Encore une fois, les coupes dirigées vers la CBC/SRC sont dignes d'un assaut brutal. Le terme «harcèlement» serait plus justifié par la terminologie d'événement. Voilà une très mauvaise habitude de la ministre insatiable du Saint Graal fédéral, Mme Shelly Glover, qui, à son grand bonheur, sera sûrement décorée de l'Ordre des prédateurs voraces, cela avec mention honorable. Pendant ce temps, M. Hubert T. Lacroix, le prince stoïque et antithèse du pantois, accepte les outils destructeurs pour couper de moitié les bulletins en région et moins rencontrer d'employés autour de lui.
Va pour le virage numérique qui, paradoxalement, nourrira les tablettes et téléphones intelligents aux écrans ridicules dont l'audio est nul. Tout cela au détriment de nos téléviseurs de salon qui, fièrement, nous font profiter d'écrans de plus en plus grands et précis.
Pendant ce temps, la CBC/SRC subit des diètes presque mortelles où tous les efforts du passé deviennent caduques. Mais quel contenu aurons-nous? Oui, le pouvoir de l'argent du fédéral réussi à acheter l'orientation administrative de M. Lacroix et M. Lalande. Ainsi, Radio-Canada première deviendra dernière à la vitesse grand V.
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