Il n’existe pas de solutions miracles: contrairement à ce que voudraient faire croire certains pelleteux de nuages irréalistes, il est impossible de construire 100 000 logements en 1 an ou 2 pour accommoder le surplus actuel d'immigrants qui n'auraient jamais dus être acceptés en premier lieu, faute de place pour les loger. À preuve que le gouvernement fédéral en place ne sait pas ce qu'il fait, se montrant incapable de planifier et organiser les choses selon les règles.
Un Québec indépendant et en mesure de mieux contrôler qui entre au pays ne serait pas aux prises avec ce sérieux problème occasionné par le fédéral irresponsable et inconséquent, et qui en plus un plan derrière la tête pour diminuer et minoriser la proportion de Québécois au Québec afin de mieux les contrôler.
Ci-dessus: le Parti Québécois propose un référendum sur l'immigration, pourquoi pas un moratoire?
En conséquence, il est devenu absolument nécessaire que le surnombre d'étrangers soit évacué ou déplacé ailleurs au pays. Le premier ministre Legault a d'ailleurs rappelé que ce type de relocalisation est pratiqué aux États-Unis. Qu'on fasse de même ici.
De plus, il faut aussi tenir compte que comme le taux de construction est plus bas que jamais, il ne sera pas possible de construire les dizaines de milliers de logements requis avant bien des années.
Trop d'immigrants
Le premier ministre du Québec François Legault et ses ministres concernés ont répété sur toutes les tribunes que le problème majeur de la crise du logement est dû à 100% au surplus d'immigrants temporaires ayant dépassé les 600 000 en nombre rien qu'au Québec. . Sur ce nombre, on compte parmi les résidents non permanents 189 962 pseudo-demandeurs d’asile arnaqueurs, soit 32 % du total, c'est-à-dire 1 sur 3! Ça en fait des bandes de profiteurs prêts à tout pour rester et se faire prendre en charge par l'État-providence. À tel point que le point de rupture du système ayant été dépassé, cette crise vient nuire au bon fonctionnement de notre société, et ce sont tous les Québécois qui en subissent les conséquences négatives.
Le premier ministre souligne qu’en seulement deux ans, la province a vu augmenter son nombre d’immigrants temporaires de 270 000 personnes. Si demain matin on n'avait pas ces 270 000 [immigrants temporaires], il n'y aurait plus de crise du logement, affirme-t-il sans équivoque. Ça ne pourrait être plus clair, il me semble.
Source: 270 000 immigrants temporaires de trop au Québec, selon le premier ministre Legault
Le premier ministre explique: "en supposant 3 personnes par ménage, cela mettrait 100 000 logements à la disposition des Québécois pour qu'ils se sentent chez eux, et puissent habiter chez eux". C'est logique et mathématique.
Des experts dans le domaine ont avancé que si on laisse ce surplus rester, la crise se maintiendra entre 5 à 10 ans -à condition qu'il n'en rentre plus d'autres durant ces 10 ans, ce qui ne semble pas parti pour arriver. Par conséquent, la situation ne peut qu'empirer.
Il faut se résoudre à l'évidence: aucune, aucune solution rapide et expéditive n'est possible dans un avenir rapproché. On ne peut pas affirmer: "mettons quelques chantiers en oeuvre par-ci, par-là, et d'ici quelques mois tout sera rentré dans l'ordre". Impossible!
Chute drastique de la construction
La construction au Québec a chuté de 32% en 2023. Ce n'est certainement pas demain que les 100 000 logis nécessaires seront sur pied.
La situation n’est guère plus réjouissante pour la grande région de Montréal, où l’on a enregistré 15 200 mises en chantier en 2023, une baisse de 37% ou de 8 900 chantiers par rapport à 2022.
Pire encore : On observe par ailleurs une plus forte chute des mises en chantier en banlieue de Montréal (-45%), et -40% pour la ville de Québec
Source : Déclin des mises en chantier au Québec
On ne peut faire apparaître par un coup de baguette magique des quartiers, des villes entières en un claquement de doigts. Dans le meilleur des cas, cela prendra 5 ans, 10 ans, 15 ans, avant que le Québec ait bâti ces 100 000 logements et puisse recommencer à accueillir à nouveau des immigrants sélectionnés au compte-goutte répondant à des critères stricts. D'ici là, un moratoire à zéro est de mise.
Pire encore, il faut craindre que cet afflux migratoire excessif de voleurs de logements crée des quartiers complets de non-nés, d'étrangers difficilement intégrables, de sous-civilisés, certains potentiellement très dangereux, issus des pays les plus violents et corrompus de la planète, qui ne pourront qu'ensauvager la société. Ils seront les artisans de notre malheur, armés pour détruire notre identité collective.
On peut déjà voir l'étendue de ce désastre annoncé à Brossard, devenue une ville majoritairement asiatique donc anglophone, donc à peu de choses près déquébécisée. Ce ne doit pas être là le futur du Québec.
Baisse importante des mises en chantier au pays
Dans une entrevue avec l'expert M. Paul Cardinal, ce dernier confirme sans détour l'impossibilité concrète de construire le nombre requis de logements avant bien des années. Ce serait irréaliste et même de mauvaise foi de prétendre que c'est faisable, ou de promettre quoi que ce soit laissant entendre que ça ira vite ou qu'on peut accélérer le rythme.
À écouter ici (7 minutes): Baisse des mises en chantier
La seule solution pratique dans l'immédiat est la relocalisation ailleurs au Canada ou le retour chez eux. Qu'on leur dise simplement: "on a fait une erreur. On s'aperçoit qu’on n’a pas assez de place pour "toutes" vous autres. Dommage pour vous, mais c'est la vie. Retournez-vous en chez vous". On n'a pas à rester "pognés" avec eux. Ces voleurs de logement nous nuisent et nous paralysent par leur présence. Qu'on les renvoie.
À lire: 500 000 immigrants de trop à renvoyer pour régler la crise du logement
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