L'opération est d'un cynisme ahurissant: profiter d'une crise économique pour réduire le budget des partis de l'opposition, c'est bien le comble de la mesquinerie!
Quand un chef de parti sent le besoin de remobiliser sa base, c'est le signe incontournable qu'une campagne va mal.
Les deux gros canons restent donc MM. Ignatieff et Rae.
Face à un gouvernement quasiment majoritaire sans représentation québécoise forte, le Québec se retrouve le grand perdant de ces élections.