Les journalistes se doivent d'être neutre. Si l'un désire dénoncer les abus d'une immigration envahissante mal balisée, il ne pourra le faire que de façon détournée et hautement allusive. C'est à nous de savoir lire entre les lignes afin d'en décoder la situation réelle.

Voici des extraits d'un article récent qui nous laisse comprendre à mots couverts que des immigrants non compatibles à notre mentalité occidentale sont une source d'altération néfaste de notre tissu social, représentant des accélérateurs du fractionnement de la société par la pratique du détestable repli communautariste.

Vingt-cinq familles de réfugiés rohingyas, minorité musulmane de Birmanie, sont débarqués en 2008 et en 2009 ont été installées à Québec, ville possédant pourtant de belles qualités d'homogénéité facilitant le bien-vivre ensemble.

Quelques phrases tirées de l'article suffisent à démontrer l'inadaptation, le refus de l'intégration et les complications coûteuses de dépendance à l'état que cela entraîne. On commence:

J'ai été chaque fois surpris en entrant dans leurs logements de les voir vivre pieds nus si tard en automne.

Les 25 familles de Rohingyas qui ont choisi de rester à Québec sont venues avec leurs craintes et leurs réflexes de protection. Peur de la police, méfiance envers l'autorité.

Il y a au départ de la «rigidité» dans toutes les communautés.

Les Birmans ont tenu à envoyer leurs enfants dans des camps d'été où ils pouvaient recevoir un enseignement coranique.

L'analphabétisme, l'absence de scolarité et la méconnaissance des langues d'ici ont ajouté aux réflexes de protection et de repli sur les traditions. (et vlan sur le programme d'immigrant économique profitable)

Au lieu des cours de francisation, les femmes sont restées à la maison pour prendre soin des enfants et les élever islamiquement.

Sur le trottoir, les hommes marchent devant et les femmes derrière.

S... attend sa citoyenneté. Il vit avec son père de 90 ans, en lourde perte d'autonomie. Sa femme en prend soin avec un neveu dans leur logement de Vanier.

La famille de l'un vit au HLM Marie-de-l'Incarnation.

La famille d'un autre vit au HLM du boulevard Charest.

Un plus jeune trouve dans l'ordre des choses que les parents choisissent le mari ou la femme de leurs enfants.

(fin des extraits)

S'il fallait accueillir dans nos pays tous ceux qui subissent de mauvais traitements (réels ou prétendus), l'occident se retrouverait bientôt avec des centaines et des centaines de millions de réfugiés, de déshérités, de miséreux, de pauvres et de malades qui rêvent d'être pris en charge, entretenus et soignés à vie en bénéficiant de nos généreux programmes sociaux, conçus pour notre population en premier lieu, faut-il le rappeler.

C'est une erreur aberrante de vider un pays en guerre de sa population, il faut plutôt les aider à se défendre chez eux. C'est à chacun d'eux qu'il revient de lutter courageusement dans son propre pays pour améliorer ses conditions de vie plutôt que de fuir et d'abandonner le reste de sa famille.

Et on voudrait maintenant poursuivre cette aberration en établissant à Québec même des centaines de réfugiés syriens..

Source: http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/societe/201510/15/01-4910460-rohingyas-a-quebec-les-refugies-aux-pieds-nus.php