrière le couvert de l'anonymat ont encensé des actes de vandalisme sur MTL Contre-info.


Voici la ou les sources de cet article : MTL Contre-Info / Voici la source de la photo : MTL Contre-Info


Le site d'extrême gauche Montréal Contre-Information (MTL Contre-info) a louangé, comme il le fait souvent, le saccage d'immeubles. Dans un texte paru récemment sur le site en question, on allègue que des « condos de luxe » ont été peinturés à l'aide d'un extincteur et que les bureaux de vente de l'entreprise Humaniti ont vu leurs fenêtres se « faire défoncer » dans la nuit du 19 mars.


Les auteurs du texte anonyme diffusé croient que ces attaques sont justifiées, sous prétexte que « ces développements de condos » ont « osé » faire affaire avec la firme d'architecture Lemay qui a été mandatée pour construire une prison pour migrants illégaux à Laval.


« Lemay, nous espérons que vous aimerez informer vos potentiels clients que leurs projets vont être sabotés [s'ils] vous engagent. Si vous choisissez de ne pas les informer, on leur donnera une surprise qui leur coûtera cher », peut-on lire dans cette missive qui a pris la forme d'une menace.


Les gauchistes ont également tenu à envoyer un message qui ne manque pas d'être clair « à tout.e.s celles et ceux qui se battent contre les frontières au soi-disant Québec et au soi-disant Canada : attaquons les compagnies et les agences [impliquées] de n'importe [quelle façon] dans la construction de cette prison pour migrant.e.s, pour qu'elle ne soit jamais construite ». Les auteurs suggèrent d'ailleurs de brûler les prisons, ainsi que de saboter les frontières et ceux qui veillent à les protéger.


Ce n'est pas la première fois que le site MTL Contre-info sert de plateforme pour encenser ce type de comportement. En juillet, le site web avait été utilisé pour lancer une campagne contre la construction du centre de détention pour migrants à Laval. Des propos semblables avaient ensuite été véhiculés en décembre dans une missive exhortant le public à s'en prendre aux civils travaillant à la construction de cet établissement.