« Tout ça n'empêche pas, Nicolas, qu'la Commune n'est pas morte»
Alors? Bien entendu, l'histoire de ce que fut la Commune de Paris de 1871 ne nous fournira pas cet imaginaire dont nous avons tant besoin, mais si, plus modestement, son souvenir ou même sa simple évocation, nous rappelait que pour changer le monde, il faut d'abord, dans sa tête, avoir l'idée et l'envie de le changer, alors, comme le dit le refrain d'une chanson moins connue du communard Eugène Potier: « Tout ça n'empêche pas, Nicolas, qu'la Commune n'est pas morte».