J’ai reçu ce matin un message électronique d’Option nationale concernant quelques nouvelles du comté de Charlesbourg, me rappelant, par la même occasion, que le parti approche les 8 000 membres, que son congrès aura lieu au Palais des congrès de Montréal les 2 et 3 mars et que Jacques Parizeau y prononcera un discours comme orateur invité. Ce sont plus de mille membres qui sont attendus lors de ce grand rassemblement.
À l’intérieur de ce message, on pouvait y lire cette citation de Jean-Martin Aussant qui, à elle seule, dénote de la clarté et des convictions du chef d’ON. Aussi, ai-je cru opportun de vous en faire prendre connaissance en espérant susciter des commentaires de votre part :
“Chacun des députés et des militants du PQ est aussi souverainiste que nous, mais c’est l’institution elle-même qui est tout sauf claire sur l’option. On ne convainc pas en doutant. On convainc en démontrant et en persistant. Et surtout on convainc en ayant confiance en notre capacité de convaincre.
On ne peut donc pas commencer une phrase en disant « la souveraineté est urgente et nécessaire » et terminer la même phrase en disant « on la fera si le moment est opportun ». Pour moi, le moment opportun pour être libre a toujours été et sera toujours maintenant.”
Au sujet du "moment opportun" (JMA dixit)
Tribune libre
Henri Marineau2095 articles
Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplô...
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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com
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1 commentaire
Jean-Claude Pomerleau Répondre
21 janvier 2013De source très fiable, j'apprends que la monté de d'ON commence à déranger QS qui craint de voir les vériatables souverainistes quitter ses rangs pour joindre un vrai parti souverainiste.
C'est ce qui expliquerait (selon ma source) que, soudainement on cherche fébrillement du coté de QS des interlocuteurs pour s'engager dans une discussion sur un éventuel pacte entre les partis souverainistes. Le but véritable étant d'éviter la saigné dans ses rangs.
QS qui se présente comme souverainiste est en fait, d'abord et avant tout, un parti de gauche pour lequel la politique sociale prime sur tout :
(...)
Même si QS est souverainiste, cette position ne s'observe pas dans son électorat. Ils sont à gauche avant d'être souverainistes. La question nationale «ne pèse pas de manière significative» chez eux. «Leur opinion sur la question nationale ne motive pas leur appui au parti»,
(...)
http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201301/18/01-4612896-portrait-robot-des-electeurs-quebecois.php
JCPomerleau