Le conditionnement de l’opinion publique
14 mai 2015
Quelques lignes pour la suite des choses :
Si PKP l'emporte. Le Parti Québécois, dans la culture et la mouture que l'on a connu depuis 40 ans, n'existera plus après cette course.
La mise à niveau du parti pour relever les défis qui se posent (existentiels) commencera dès le lendemain.
UN : former le noyau dur de l'équipe (une demi douzaine de personne). Mettre en place le plus vite possible, l'Institut de recherche scientifique et appliqué sur l'indépendance.
DEUX : faire le procès du régime libéral (l'ensemble de l’œuvre de dépossession du bien publique).
TROIS : élaborer une stratégie d'État d'envergure à proposer pour la prochaine élection (Constitution provisoire avec dévolution de pouvoir au régions).
QUATRE : reprendre le pouvoir et agir avec une stratégie d'État d'envergure qui vise le redressement national pour nourrir une dynamique de rupture (Révolution tranquille 2.0).
Le référendum ? Ce piège à con qui nous a conduit dans le cul-de-sac actuel, doit être écarter s'il nuis à la prise du pouvoir :
« C'est la souveraineté qui est essentiel, le référendum est accessoire ». (PKP)
La marche vers la souveraineté dans la vrais vie commence dès la victoire de PKP.
La réalité des lignes de forces, qui se dessinent depuis l'arrivé en politique de PKP, va se préciser clairement, le clash ultime : Péladeau c. desmarais
JCPomerleau