Vivement un Pétro-Québec rentable
2 février 2013
Très bonne idée. Envoyez-la au PQMarois et vous allez être sûr qu'elle ne se réalisera pas.
Pierre Cloutier
Chemin Roxham
Le fédéral doit rendre des comptes
Audition prévue le 6 mars 2023 devant un juge de paix de la Cour du Québec au palais de justice de Montréal — les explications
Affaire Michaud
Il est temps que justice soit faite
Québec c. Canada
Commentaire sur le jugement de la Cour d'appel du Québec
Hommage à mon ami Bernard Landry
2 février 2013
Très bonne idée. Envoyez-la au PQMarois et vous allez être sûr qu'elle ne se réalisera pas.
Pierre Cloutier
12 janvier 2013
Dans la vie, comme je le dis souvent, il faut avoir les deux pieds sur terre, mais également la tête dans les nuages pour savoir d'où vient le vent.
Un être humain qui ne rêve pas de changer le monde n'est en rien utile pour l'humanité.
Il n'y a rien de plus détestable que quelqu'un qui a toujours les deux pieds sur les freins et qui a toujours peur de sortir de sa zone de confort. Cela fait les pires réactionnaires qui soient.
Pierre Cloutier
12 janvier 2013
Il faudrait peut-être commencer en tout premier lieu par changer le nom de l'organisme et enlever le mot "souveraineté" qui sent le moisi et le renfermé pour le remplacer par l'expression "indépendance nationale". "Conseil pour l'indépendance nationale", déjà cela nous mettrait en appétit au lieu de nous faire bailler d'ennui avec la "chouveraineté ronronnante et molassonne" du PQ et du Bloc, qui ressemble à un vieux yogourt défraîchi.
Cela permettrait également de rendre hommage à Pierre Bourgault et son Ralliement pour l'indépendance nationale que Lévesque avait tassé dans le coin pour nous vendre sa "souveraineté-association" qui est allée nulle part.
Deuxièmement, il faudrait changer les statuts de cette organisation dont les membres sont cooptés pour en faire un véritable mouvement de masse ouvert et moderne qui ferait place aux jeunes et aux nouvelles idées, au lieu de continuer d'en faire un petit club privé élitiste et fermé, comme actuellement.
Troisièmement, il faudrait faire preuve d'audace en dénonçant constamment le régime fédéral dans toutes ses composantes comme l'a suggéré ici même sur Vigile Jacques Noël dans une série d'articles fort intéressante et percutante intitulée : Faire la guérilla au Canada". Voir ici : http://www.vigile.net/_Noel-Jacques_?debut_articles=90#pagination_articles
Quatrièmement, faire un peu comme le Conseil national de la résistance avait fait après l'occupation en France en proposant un véritable programme, à court et à moyen terme (avant et après la libération), notamment en matière économique. Voir ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_du_Conseil_national_de_la_R%C3%A9sistance
Le CIN pourrait notamment plancher sur :
1 - une déclaration d'indépendance nationale ;
2 - un projet de constituante citoyenne ;
3 - un "audit" citoyen de la dette publique québécoise ;
4 - un jury citoyen chargé d'examiner une réforme en profondeur du régime fiscal ;
5 - un projet de souveraineté monétaire du peuple québécois, comprenant un projet de Banque centrale du Québec, un projet de séparation des banques de dépôt et des banques d'affaire et un contrôle public complet sur la création monétaire.
Pierre Cloutier
11 janvier 2013
Tout ce que vous dites n'est pas incompatible avec l'indépendance du Québec.
Bien au contraire. La seule différence - et elle est de taille - c'est que les immigrants doivent, comme dans tous les pays du monde - s'assimiler progressivement à la culture et à la langue officielle de leur nouveau pays.
Si tu vas en Suède, tu deviens progressivement suédois. Tu parles le suédois, tu manges comme un Suédois, tu vis comme un Suédois etc.. Idem en Norvère, au Danermark, en France etc..
Ici, le problème, c'est qu'une partie des immigrants viennent d'abord au Canada et ont le choix entre la culture anglaise et la culture québécoise et la majorité choisissent la culture du plus fort, c'est-à-dire la culture anglaise et finissent inévitablement par s'intégrer à cette culture plutôt que de s'intégrer à la majorité québécoise.
Ces gens-là considèrent qu'au Canada, les québécois ne sont qu'une minorité parmi d'autres et deviennent évidemment hostiles à l'indépendance du Québec contribuant ainsi progressivement à notre propre assimilation, comme Lord Durham l'avait recommandé en 1840 par l'Acte d'Union.
Pour nous, les québécois francophones, c'est une question de vie ou de mort : continuer d'être une minorité au sein du Canada ou devenir une majorité dans notre propre pays.
Mon choix est fait depuis longtemps, mais si on retarde trop, dans quelques années, il sera trop tard. Déjà, dans la grande région de Montréal, le fait français n'est plus reconnu ni respecté.
J'encourage les gens à parler le plus de langues possibles, car sur le plan individuel, c'est une richesse incontestable, mais la langue officielle du Québec, celle du travail, celle de la culture, celle de la justice, celle de l'administration publique, c'est le français et elle doit le rester. Mais ce ne sera plus possible si on continue de rester dans le Canada et subir sa politique de multiculturalisme qui nous tue à petit feu.
Il n'a jamais été question de se replier sur soi, de se fermer au monde ou de considérer les immigrants comme des gens hostiles. Bien au contraire. Par contre, c'est nous comme peuple et comme nation qui sommes en danger de disparaître si nous n'avons pas le courage de faire notre indépendance.
Me semble que c'est assez simple à comprendre.
Pierre Cloutier
13 septembre 2012
Si cela peut vous rassurer et vous donner des arguments, vous trouverez ci-joint un site où vous trouverez toutes les lois à caractère linguistique à travers le monde.
Vous allez vous rendre compte qu'à peu près tous les pays de la planète ont des lois pour protéger leur langue nationale.
C'est ici : http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/Langues/lois-linguistiques-index.htm
Pierre Cloutier ll.m
avocat à la retraite
12 septembre 2012
Comme je le dis souvent : la peur et l'ignorance sont les deux mamelles de toute forme de dictature, y compris les dictatures douces comme les sociétés occidentales.
Le vrai changement se résume en deux mots simples : indépendance et démocratie exemplaire!
Et la démocratie ce n'est pas nécessairement l'élection. C'est beaucoup plus que cela. C'est la possibilité pour les citoyens de participer directement aux décisions qui les concernent grâce aux nouveaux outils de la démocratie participative (jurys et forums citoyens décisionnels, chambre citoyenne tirée au sort pour des mandats courts et non renouvelables) et ceux de la démocratie directe (référendum d'initiative populaire, législatif, abrogatoire (contre une loi injuste), révocatoire (contre un politicien professionnel corrompu) et constitutionnel (adoption et modification de la constitution).
Tous ces outils ont comme but de favoriser les débats et plus on favorise les débats, plus on fait reculer l'ignorance et la peur qu'elle engendre.
On n'est pas sortis du bois, mes amis.
Pierre Cloutier ll.m
avocat à la retraite
12 septembre 2012
Vous évoluez, monsieur Dubé et c'est tout à votre honneur. Vous réalisez maintenant que la vraie démocratie ne se limite au système de gouvernement représentatif dans lequel nous vivons et dans lequel le peuple n'a que le seul pouvoir d'élire leurs maîtres une fois à tous les 4-5 ans, sans que ceux-ci - les politiciens professionnels - n'aient de compte à rendre à personne entre ces périodes.
Le référendum d'initiative populaire ne doit pas être limité à la seule question de la souveraineté, mais il doit être aussi législatif, abrogatoire (contre une loi jugée abusive et injuste), révocatoire (contre un élu corrompu) et constitutionnel (pour approuver et modifier une constitution).
Il existe aussi d'autres outils modernes et inédits qui serviraient mieux la démmocratie, comme les outils de la démocratie participative (jurys, forums citoyens et chambre citoyenne tirée au sort pour des mandats courts et non renouvelables).
Indépendance, bien sûr, mais démocratie exemplaire aussi. C'est ce qui nous manque le plus au Québec. A ce niveau, nous sommes des dinosaures politiques.
Pierre Cloutier ll.m
avocat à la retraite
7 septembre 2012
Si j'avais l'argent pour le faire, je vous paierais un voyage en Syrie pour un an et après on vous écoutera.
Pierre Cloutier
7 septembre 2012
Deux petites remarques s'imposent :
1 - Vous parlez de "démocratie" alors que vous devriez parler de gouvernement représentatif. Si vous pensez que la démocratie se limite à l'élection et que l'élection c'est la démocratie, il faudra réviser vos cours cours d'histoire et aller faire un petit tour du côté de la démocratie athénienne par le tirage au sort, nous parler aussi de la démocratie directe et participative. Ce que vous appellez "démocratie" n'est qu'un pâle reflet d'une vraie démocratie où le peuple participe vraiment aux décisions qui le concernent autrement qu'en votant une fois à tous les 4-5 ans pour des politiciens professionnels qui servent d'abord leurs intérêts avant ceux du bien commun.
2 - Pour gouverner, le PQMarois devra faire alliance avec la CAQ principalement et QS pour la prochaine élection. Marois connaît Legault depuis des années et devrait savoir ce qu'il lui faudrait concéder pour se maintenir au pouvoir. Entre vous et moi, sauf sur la question du référendum, il y a beaucoup de points communs avec la CAQ. Pourquoi ne pas nommer Duchesneau, Legault et Françoise David au conseil des ministres? Des cabinets de coalition cela s'est déjà vu dans l'histoire et personne n'est mort.
Pierre Cloutier
7 septembre 2012
Qu'est-ce qui empêche Pauline Marois de nommer Jacques Duchesneau, François Legault et Françoise David au conseil des ministres?
Pierre Cloutier
26 novembre 2011
Deux petites remarques :
1- Je n'ai aucune difficulté à croire ce que vous écrivez et j'irais même plus loin que cela en affirmant que la seule véritable enquête qui serait vraiment intéressante pour la population serait d'étudier à fond les liens qui existent entre les forces du marché et le gouvernement du Québec. Qui s'en met plein les poches chez nous grâce au bien commun? On veut des noms, des faits,des chiffres. Seule une Chambre (haute) citoyenne dont les membres tirés au sort avec des mandats courts et non renouvelables pourraient faire ce travail et empêcher la corruption sur une base permanente.
2 - Est-ce que vous croyez que Pauline Marois et son mari Claude Blanchet qui font partie de la classe des hyper riches pourraient nettoyer les écuries d'Augias? J'en doute.
Pierre Cloutier
25 novembre 2011
On sait tout cela monsieur Labrie. Le problème n'est pas là. Le problème vient des élites souverainistes paralysés par la peur de bord et en bord et incapables par manque de courage de se présenter devant l'électorat avec une proposition d'indépendance claire, nette et précise.
Ne cherchez pas plus loin. Tout est là. Tant qu'on va être pognés avec des picouilles comme cela, on n'ira pas loin.
Pierre Cloutier