Le 23 septembre 2022
Mais où nos chefs prendront-ils l’argent pour donner des bonbons à tout le monde au Québec?
Dans le débat d’hier, les cinq bébés gâtés qui dirigent nos partis politiques n’ont parlé que d’une chose : de dépenser des fortunes que nous n’avons pas en santé, en éducation, en arts, en sciences, pour le développement des régions, pour l’environnement, pour l’aide aux aînés, pour le développement du français, pour l’augmentation d’un nombre phénoménal de nouveaux immigrants aux exigences sans cesse plus coûteuses et diversifiées, etc.
Mais d’où vont venir les profits nécessaires pour payer tout ça?
Nous sommes en effet au début d’une immense crise économique de décroissance. Notre niveau d’endettement a atteint des sommets historiques tant au niveau de nos États, de nos entreprises que de nos familles. Une énorme proportion de nos industries a depuis longtemps été déménagée dans le tiers-monde alors que celles qui nous restent risquent de faire faillite dès que les aides de l’État disparaîtront. Nos infrastructures, qui ont été négligées pendant des décennies, sont en ruine et doivent être réparées. Des millions de baby-boomers en état de travailler surchargent désormais nos services sociaux. La majeure partie de nos jeunes refusent d’étudier en sciences. Etc.
Dans un pareil monde de fous où tout le monde revendique des droits sans avoir aucun devoir ou obligation, il ne reste qu’une possibilité : tout va s’écrouler d’un seul coup dans la crise d’envergure mondiale qui commence. Le réveil sera brutal!
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