À Charvieu-Chavagneux, en Isère, 2400 fans ont acclamé Éric Zemmour, dans une ferveur impressionnante. Invité par le maire LR Gérard Dezempte, il a une fois de plus enflammé l’assemblée. Jugez plutôt :
« Que ce soit par des élus de droite ou de gauche, nous Français, nous avons été trompés pendant plus de 40 ans. Là est le secret du succès de votre tournée littéraire et politique. Vous pourrez compter sur mon soutien. » a déclaré le maire.
Bien entendu, la gauche et les écologistes, affolés par les sondages, ont dénoncé la venue de l’éditorialiste, ressortant leurs arguments éculés, dont le peuple se fout éperdument.
« Extrême droite, racisme, haine », trois mots qui résument la totalité du vocabulaire politique de la gauche quand elle parle des patriotes de ce pays.
« Dans leur lettre, ces élus rappellent qu’Éric Zemmour “a été condamné pour provocation à la haine raciale en 2018, puis à nouveau pour injure et provocation à la haine en septembre 2020 lors d’un événement organisé par l’extrême droite” et dénoncent “un misogyne notoire” qui a tenu des “propos violents à l’égard des femmes.”
Peine perdue. Comme à chacune de ses rencontres avec le peuple, il a fallu pousser les murs pour accueillir les fans du champion de l’identité gauloise. 2400 personnes pour une ville de 10 000 habitants, c’est tout simplement impressionnant. Zemmour exulte.
Bien que candidat non déclaré, sa tournée littéraire ressemble de plus en plus à une campagne électorale où les meetings se succèdent depuis la sortie de son livre « La France n’a pas dit son dernier mot ».
Le thème du jour, le réarmement de l’État et le retour de son autorité, face aux ennemis de la République qui prospèrent sur sa faiblesse et ses renoncements.
https://www.lefigaro.fr/politique/en-isere-eric-zemmour-appelle-a-un-retour-de-l-etat-20211106
Sur l’estrade, Éric Zemmour électrise l’assemblée en dressant le constat d’une déliquescence de l’État :
« Quand on peut faire des rodéos urbains au cœur de Lyon en toute impunité, c’est que l’État a failli dans sa mission. Quand on peut agresser des Français des dizaines de fois et être toujours en liberté, c’est que l’État a abandonné. Quand on peut mettre à prix la tête des forces de l’ordre et appeler au viol de policières, c’est que l’État ne fait plus peur ! »
« Nous ne reprochons pas à nos élites d’avoir du pouvoir, nous leur reprochons justement de n’en avoir plus aucun. D’avoir abdiqué devant l’Europe, devant la peur du politiquement correct, devant la bureaucratique. Devant les minorités, devant les juges, devant les médias.»
« Nos élites médiatiques et politiques nous prophétisaient la rencontre des civilisations. On a eu la guerre des civilisations. Ils nous promettaient Benetton, on aura le Liban. »
« Chaque jour, la racaille tabasse, tue et viole des Français. On ne compte plus ces agressions, poliment rangées dans la catégorie “faits divers”. Oui, ce sont des faits divers : des faits de la « diversité ». »
« L’objectif est simple : revenir aux sources du gaullisme pour refaire de la République le grand outil de puissance au service de la France. Rétablir la République, c’est faire changer la peur de camp entre policiers et délinquants. »
« Nos policiers, nos gendarmes, nos professeurs n’ont pas besoin d’être sensibilisés au privilège blanc, ils n’ont pas besoin d’être déconstruits, ils n’ont pas besoin de stages d’antiracisme ou de rupture avec le patriarcat »
« De toute son Histoire, notre civilisation n’a jamais été autant en péril : prise en tenaille entre une américanisation culturelle qui la prive de ses racines et une immigration islamique qui les remplace, elle est menacée de disparaître »
« À l’horizon, la guerre, interne et externe, menace. Les prochaines années seront des tempêtes : rivalités géopolitiques en Méditerranée, flux de populations en Afrique, crise climatique, souveraineté alimentaire, enjeux énergétiques… L’État français doit être prêt. »
« Que léguerons-nous aux prochaines générations ? La laideur de nos constructions, l’appauvrissement de notre langue, de notre littérature, de notre création artistique, la ruine de nos paysages, l’ensauvagement de nos villes, la partition du pays ? »
« Nos dirigeants savent très bien que nous sommes malades et ils connaissent le virus. Pourquoi ne font-ils rien ? Parce qu’ils ont peur. »
« Peur d’être disgraciés par les grand prêtres médiatiques du politiquement correct. Peur qu’une bavure brise leur carrière. Peur des procès des associations antiracistes. Peur que les banlieues s’enflamment.»
Et citons cet émouvant témoignage d’une participante à cet évènement :
« Je vous aime beaucoup, de tout mon cœur, parce que vous défendez la France. Je suis fière de vous. »
Nous aussi, chère Madame, nous sommes fiers d’Éric Zemmour. Fiers et admiratifs de son courage, de sa volonté et de sa ténacité.
Ainsi pensent des millions de Français, trahis depuis 40 ans par leurs élus, qu’ils soient de gauche, de droite, du centre ou écologistes. Tous, à part le RN, ont été des immigrationnistes acharnés, prêts à sacrifier l’avenir du peuple français à la dictature mondialiste et bruxelloise, au point de faire des Gaulois de véritables parias dans leur propre pays.
Rappelons que les sans-papiers sont mieux soignés que les Français qui travaillent et cotisent. Rappelons que les étrangers de 65 ans qui n’ont jamais travaillé ni cotisé en France, ont une retraite de 906 euros, très supérieure à celle de millions de Français, ou même au salaire de nos paysans, dont certains survivent avec 350 euros par mois.
Le peuple gaulois a été littéralement abandonné et trahi par ses élites depuis 40 ans. Il a été contraint de partager son niveau de vie, l’un des plus élevés du monde en 1980, avec toute la misère du monde. La France multiculturelle de 2021 est ruinée avec 3000 milliards de dettes.
C’est à ce peuple systématiquement culpabilisé pour ce qu’il est que Zemmour veut redonner espoir. Voilà 40 ans que nos élites crachent sur nos siècles de grandeur et encensent des minorités qui refusent de plus en plus de s’intégrer. Stop à la lâcheté, dit Zemmour.
Il est grand temps de défendre ce que nous sommes. Une nation qui a derrière elle 20 siècles d’Histoire éclatante et 15 siècles de chrétienté. Un héritage inestimable que le peuple français refuse de voir disparaître.
Ceux qui salissent Zemmour sont les mêmes qui ont saccagé l’héritage des Trente Glorieuses, les mêmes qui déconstruisent notre Histoire, les mêmes qui prônent la préférence étrangère, les mêmes qui capitulent devant la racaille, les mêmes qui laissent les cités s’islamiser.
Non contents d’avoir trahi le peuple depuis 40 ans, ils veulent aujourd’hui détruire le candidat le plus patriote, le plus courageux et le plus sincère depuis un demi-siècle. Ne les laissons pas faire.
C’est l’avenir de la France et des générations futures qui va se jouer en 2022.
Il n’y aura pas de deuxième chance pour sauver la nation du naufrage définitif.
Dans 5 mois, soit Éric Zemmour entre triomphalement à l’Élysée, soit c’est le terminus pour la France, signant la fin de nos 2000 ans d’Histoire.
Il n’y aura jamais de mondialisation heureuse, car les cultures ne se mélangent jamais. L’une d’elles finit toujours par imposer sa domination, par le nombre ou par la force. Pour « vivre ensemble », il faut être deux à le vouloir, ce qui n’est pas le cas.
Jacques Guillemain